Affaire Ummo. La levee du volie sur 40 ans de mystere (Denis Roger Denocla)

Descripción

 
 
AUTEURS

Affaire UMMO

OUMMO : LA LEVÉE DU VOILE SUR 40 ANS DE MYSTÈRE
•Sur les traces des exo-civilisations avec Denis Roger Denocla (1ère partie)

Nous avons déjà évoqué dans Morphéus n°15, les travaux hors du commun de Denis Roger Dénocla concernant le décryptage du langage ummite ou oumain. Il a, au préalable, mis au point une méthode afin d’authentifier les documents oumains. Il s’appuie, entre autre, sur la récurrence tétravalente inhérente à ces textes. Au delà du phénomène oumain, D. R. Denocla offre une grille de lecture de l’ensemble des données ufologiques, chose rare. Tout au long de l’année 2007, il exposera donc dans Morphéus les résultats de ses travaux et de ses analyses…

Interview Morphéus de Denis Roger Denocla, première partie introductive.

Morphéus : Le dossier Oummo comporte environs 1300 pages de textes actuellement connus et 7503 entrées de ‘mots’ dans la base de données de votre site web. Selon vous, quels en sont les points clés ?

D R Denocla : Pour comprendre ce dossier, je pense qu’il faut avoir une grille de lecture globale très complète à la fois du phénomène ovnis et des Crops Circles, ainsi qu’avoir en tête quelques évènements déterminants pour la compréhension générale. Un des premiers points-clés, est que, dans les années 30, les émissions radioélectriques rendent la Terre «bruyante». Autrement dit, si nous avons des voisins dans le cosmos, ceux-ci vont commencer à recevoir ces signaux et en identifier la provenance. Les ondes radioélectriques se propageant à la vitesse de la lumière, elles atteignent des étoiles dans un périmètre de 10 à 15 années lumière (AL), au milieu des années 40, durant la seconde guerre mondiale. Date des premières grandes vagues d’ovnis. Certains, éléments du dossier Oummo me laissent aussi penser que cela correspond également à une topologie cosmologique qui autorise les accès rapides à notre planète.

Morphéus : Ainsi vous pensez que le phénomène ovni s’est amplifié avec les émissions radioélectriques qui rendent la Terre «bruyante», un contexte cosmologique favorable. Mais, si ces voisins du cosmos nous avaient entendus, comme fait remarquer le célèbre physicien Enrico Fermi : «Où sont-ils diable?».

D R Denocla : Je pense que le deuxième point capital pour la compréhension globale est que la variété des observations d’ovnis est simplement due à la variété des visiteurs, intervenant avec des fréquences variables, avec des engins différents et ayant eux-mêmes des morphologies différentes difficilement discernables les unes des autres pour un observateur terrestre. Ceci explique que, bien que les témoignages sérieux soient très nombreux, nous ayons généralement, malgré tout une perception confuse du phénomène ovnis.

Morphéus : En supposant que les différentes sortes d’ovni observés correspondent à différentes sortes d’ETs, comment expliquez vous qu’aucun ne se manifestent officiellement ?

D R Denocla : Comme nous le ferions-nous même si nous allions explorer une planète lointaine peuplée par d’autres créatures moins évoluées que nous, nous respecterions une déontologie universelle de non ingérence pacifique, car toute intervention leur serait fatale. Rappelez-vous ce vieux dicton populaire «l’Enfer est pavé de bonnes intentions!». Donc, pas d’ingérence. Mais cela n’exclut pas de signaler discrètement et progressivement sa présence…

Morphéus : Autrement dit, vous soutenez la thèse «du zoo», où la Terre est une planète observée par de multiples ETs qui ne viennent que pour y faire des expériences d’ordre scientifique?

D R Denocla : Oui, je pense qu’ils se contentent de nous observer et que les traces relativement discrètes de leur passage, sont comme des traces de bottes dans la boue. Et si de telles traces peuvent démontrer la très forte probabilité du passage de quelqu’un, alors je pense qu’il en est de même pour de multiples évènements comme par exemple :
– Le fameux agroglyphe de Chilbolton apparu le 21 août 2001 près du radiotélescope de Chilbolton dans le Hampshire, UK, qui a été initialement décrit par Paul Vigay et qui représente la réponse à un message envoyé depuis le télescope d’Arecibo en 1974, dans le cadre du programme SETI.

– L’impressionnant agroglyphe de Cramwood Farm, apparu l’année suivante, le 15 août 2002, curieusement aussi dans le Hampshire, UK, qui représente un personnage avec une sorte de Cd-ROM lequel contenait un message codé en binaire.

– L’empreinte laissée par la nef qui se posa sous les yeux de Monsieur Renato Nicolai, le 8 Janvier 1981 à Trans-en-Provence, avec les analyses au sol de ses importants effets mécaniques et biologiques sur les végétaux environnants…

Les multiples enregistrements radar, comme en Belgique, la nuit du 30 au 31 mars 1990, où eut lieu une course-poursuite entre deux avions militaires F16 et un OVNI. Les observations au sol et les enregistrements de 5 radars distincts donnèrent lieu, le 11 juillet suivant, à une conférence de presse du Chef d’Etat Major de l’Armée de l’Air Belge Wilfred de Brouwer.

– Les centaines de milliers de témoignages, les dizaines de milliers de photos référencées dans de nombreuses bases de données (par exemple la base de données UFOCAT qui a été créée par David R. Saunders avait déjà en 1980, environ 106.000 enregistrements, le projet *U* UFO Database de Larry Hatch avec 18.200 observations cartographiées sur http://www.larryhatch.net/. En France il existe également des bases de données très bien documentées comme celles de Jérôme Beau sur http://rr0.org ou http://baseovnifrance.free.fr/, et celles de Luc Chastan contiennent elles aussi plusieurs milliers de références, et encore bien d’autres choses…)

Pour moi, toutes ces manifestations sont autant d’empreintes et d’exemples démonstratifs de la venue de multiples civilisations extraterrestres, sur ou à la périphérie de notre planète.

Morphéus : Si c’est le cas, pensez vous que ces populations ETs soient nombreuses ?

D R Denocla : En croisant de multiples sources d’information, j’en viens à penser que certaines civilisations viendraient régulièrement suivre nos évolutions depuis plusieurs milliers d’années. Mais, ce serait essentiellement depuis les années 50 qu’une quinzaine ou une vingtaine de civilisations différentes accèderaient à notre planète très fréquemment, et probablement de très nombreuses autres de manière ponctuelle.

Morphéus : Vous avez écrit un ouvrage «Ovnis, Crops Circles et civilisations Extra-Terrestres» qui montre les liens entre le phénomène ovni et les Crops Circles dont vous pensez qu’ils ont une origine unique très précise.

D R Denocla : Oui, dans cet ouvrage, j’ai décrit une hypothèse extrêmement précise sur l’origine unique des Crops Circles. Ils seraient réalisés, selon cette thèse, par des ETs en provenance du système solaire de Mu Herculis à 27,4 AL. Cette évaluation précise a été possible car dans le cadre du programme SETI, le message a été envoyé en 1974 depuis le radiotélescope d’Arecibo sur la côte nord de Porto Rico suivant un angle très réduit d’environ 3 degrés, en direction de l’amas M13 qui se compose de quelques 300.000 étoiles dans la constellation d’Hercule. Avec l’aide de plusieurs astronomes, dont Norman Molhant, nous avons développé plusieurs hypothèses et procédé par élimination, critère par critère, et au final, il ne restait qu’une étoile candidate: Mu Herculis.

(suite de l’interview dans le prochain numéro : «L’arrivée des Oummains sur Terre»)
Ouvrages de référence de l’auteur Denis Roger Denocla,
éditions privées sur le site :
http://www.denocla.com,
«Ovnis, Crops Circles, et civilisations Extra-Terrestres»,
«Oummo : le langage extra-terrestre décodé»,
«Genèse : l’Univers, le Vivant, l’Homme».
e-mail : denocla@denocla.com

OUMMO : L’ARRIVÉE DES OUMMAINS SUR TERRE
•Sur les traces des exo-civilisations avec Denis Roger Denocla (2ème partie)

Résumé de la 1ère partie :
Pour donner une grille de lecture du phénomène ovni, j’ai exposé quelques points-clés. Le fait que dans les années 30, les émissions radioélectriques rendent la Terre « bruyante « et qu’à partir de là, de nombreuses exo-civilisations nous ont rendu visite, comme l’attestent les dizaines de milliers de cas d’observations et les études des traces des ovnis. Ces visites extra terrestres s’inscrivent dans une logique générale de non ingérence, ou plutôt d’ingérence légère dont une des manifestations se traduit par les Crops Circles. C’est à partir de l’agroglyphe «Arecibo» de Chilbolton que j’ai formulé la thèse de l’origine unique des Crops dont j’identifie la réalisation par une exo-civilisation en provenance de Herculis à 27,4 années lumière. Quand au message codé de l’agroglyphe de Cramwood Farm, il illustre ce que j’appelle «la Pax Galactica» et concorde avec les documents oummains, comme nous allons le découvrir au fil de ces exposés…

Partie 2 «Sur les traces des exo-civilisations, l’arrivée des Oummains sur Terre»

Morphéus : Et vous pensez que cette hypothétique civilisation ET en provenance de Mu Herculis est liée au dossier Oummo?

D.R. Denocla : Non, pas du tout. Mais, parmi la foule de nos voisins curieux, se serait donc trouvé un peuple en provenance d’une étoile située à 14 AL qui, suivant les documents du dossier Oummo, capta en 1948 un signal radioélectrique d’origine terrestre. Ce peuple, se dénommant donc lui-même sous le phonème francisé de «Oummain» en raison du phonème « oummo « qui désigne leur planète. Ils sont connus en Espagne sous le nom de «Ummitas», qui fut malencontreusement francisé par «Ummites».

Morphéus : Quels seraient donc les projets expérimentaux de ces fameux Oummains ?

D.R. Denocla : Suivant les documents connus, après quelques missions de reconnaissance, les Oummains auraient envoyé sur Terre, le 28 mars 1950, un premier corps expéditionnaire d’ovninautes. Ils auraient donc atterris en France, près de Digne-les-Bains dans une zone reculée. Suivant les documents que nous avons, ils ne manquent alors pas de faire des découvertes parfois des plus cocasses sur la civilisation française rurale au sortir de la guerre. Cette prise de contact est d’autant plus insolite que les ressemblances physiques entre Terriens et Oummains sont époustouflantes! Dès lors, il n’est pas vraiment étonnant qu’ils aient pu envisager de réaliser des expériences au contact des Terriens…
Un de leur projet expérimental cadrerait parfaitement avec un éventuel objectif général de la collectivité ET, de diffusion d’une information progressive et très contrôlée à destination des populations terrestres, pour palier les manquements des gouvernants terrestres…

Morphéus : Mais concrètement, en quoi consisterait cette expérience de communication réalisée par ces Oummains ?

D.R. Denocla : A partir de 1966, dans le cadre de cette expérience, les Oummains adressent des communiqués ou des rapports d’informations thématiques à diverses personnes. Documents dont des originaux et des copies sont connus et conservés par leurs destinataires et des collectionneurs privés. Je pense que dans le but de permettre l’authentification globale de l’ensemble des documents qu’ils disséminent, les Oummains décidèrent d’insérer dans les documents, certains des phonèmes de leur langue, transcrits phonétiquement dans les diverses langues terrestres qu’ils utilisèrent. Comme ils l’indiquent clairement, ils ne traduiront leurs ‘mots’ que globalement, approximativement, voire très vaguement lorsque l’information détaillée est trop confidentielle à leur yeux. Et je suppose donc que le décodage de la structure des vocables contenu dans leurs documents, est la clé d’authentification des documents et par le fait, la preuve de leur présence effective.

Morphéus : Et donc depuis le milieu des années 60, comment se serait déroulée cette expérience de communication ?

D.R. Denocla : Un espagnol passionné par toutes ces questions, Ignacio Darnaude a fait un important travail de collecte d’informations et a noté dans la «Revue 2001» n°20 publiée en mars 1970 à Buenos Aires, un document Oummain qui aurait été reçu le 8 octobre 1964 par un professeur de physique à Monterrey au Mexique et qui est resté anonyme. Ce document parcellaire est connu sous la référence D612. Ensuite, il semble d’après le document D108 du 6 août 1971, qu’une équipe d’Oummains ait travaillé au début de 1953 dans un vieux chalet des environs de Marseille sur un programme de recherches de virologie. Puis, en juin 1953, soit trois années après leur premier atterrissage, les Oummains se seraient installés dans la villa de Madame Margarita Luiz de Lihori dans la petite ville espagnole d’Albacete, en se faisant passer pour des vétérinaires scandinaves. Puis, ultérieurement, ils prendront leurs quartiers suivant diverses zones géographiques de la planète, a priori, avec un responsable par continent pour un effectif total de 15 ou 20 personnes maximum.
L’expérience de communication proprement dite, n’aurait débutée que dans le courant de l’année 1966, soit une quinzaine d’années après l’arrivée du premier corps expéditionnaire Oummain, si l’on se reporte au document d’Ignacio Darnaude référencé D24. Il s’agit pour nos visiteurs, de prendre contact avec des personnes qui sont notoirement versées dans l’Ufologie. Puis, des scientifiques ou des personnes prises au hasard de l’annuaire. Les réactions de rejet étant très largement majoritaires, seul se manifeste publiquement à propos de ces contacts extraordinaires, un petit groupe réuni autour de l’ufologue Monsieur Sesma Manzano qui créa en 1954 «l’Association des Amis des visiteurs de l’espace». Fernando Sesma est un personnage sympathique, rêveur et débonnaire, mais qui mélange confusément dans ses exposés, des sujets ésotériques avec l’ufologie, comme nombre de gens peuvent confondre foi et religion. Les informations qu’il diffuse sur la civilisation des Oummains sont accueillies avec des réactions variables. Globalement, elles ne sont guère prises au sérieux par les auditeurs de ces réunions publiques qui ont lieu tous les mardis à Madrid au café de la «Baleine joyeuse».
Sous le régime franquiste de l’époque, le peu de publicité autour de cette affaire limite la diffusion de l’information à une poignée d’espagnols et quelques Français qui reçoivent aussi des lettres dans les années 70.

Morphéus : En France quels sont donc ces protagonistes ?

D.R. Denocla : Il y a par exemple, des ufologues comme Aimé Michel ou René Fouéré qui reçoivent une lettre en français expédiée depuis Berlin et référencée par Ignacio Darnaude sous le n° D84 du 4 septembre 1969 et consultable sur le site «Ummo-Sciences». René Fouéré pensait qu’il s’agissait d’une « manœuvre policière», mais Aimé Michel était beaucoup plus loquace. Il s’en expliqua à un petit groupe de polytechniciens de mes amis qui enquêtait en catimini sur les OVNI. Ils purent constater que la lettre provenait d’une microfiche. Dans les années 70, ce matériel n’était guère accessible à des particuliers, d’autre part, l’on pouvait aisément supposer que sur la microfiche d’origine devait se trouver une quantité importante de documents. Finalement, la plupart des personnes de ce petit groupe d’enquête informel de l’intelligentsia française fut littéralement terrorisée face à l’ampleur de ce qu’ils pressentaient avoir découvert et stoppèrent net toutes leurs investigations.

Morphéus : Et en Espagne comment évolue le dossier ?

D.R. Denocla : Le petit cercle espagnol évolue en vase clos et rapidement des polémiques éclatent. Dans ce contexte houleux, de faux documents furent émis, en particulier par un petit groupe mené par Jordan Pena. Ces documents, d’assez bonne facture mais ne résistant pas à un examen minutieux, ont finalement été identifiés. Ils étaient généralement diffusés dans la continuité de documents a priori authentiques, pour mieux pouvoir les discréditer. Probablement pour couvrir ou discréditer la présence des Oummains, soit bénévolement, soit plus vraisemblablement, sur commande d’un organisme tel que la CIA. En mars 1988, Jordan Pena est gravement atteint par une attaque cérébrale qui le laisse très diminué et ne se manifeste presque plus pendant cinq ans, jusqu’au 8 avril 1993 où, dans la revue «La Alternativa Racional», parait un article sous son nom qui revendique activement, la rédaction des quelques 1400 pages de documents Oummains, à lui tout seul ! Ainsi donc, au début des années 90, pour nombre d’observateurs, l’affaire est entendue, le falsificateur s’est dénoncé, l’affaire est close, Alléluia !
Et pourtant après la grave maladie de ce faussaire revendiqué, comme les Crop Circles continuèrent allègrement après la mort de quelques papys farceurs qui les revendiquaient haut et fort, les documents Oummains continuèrent à être disséminés dans plusieurs pays et dans plusieurs langues, sur des sujets multiples et pointus, souvent réservés à des spécialistes et avec des ‘mots’ inconnus.
(Suite de l’interview dans le prochain numéro : «L’analyse des documents Oummains»)

Ouvrages de référence de l’auteur Denis Roger Denocla,
éditions privées sur le site :
http://www.denocla.com,
«Ovni, Crops Circles, et civilisations Extra-Terrestres»,
«Oummo : le langage extra-terrestre décodé», «Genèse : l’Univers, le Vivant, l’Homme».

 

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