Base biogenética del Cosmos según Ummo (Francés)
- Descripción
Descripción
Base biogenética del Cosmos según Ummo (Francés)
UMMO : BASES BIOGENÉTICAS DEL COSMOS , D 58
Site UMMO-SCIENCES – TRADUCTIONS – D58-1
D 58-1: Vous recevrez avant une douzaine de jours une information dans laquelle nous vous révélerons les bases biogénétiques qui régissent les mutations internes
D 58-1 T1C – 11 ajh/ I-I-1
Titre de la lettre: Les bases biogénétiques du Cosmos
Date : 07/03/67
Destinataires : Alicia Araujo
Notes : Lettre 1 sur un total de 25 pages
Le classement des lettres n’est pas garanti et il est possible qu’il en manque une.
D58-1 | T1C-11
UMMOAELEWE
ALICIA ARAUJO
7/03/1967
MADRID
Vous recevrez avant une douzaine de jours une information dans laquelle nous vous révélerons les bases biogénétiques qui régissent les mutations internes génératrices des différents «PHYLUM» ou RAMEAUX des êtres vivants, et aussi comment s’effectue progressivement la neuroencéphalisation de l’OEMII (homme).
Nous considérons cette information de la plus grande transcendance pour vous de la faire connaître à vos frères. Sans doute elle aidera les recherches des biophysiciens terrestres.
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©UMMO-SCIENCES
Site UMMO-SCIENCES – TRADUCTIONS – D58-2
D 58-2 : LES BASES BIOGÉNÉTIQUES DES ÊTRES VIVANTS QUI PEUPLENT LE WAAM (COSMOS)
Souvent des hommes de la terre nous interrogent sur les aspects politiques de notre structure sociale. Présente-t-elle les caractéristiques d’un état démocratique de droit ? Est-elle peut-être un Etat Social de droit ? S’agit-il d’une structure socialiste particulière ? Présente-t-elle les aspects classiques d’une Société libérale ou, au contraire, son «échafaudage» rigide rappelle-t-il les totalitarismes de l’Allemagne d’Hitler, l’Union Soviétique de Staline, l’Espagne du général Franco ou la république Dominicaine de Trujillo ?
D 58-2 T1C – 12/22 ajh/ I-I-2/8, 10 + 27/31
Titre de la lettre: Les bases biogénétiques du Cosmos
Date : 03/04/67
Destinataires : Alicia Araujo
Notes : Lettre 2 sur un total de 25 pages
Le classement des lettres n’est pas garanti et il est possible qu’il en manque une.
D58-2 | T1C-12/22
UMMOAELEWE
Langue espagnole
Nombre de copies : 1
ALICIA ARAUJO
MADRID
LES BASES BIOGÉNÉTIQUES DES ÊTRES VIVANTS QUI PEUPLENT LE WAAM (COSMOS)
Souvent des hommes de la terre nous interrogent sur les aspects politiques de notre structure sociale. Présente-t-elle les caractéristiques d’un état démocratique de droit ? Est-elle peut-être un Etat Social de droit ? S’agit-il d’une structure socialiste particulière ? Présente-t-elle les aspects classiques d’une Société libérale ou, au contraire, son «échafaudage» rigide rappelle-t-il les totalitarismes de l’Allemagne d’Hitler, l’Union Soviétique de Staline, l’Espagne du général Franco ou la république Dominicaine de Trujillo ? S’il n’en est pas ainsi, pourrait-elle ressembler à l’ancien État théocratique du Tibet ou peut-être que le fait que UMMO soit régi par quatre OEMII vous donnera à penser qu’il s’agit là d’une forme particulière d’Oligocratie ou de Polycratie.
Dans un autre ordre d’idées, les questions peuvent s’orienter vers le niveau d’intelligence que nous avons atteint sur notre OYAA (ASTRE FROID) c’est-à-dire le degré de développement qu’atteint notre neuroencéphale dans la phase actuelle du développement évolutif de notre réseau social.
Ces deux séries de questions peuvent à première vue n’avoir rien en commun. Mais une analyse objective et systématique apporterait non seulement un éclairage suffisant sur leur mutuelle interdépendance mais aussi, pour leur interprétation correcte, nous devons réaliser une étude préalable sur les véritables racines des développements sociopolitiques, psychosociaux et encéphaliques de l’Humanité d’UMMO. Ces racines ne sont ni plus ni moins que les bases biogénétiques de l’évolution de tous les êtres vivants dans notre WAAM (univers). C’est pour cela qu’avant de pénétrer dans un thème aussi prolixe que notre organisation politique ou que l’analyse de la capacité intellectuelle qui commence à se développer dans l’embryon de l’OEMII au sein de l’utérus maternel, il faut absolument recourir à une vision globale (quoique vulgarisée) de l’ensemble des mécanismes qui régissent l’évolution.
Dans les paragraphes suivants nous vous informerons sur une série de questions qui nous paraissent fondamentales. Dans certains cas nous reviendrons sur des concepts qui sont presque familiers aux biophysiciens de la TERRE, comme la structure des chromosomes nucléaires (ndt: situés dans le noyau de la cellule), les mutations génétiques et la base du code génétique ou de la vie. Mais à coté de ces concepts que vous tous, même non spécialisés en Biologie, devez connaître, nous allons vous faire toute une série de révélations transcendantes pour vous car les spécialistes terrestres en Biochimie ignorent leur existence même. Cela vous aidera à compléter quelques lacunes qui faisaient que certains mécanismes d’évolution étaient incompréhensibles (par exemple : les mutations internes qui, au lieu de provoquer une dégénérescence ou une régression de l’être vivant, donnent un perfectionnement des structures somatiques). Nous jugeons toutes ces révélations d’une telle importance que nous vous invitons à en faire part à vos frères Biologistes de la TERRE. Ce paragraphe peut leur servir pour orienter et planifier leurs recherches dans la recherche du BAAYIODIXAA (facteur extrêmement important que nous allons expliquer).
Avant de planter ces bases biogénétiques, vous pourriez formuler une dernière question :
Serait-il possible que les constitutions nationales de la Terre se modifient en calquant sur leurs structures la forme de Gouvernement d’UMMO, les bases sociales de notre Humanité, nos coutumes, notre genre de vie, notre industrialisation et autres facteurs qui caractérisent l’espèce OEMII de UMMO ?
Notre réponse objective et parfaitement analysée est celle-ci : Sans discussion, PAS MAINTENANT. D’ailleurs, il n’est pas nécessaire d’en préciser les raisons puisque n’importe quel homme intelligent de la Terre serait capable de parvenir à la même conclusion.
D’autre part, la question est aussi naïve que si l’on envisageait la possibilité pour un enfant de bas âge chronologique d’élaborer un projet de missile téléguidé.
Cette affirmation pourrait être gênante pour la sensibilité et l’amour propre des Terriens. Elle semble signifier que vos frères originaires de UMMO ont une conception méprisante de l’Homo Sapiens de la Planète OYAGAA (TERRE), que les hommes d’UMMO vous considèrent comme de simples UUGEEYIE (ENFANTS) par comparaison à nous.
Mais ce trait de susceptibilité n’est ni rationnel ni justifié, étant donné que notre attitude envers vous n’est en aucun cas dépréciative mais imprégnée d’un profond respect prenant en compte que vous êtes dans une phase du processus évolutif moins avancée dans le temps que nous.
Quand nous nous référons à la maturité psychique d’un OEMII (corps) c’est-à-dire à l’état que vous appelez période adulte, vous ne devez pas oublier que nous nous référons au cadre de référence d’un macrogroupe planétaire. Il s’agit donc d’une RÉFÉRENCE RELATIVE. L’adulte possède indubitablement un psychisme différent de celui de l’UUGEEYIE ou de l’adolescent de ce groupe. Indubitablement, les réactions primaires d’une panthère adulte sont différentes de celles de son petit; mais n’oubliez pas que l’homme terrestre actuel, tout comme l’OEMII (HOMME) d’UMMO, sont des êtres en continuel processus évolutif. Les cadres PHYSIQUES et HISTORIQUES que nous avons vécu sur UMMO et sur TERRE sont très différents. Ceci est naturel si vous tenez compte du Milieu Géologique, atmosphérique, radioactif, gravitationnel, magnéto-électrostatique et chimique qui présente sur UMMO des différences quelques fois importantes par rapport à votre Planète.
N’oubliez pas, par exemple, qu’une plus grande protection atmosphérique nous a protégé de l’action dégradante des mutations extérieures provoquées par la radiation cosmique, le degré de dégénérescence de certains phylums à été moindre et les variations raciales presque inexistantes.
Tous ces facteurs donnent des caractéristiques particulières à chaque macrogroupe social planétaire car le milieu écologique à été différent même si la structure somatique des hommes est similaire sur toutes les planètes habitées par des êtres rationnels.
Mais de plus, la période comprise entre l’hominisation des anthropoïdes précurseurs et l’époque présente est beaucoup plus importante sur notre UMMO que la période similaire terrestre. Dans ces conditions il n’y a rien de surprenant à ce que notre degré de civilisation soit plus avancé que celui de la Terre.
Vous savez que les organismes se développent progressivement grâce à une série de facteurs que vous connaissez en partie. Les biologistes terrestres attribuent ces changement évolutifs capables de transformer un anthropoïde en un homme, aux radiations extérieures et à la sélection du milieu. Toute mutation d’un gène donnera lieu ensuite à un changement structural de l’organisme.
Mais ceci est une vérité incomplète avec certains éléments erronés. Nous avons découverts les lois biogénétiques et les vrais facteurs qui régissent l’évolution de la vie dans le WAAM.
PORTEZ UNE GRANDE ATTENTION
Vous savez que tous les tissus animaux et végétaux sont formés de millions de cellules. En employant la terminologie de la Terre, nous vous rappelons que dans ces cellules il y a quatre éléments ou parties importantes. Voir IMAGE 1
Une masse complexe appelée PROTOPLASME.
Une masse centrale appelée NOYAU.
Une membrane qui entoure la cellule.
Une membrane qui entoure le NOYAU.
Un modèle didactique de cellule peut être représenté par l’oeuf d’un oiseau. Le blanc représenterait le PROTOPLASME, le jaune le NOYAU et la membrane serait représentée par la coquille.
Ce modèle est cependant très grossier car, par exemple, la MEMBRANE cellulaire est beaucoup plus complexe qu’une simple coquille.
Vous avez tous étudié qu’au sein du NOYAU cellulaire il y a des structures filamenteuses appelées CHROMOSOMES. Ces filaments complexes revêtent une grande importance car ils détiennent une partie du mystère de la vie. Mystère que nous avons éclairci il y a bien longtemps.
En effet, chaque fibre chromosomique est porteuse de modules capables d’emmagasiner les CARACTÈRES de L’HÉRÉDITÉ que nous appelons IGOOA ENMEE [L] et vous: GÈNES.
Une comparaison grossière pour les profanes en biophysique pourrait consister à comparer les XAAXADOO (chromosomes) avec une bande de papier perforé contenant un message secret. Chaque séquence de trous ou perforations symbolise une lettre. L’ensemble de la bande perforée porteuse de ce code représenterait le texte complet de ce message.
Le message porté dans le XAAXADO (chromosome) n’est rien d’autre que les instructions pour que le foetus contenu dans la matrice posséde des traits qui le différencient de ses autres frères. Le chromosome dicte les ordres par lesquels l’être vivant porteur des gènes adéquats sera différent d’une colombe ou d’un reptile.
Chaque IGOOA ou GÈNE représente un caractère défini : La couleur bleue de l’iris de l’oeil, la forme de l’intestin grèle ou la pigmentation noire de la peau d’un Hottentot terrestre.
Indubitablement, si un agent étranger, un plomb de chasse par exemple, faisait une nouvelle perforation sur la bande de papier, une de ses lettres serait altérée. Il se peut alors que tout le sens de son message en soit sensiblement altéré. De même un faisceau de radiations (rayons X, neutrons rapides, électrons, etc …) tombant sur le CHROMOSOME pourrait l’altérer jusqu’à un point tel que le nouvel enfant de cet être vivant naisse avec les yeux sombres ou même transformé en monstre.
Les spécialistes de la terre savent tout cela et ils connaissent la structure intime du code génétique d’ailleurs beaucoup plus complexe que notre exemple de bande perforée avec le message.
Avant de continuer, il est nécessaire de vous résumer la structure interne du XAAXADOO (chromosome). Nous ajoutons, pour le cas où vous ne trouveriez pas un texte approprié analysant ces importants filaments, un APPENDICE NUMÉRO UN où nous développons brièvement le thème. Les conclusions des biologistes terrestres sur les chromosomes ne différent guère du concept que nous avons, depuis de nombreux XEE (UNITÉ DE TEMPS ÉQUIVALANT À LA TRANSLATION D’UMMO AUTOUR DE NOTRE ASTRE CHAUD IUMMA), au sujet du XAAXADOO (chromosome) sauf en ce qui concerne les chaînes protidiques et leur fonction dans le chromosome, domaine où vous commettez quelques erreurs.
Commentez le texte et reposez vous. (Ndt: manuscrit)
(LISEZ L’APPENDICE 1)
(Ndt: cet appendice se trouve à la fin de la lettre . Il a été inclu ci dessous pour des facilités de lecture et de compréhension)
Appendice 1
Un XAAXADOO (chromosome) est une structure en forme de filament qui se trouve dans le noyau de la cellule à partir de l’une de ses phases de reproduction et à partir d’un composant que vous appelez chromatine.
La structure du XAAXADOO (chromosome) est complexe; agrandie convenablement par nos équipements de visualisation gravitationnelle, elle se présente comme un long régime d’atomes. Nous utiliserons votre nomenclature car les véritables composants sont connus par les biologistes terrestres.
IXOUURAA – Acide désoxyribonucléique (ADN)
UOUORAA – Acide ribonucléique (ARN)
NOI OULOO [L] – Histones
DOA DOEE [L] – Protamine
IXIMOO – Protéines essentielles.
L’acide désoxyribonucléique (ADN) porteur du programme codé des IGOOA (gènes) est très important. Ses informations symbolisées en lui «dictent» réellement les ordres qui serviront à matérialiser les traits caractéristiques de chaque animal ou plante. Voyons quel est ce mécanisme de programmation et de réalisation.
L’ IXOUURAA (ADN) présente une structure spatiale de forme hélicoïdale ( DOUBLE HÉLICE).
S58-2f1
Ses composants les plus importants sont :
o IOGAARAA – Acide phosphorique
o UUDUAGOO – Sucre désoxyribose (ndr: UUDUAGOO écrit en un seul mot ici… voir plus bas dans le document)
o IXOIAROO – Adénine (nucléotide)
o IUAGAROO – Thymine (nucléotide)
o IDUIROO – CYTOSINE (NUCLÉOTIDE)
o IVOOROO – GUANINE (NUCLÉOTIDE)
Ses composants basiques sont enlacés de la manière suivante :
S58-2f2
et forment une fraction élémentaire de la double hélice précitée.
Vous pouvez remarquer que les situations relatives des quatre derniers composants (adénine, thymine, cytosine et guanine) s’alternent d’une façon apparemment capricieuse. Mais c’est précisément cette distribution des quatre IGOOMII (facteurs symboliques du CODE) qui permet de porter le message. Chaque série de quatre bandes ou paires peut représenter un symbole ou IGOOA (Gêne ) programmateur de protéines. (ce n’est qu’un symbole génétique parmi tant d’autres.)
Comment cette programmation traduit-elle en fabrication des protéines ? Le processus n’est pas tout à fait ignoré de vous : deux chaînes de (UOUORAA) acide ribonucléique (ARN) dont la structure ressemble à celle du désoxyribonucléique, bien que moins complexe.
S58-2f3
O [Ce rond a sans doute un rapport avec la figure précédente ] symbolise la liaison (UUDUINOO) RIBOSE qui le distingue du DÉSOXYRIBONUCLÉIQUE. .
Elles accomplissent des fonctions différentes.
Premièrement il faut distinguer deux types de chaînes (UOUOURAA) ribonucléique:
La première B (ndt: ARNmessager) est un calque du message chiffré A de l’acide désoxyribonucléique.
La seconde C (ndt: ARN de transfert) est porteuse d’un ( I X I ) aminoacide (souvenez-vous que les aminoacides sont de véritables modules ou liaison de PROTEINES).
En fait le processus est beaucoup plus complexe car y interviennent aussi des RIBOSOMES, des ENZYMES et un facteur que vous ne connaissez pas et que nous appelons AIGOOXAADA [facteur complémentaire aux ribosomes et aux enzymes, intervenant dans la réplication de l’ADN, NdJ.P.] , nous essaierons de le schématiser en employant des métaphores ou images plus compréhensibles pour les novices en chimie biologique.
1ère Phase :
Dans le chromosome préexiste (depuis la dernière mutation) une séquence de symboles codés en fonction de la situation des nucléotides dans l’acide désoxyribonucléique. Nous symbolisons ceci avec une bande codifiée en MORSE TERRESTRE. (Conservée dans le bureau d’un directeur d’usine). [Métaphore précitée NdT]
S58-2f4
2ème Phase :
Dans le noyau de la cellule se forme une chaîne d’ACIDE RIBONUCLEIQUE; calque de l’antérieure (ndt: ADN). Cette chaîne passe du NOYAU au protoplasme de la cellule en portant le message. Vous pouvez imaginer qu’il s’agit d’une copie de la bande précédente qu’un ingénieur a décalqué dans le bureau précédemment cité et qu’il amène dans l’atelier de fabrication. [Suite de la métaphore NdT]
S58-2f5
3 ème Phase :
Dans le cytoplasme existe en plus une série d’aminoacides différents types (ndt: 21 connus). Il ne faut pas oublier qu’une molécule protéinique est composée par un ensemble de différents types de composants. Une chaîne protéinique se distinguera d’une autre précisément par les types et l’ordre de ces acides aminés entrelacés.
Chaque aminoacide (ndt: mot souligné et flèche renvoyant sur l’a partie du dessin «aminoacide «de la figure ci-dessous ) est codé par un symbole clef de trois signes (ndt: mot souligné et flèche renvoyant sur la partie du dessin indiqué «clef de trois signes» de la figure ci-dessous. Il s’agit des 3 des 4 bases ACTG dans un ordre ad hoc pour chaque acide aminé) (qui correspond au code enfermé dans l’acide désoxiribonucléïque). Ensuite sur la chaîne ou moule acidoribonucléique, se disposeront SEULEMENT LES AMINOACIDES dont le chiffre de code correspond au message .
S58-2f6
S58-2f7
Les chaînes protéiques ainsi composées donnent forme à la structure de chaque être vivant. Chaque animal ou plante a été «fabriqué» en obéissant aux ordres codés dans le (XAAXADOO) CHROMOSOME MATRICE.
____________________________________
Nous avons réalisé une incise pour vous expliquer un processus qui est presque connu par vous. Il reste donc à analyser comment s’encodent les ordres dans le XAAXADOO (CHROMOSOME) lui-même.
Nous avons vu que les permutations mathématiques des quatre nucléotides: (IXOI AROO) ADÉNINE, (IUAGAROO) THYMINE (CYTOSINE) et (IUOOROO) GUANINE suffisent en partie (Nous avons expliqué brièvement d’autres aspects du codage) pour coder les caractères héréditaires.
Que se passe-t-il si un faisceau de radiation (par exemple des neutrons) «tombe» sur une chaîne d’acide désoxyribonucléique bihélicoïdal.
S58-3f1
L’impact, s’il n’y a pas destruction ou rupture du chromosome, peut produire au minimum une altération de l’ordre des nucléotides. Il change alors le sens d’interprétation de ceux-ci et on dit que s’est produit une IDUGOO (MUTATION).
______________________
Mais toutes les IDUGOO (mutations) ne sont pas provoquées par radiation incontrôlée venant de l’extérieur (rayons cosmiques, explosion d’arme nucléaire, etc…).Au contraire, de nombreuses mutations sont provoquées dans l’individu même par un mécanisme inconnu de vous. Ainsi, par exemple, une espèce de reptiles, comme les lézards peut vivre des milliards d’années dans une zone marécageuse jusqu’à ce qu’un jour se produise une mutation par laquelle la nouvelle espèce de lézards naît pourvue de grandes membranes palmées qui lui permettent de nager commodément dans l’eau. Que s’est-il passé ?
Nous vous conseillons de suivre dans les paragraphes suivants cette passionnante explication consistant à spécifier la fonction qu’adopte dans ce processus la série de 86 paires d’atomes de KRYPTON découverte par nous sous le nom de BAAYIODUU.
SE REPOSER (ndt: manuscrit)
FIN DE L’APPENDICE
Aucune dose de radiation, aussi faible soit-elle, n’est pas sans produire des effets et présenter un degré de probabilité de provoquer une MUTATION, souvent mortelle, et c’est pour cette raison que nous ne comprenons pas l’inconscience de certains gynécologues terrestres qui soumettent les femmes enceintes à un procédé de radioscopie ou de radiographie sans prendre la moindre précaution (Ndt: en 1967).
Si dans les XAAXADOO (chromosomes) il ne se produisait jamais de MUTATIONS, les êtres vivants continueraient à perpétuer leur structure durant des millions d’années. L’ÉVOLUTION NE SERAIT PAS POSSIBLE SUR AUCUNE PLANÈTE. Un mollusque répéterait sa morphologie de génération en génération sans jamais se transformer.
Mais les biochimistes terrestres se posent la question : comment les mutations, ces phénomènes accidentels qui modifient le code de la vie, font-elles pour se produire toujours dans un sens positif (orthogenèse), en perfectionnant les espèces, en faisant progresser leur morphologie, leur organes des sens ou organes capteurs des stimulus, en perfectionnant de plus en plus parfaitement leurs mécanismes organiques complexes de génération en génération, chaque fois qu’une mutation se produit ?
Prenons une comparaison : si les radiations et leur action génétique peuvent être comparées aux effets de balles sur une cible (la cible étant le chromosome), nous pouvons imaginer un tireur faisant feu sur les colonnes du Parthénon en GRÈCE. Pouvons nous supposer (à moins qu’il ne s’agisse d’un tireur très adroit) que les impacts des balles, au lieu d’enlaidir la sveltesse des péristyles, fassent au contraire dans la pierre de belles collerettes et d’élégantes caryatides sur les chapiteaux ?
Comment est-il possible que le processus d’encéphalisation de l’homme aille en s’améliorant et que de futures générations d’hommes jouissent d’une écorce cérébrale plus perfectionnée, que notre esprit soit capable de résoudre des problèmes mathématiques mentalement sans recourir à des algorithmes auxiliaires comme nos ancêtres ?
Seulement à cause d’un bombardement, au hasard, de neutrons ou de («deuterones») ? Seulement parce qu’un (noyau) d’Hélium agit sur l’IXOOURAA (ADN) et altère la position d’une molécule de thymine ou de guanine ? Quand dans ce cas ils devraient surtout provoquer une aberration génétique et donc créer un être monstrueux aux bras atrophiés ou sans poumons !
On doit à notre scientifique AOYOO 221, fils d’AOYOO 217 d’avoir découvert le mystère de ce processus biogénétique.
On avait découvert depuis longtemps que dans l’encéphale de l’homme il y avait des atomes de krypton (un gaz noble que vous connaissez) et il parvint à révéler la transcendance de cette découverte. Il s’agissait tout simplement de l’OEMBUAW, TROISIÈME FACTEUR DE L’HOMME, que vous ne connaissez pas et qui exerce la fonction de trait d’union entre l’ÂME et le CORPS (BUAWAA et OEMII).
69 XEE auparavant [18 mois terrestres environ NdT], INNAI 3, fils d’INNAI 2, en réalisant des expériences de fécondation en laboratoire avec des spermatozoïdes d’AAGA IEGOSAA [L] (antropoïde ressemblant aux singes terrestres) sur des ovules de YIE (femelle humaine), avait pu vérifier la position spatiale des atomes composant un sucre que les chimistes terrestres appellent désoxyribose et que nous connaissons comme UUDUA GOO [L]. Les molécules de ce sucre se trouvaient à l’intérieur du noyau de l’ovule de la femme. Il fut stupéfait de découvrir la présence de nombreux atomes de KRYPTON
.
S58-2f8
Ceux-ci se trouvaient aux extrémités de la chaîne hélicoïde de l’acide DÉSOXYRIBONUCLÉIQUE en formant plusieurs paires (figure 58-2f8) (au total 86 ensembles bi-atomiques) qui tournaient sur des orbites communes. Les plans orbitaux, sensiblement parallèles, jouissaient d’un AXE commun (l’axe A-B sur la figure 58-2f8). Cet axe décrivait en même temps un mouvement vibratoire harmonique dont la FRÉQUENCE ET L’AMPLITUDE étaient fonction de la TEMPÉRATURE (0,2 Mégacycles pour une température de 35° centigrades terrestres).
On n’avait pu jusqu’à présent détecter de telles séries ordonnées d’atomes de gaz KRYPTON que dans les cellules germinales de l’homme et chez les animaux pluricellulaires; mais plus tard la découverte fut étendue au reste des cellules.
Comment se fait-il que nous n’ayons pas découvert plus tôt ces atomes ? Il faut tenir compte du fait que même s’il s’agit de groupes intégrés de 86 atomes, ces chiffres sont infimes pour pouvoir être facilement contrôlés et détectés. Souvenez-vous que dans un millimètre cube de gaz KRYPTON très raréfié on peut compter statistiquement jusqu’à un chiffre de l’ordre de mille millions d’atomes libres.
La première hypothèse de notre scientifique fut d’identifier ce krypton avec l’OEMBUAW (TROISIEME FACTEUR DE L’HOMME déjà cité) mais à sa grande surprise il ne trouva aucun symptôme de codage électronique dans ses niveaux énergétiques subatomique.
Les travaux durèrent 9 XEE jusqu’à ce que AOYOO 221 commence ses recherches.
Lui-même avait formulé au début une première hypothèse qui s’écroula piteusement, mais il eut la gloire de découvrir enfin le vrai sens de la fonction du BAAYIODUU, comme nous appelons la série des 86 atomes de KRYPTON.
LA FONCTION BIOGÉNÉTIQUE DU BAYIODUU (SÉRIE D’ATOMES DE KRYPTON)
Au début AOYOO 221 était convaincu que ces atomes de krypton étaient inactifs dans les cellules sexuelles de tous les êtres vivants. Il pensait que ces atomes formaient un dépot d’où ils migraient, dans les futures générations, vers l’encéphale ou cerveau pour former l’OEMBUAW (troisième facteur de l’homme).
Pour démontrer la viabilité de son hypothèse il prit des cellules germinales masculines (spermatozoïdes) de 134 espèces de vertébré pour effectuer une analyse détaillée.
La stupeur des spécialistes qui aidaient AOYOO 221 fut extraordinaire quand ils réalisèrent une analyse de la répartition électronique de ces atomes de KRYPTON.
Comme vous le savez, les électrons occupent à chaque niveau sousatomique des positions instantanées dont la fonction est régie par le hasard. Il existe un principe d’indétermination suivant lequel chaque électron se situe en des points distincts sans être régi par aucune loi (nous appelons ces positions IBOZOO WOO [L] et il ne faut pas les confondre avec le concept de point mathématique dans un espace tridimensionnel .
Mais dans les atomes en question, les positions étaient de toute évidence régies par un synchronisme déconcertant. Les atomes homologues dans les chaînes du BAAYIODUU des différents spermatozoïdes présentaient une répartition semblable et synchrone. Ils ressemblaient à des pendules qui fonctionnaient à l’unisson, comme s’ils étaient liés par d’occultes émissions de radiation qui stimulaient un tel comportement ou comme si un mystérieux phénomène de résonance obligeait tous les électrons à être régis par le même modèle. On pouvait peut-être penser que la proximité des cellules étudiées était responsable de cet effet de résonance. Mais par la suite on découvrit que tous les êtres vivants d’UMMO se comportaient de la même manière dans leur BAAYIODUU.
Beaucoup plus tard nous avons dû reconnaître que ce phénomène est cosmologique. La théorie et l’expérience l’ont définitivement confirmé. Ainsi, par exemple, des êtres vivants sur d’autres Planètes présentaient le même phénomène. En 1951 nous avons pu vérifier une fois de plus l’universalité du principe, par l’étude des cellules humaines des OEMII de la Terre. Le synchronisme avec les atomes du BAAYIODUU de UMMO et d’autres Planètes était parfait.
Mais vous ne devez pas être surpris qu’il en soit ainsi. Au contraire cela vous paraîtra logique quand nous vous expliquerons dans le texte suivant la véritable fonction du BAAYIODUU. Vous comprendrez alors que vous êtes encore très loin d’avoir atteint la compréhension complète des intimes mécanismes qui régissent la vie. Et nous-mêmes n’y sommes pas encore arrivés malgré cette découverte TRANSCENDANTALE. Vous comprendrez que le code génétique enfermé dans l’acide désoxyribonucléique n’est qu’un maillon de cette chaîne de facteurs qui expliquent le comportement de la matière animée par la vie, insufflée à son extrémité par WOA (DIEU).
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D 58-3 : LES BASES BIOGÉNÉTIQUES DES ÊTRES VIVANTS QUI PEUPLENT LE WAAM (COSMOS)
Souvent des hommes de la terre nous interrogent sur les aspects politiques de notre structure sociale. Présente-t-elle les caractéristiques d’un état démocratique de droit ? Est-elle peut-être un Etat Social de droit ? S’agit-il d’une structure socialiste particulière ? Présente-t-elle les aspects classiques d’une Société libérale ou, au contraire, son «échafaudage» rigide rappelle-t-il les totalitarismes de l’Allemagne d’Hitler, l’Union Soviétique de Staline, l’Espagne du général Franco ou la république Dominicaine de Trujillo ?
D 58-3
T1C – 30/37
ajh/
I-I-11/18
Titre de la lettre:
Les bases biogénétiques du Cosmos
Date :
17/04/67 sous réserves
Destinataires :
Alicia Araujo
Notes :
Lettre 3 sur un total de 25 pages
Le classement des lettres n’est pas garanti et il est possible qu’il en manque une.
D58-3 | T1C-12/22
LES BASES BIOGÉNÉTIQUES DU WUAM (COSMOS)
Nous vous avons déjà indiqué qu’un facteur appelé par nous BAAYIODUU (en réalité une chaîne de doubles atomes de Krypton) présente une double mission :
Premièrement: Il emmagasine, depuis la Génération du WAAM, au sein des êtres vivants une INFORMATION CODÉE de tous les ÊTRES organiques possibles qui le composent [le = WAAM NdT].
Deuxièmement : Il capte l’information du Milieu Ecologique environnant : il compare cette information avec celle citée antérieurement, et dans certains cas, il pourra provoquer une nouvelle mutation qui donnera lieu à un nouvel ÊTRE VIVANT (être vivant déjà dessiné dans le code précédent).
Pour les profanes en sciences Biologiques, nous utiliserons une comparaison facilement compréhensible. N’oubliez pas que ces rapports sont essentiellement didactiques : nous ne prétendons pas développer exhaustivement des thèmes implicites dans le domaine de la Biochimie, de la Génétique Moléculaire et autres niveaux de la Biologie Générale que vous connaissez déjà. D’autre part le développement excessivement technique de nos concepts n’est pas possible pour des raisons évidentes. Nous nous limiterons donc à une simple description.
Exemple: Supposez que dans un pays de la Terre, un pays très développé techniquement, ait été installé une grandiose usine d’avions. Le financement d’une telle entreprise a été effectué sans réserves et avec tous les crédits nécessaires, ce qui devrait permettre hypothétiquement à sa Direction de développer des programmes inaccessibles aux autres Firmes industrielles moins importantes.
La possession de tels moyens extraordinaires a amené les Directeurs et les Techniciens de l’Usine à créer un projet ambitieux. Ce programme inédit consisterait à créer un Cabinet d’Etudes de tous les moyens techniques existants. On a construit des milliers de tunnels aérodynamiques, des laboratoires de Métallographie qui occupent des douzaines de bâtiments, des bureaux d’information et de documentation avec des canaux informatifs connectés avec tous les centres de recherches de la Planète et des centaines de milliers d’ingénieurs, physiciens et spécialistes en électronique se sont mis en rapport pour planifier cette recherche (Vous pouvez imaginer qu’un tel projet est une pure fiction. Tel qu’il est présenté, il ne pourrait jamais être mené à terme).
Il s’agit ni plus ni moins que de confectionner les plans, pourvus de tous les éléments techniques nécessaires pour leur réalisation, de TOUS LES MODÈLES D’AVIONS OU ARTEFACTS SUSCEPTIBLES DE SE DÉPLACER DANS L’ AIR.
Il n’est pas nécessaire d’être technicien pour comprendre l’importance d’un tel projet. Il est impossible de calculer le nombre de billions de Modèles qu’il faudrait dessiner (c’est pour cette raison que nous vous avons averti que ce projet n’était qu’une simple fiction prise comme exemple au niveau de ses effets didactiques).
Une fois ces plans dessinés en fonction de chaque nécessité et des conditions aéronautiques ou de navigation aérienne, les ordinateurs se chargeraient d’accumuler une telle information dans le moins d’espace possible.Il ne viendrait à personne l’idée d’engranger tant de millions de tonnes de papier dans des archives normales. On recourrait, par exemple, à une traduction codée des dessins au moyen de transducteurs appropriés, à une accumulation de données codées sur bande magnétique ou perforée comme cela se pratique sur la Terre ou sur cristaux de titane comme on le fait sur UMMO.
Continuons notre fable : un jour on réalise un vol avec l’un des modèles les plus modernes en aile Delta; avec un réacteur pour des plafonds de douze kilomètres. Celui-ci doit voyager au dessus d’une région ennemie pourvue de missiles à détection de radiation infrarouge pour détecter l’émission de tels rayons issus de tuyères correspondant aux turboréacteurs.
Les avions sont détruits les uns après les autres, la survie de l’appareil est en danger. Le Milieu qui l’entoure est incompatible avec «l’espèce» ( dit en langage biologique). Mais les ingénieurs qui étudient les avions ne perdent pas de temps. Avec leurs équipement ils détectent les causes de l’échec et ils codifient les éléments du problème. Ils observent par exemple que les missiles ennemis ont des réflecteurs paraboliques à l’intérieur de leurs ogives plastiques, que celles-ci n’émettent pas d’ondes de haute fréquence et donc qu’elles ne sont pas destinées ou capable d’émettre des ondes radar; ils observent de quelle manière les trajectoires de tels missiles s’orientent statistiquement en direction de la queue de leurs propres avions. Ils découvrent en somme que de tels projectiles air-air sont pourvus de détecteurs de chaleur très sensibles.
Il faut donc provoquer une mutation dans le dessin de l’avion. Mais on n’a pas le temps d’en faire le projet et d’essayer un nouveau prototype.
C’est alors que le grandiose projet de tout à l’heure va avoir une application pratique. Il suffira d’interroger les archives pour obtenir un prototype de performances aussi bonnes, assez semblable au modèle antérieur, mais possédant une couronne protégeant la tuyère afin d’atténuer la radiation, à l’extérieur, des fatidiques rayons infrarouges. Les dessins du nouveau modèle sont déjà prêts et la réalisation en sera beaucoup plus facile.
Nous pensons que vous comprendrez facilement la comparaison. Bien sûr de nombreuses questions surgissent, par exemple : comment WOA (DIEU) peut-il résoudre le codage de tous les Phylum (êtres vivants) possibles qui peuvent exister dans le Cosmos ? (Il ne faut pas oublier que de ces billions d’êtres possibles, seule une fraction insignifiante vit réellement dans les Astres habités). Nous traiterons de la réponse à cette question dans le rapport complémentaire ci-joint.
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Même si le nombre de formes de vie compatibles est très élevé, nous vous prévenons que nous avons pu vérifier que certaines formes de vie NE SONT ABSOLUMENT PAS POSSIBLES. Par exemple penser que, dans des Astres pouvant être habités, se seraient développés des êtres vivants basés sur des bases biochimiques différentes n’a pas de fondement. Basés par exemple sur la Chimie du Silicium ou sur la Chimie du Germanium.
Toute forme biologique est nécessairement liée à la CHIMIE DU CARBONE.
Le problème est donc complexe et WOA a résolu cette loi en la matérialisant d’une manière qu’il n’est pas facile d’expliquer en quelques paragraphes courts.
En premier lieu, les atomes de Krypton qui composent le BAAYIODUU contiennent la clef codée de cette loi. Dans cette série de 86 paires d’atomes, pour chaque XAAXADOO (CHROMOSOME), se trouvent codées toutes les possibilités existantes d’ÊTRE ORGANIQUES qui peuvent se réaliser dans la nature.
On peut représenter graphiquement le réseau ou graphe très complexe qui représente la répartition ramifiée de cette Phylogénie.
Pour nous faire comprendre nous allons au préalable définir la signification de quelques symboles.
Nous appelons ONAUDOOXA XUU [L] (on peut traduire par «ARBORESCENCE») la série ramifiée des voies possibles ou «Phylum» qui succèdent à une mutation.
S58-5f1
Chaque branche représente un XUU (PHYLUM), exemple ou variété animale possible. Les IBOZOODAO (NOEUDS) représentent le moment où se produit la mutation. Chaque IBOZOO DAO [L] comporte implicitement un nombre de MUTATIONS possibles.
Le symbole (s58-5f2) avec un chiffre sur la partie supérieure (ndt: en exposant) représente le nombre total de mutations possibles (connues à ce jour). Cette formule porte le nom de BAAYIODIXAA IDUGOO [L] .
L’exemple (s58-5f3 ) doit être interprété comme le fait qu’une variété d’ARTHROPODE TERRESTRE (s58-5f4) peut se transformer en (s58-5f5) ,variétés «progressives» ou «régressives» en fonction d’autant d’autres mutations.
Vous pouvez observer que ce codage a un caractère de POTENTIALITÉ. Nous parlons de POSSIBILITÉS. Ensuite nous verrons que dans la réalité de chaque PLANÈTE, de toutes les mutations possibles pour chaque ONAUDOOXA XUU [L] (ARBORESCENCE), seule une, deux, huit, etc… possibilités se produisent dans la réalité.
Nous vous indiquerons aussi que quelques IBOZOO DAO [L] (NOEUDS) étudiés ont révélé jusqu’à 200 000 possibilités de mutations et on pense que le chiffre limite peut atteindre dans certains NOEUDS jusqu’à 18 millions de MUTATIONS possibles codées dans les atomes de KRYPTON.
Prenons un exemple beaucoup plus graphique en utilisant des animaux terrestres aussi actuels que ceux apparus à la fin du Paléozoïque ou au début du Mésozoïque (TRIASIQUE), cela vous aidera pour la compréhension.
S58-5f6
Vous pouvez observer que l’une des branches (reptiles antédiluviens) a subi une série de mutations ( µ ) représentée par cet IBOZOO DAO [L] qui donna lieu à de nouvelles branches phylogénétiques. Trois de celles-ci sont représentées sur le graphique comme : PTEROSAURES, ARCHÉOSAURES, ICHTYOSAURES.
Se sont donc produit trois ou peut-être quinze mutations mais : Combien auraient-elles pu se produire ? Cette réponse apparemment insoluble nous est apportée par le BAAYIODUU dans l’une de ses 86 paires d’atomes de krypton. Le chiffre des possibilités est très élevé : de l’ordre de : 5.10 4 < N < 18.10 6 (Ndt: 50000 à 18 millions)
Pour mieux comprendre la phylogénie codée dans le BAAYIODUU, nous représentons avec la couleur VERTE les innombrables XUU (phylums ou branches) qui POURRAIENT SE PRODUIRE dans n’importe quel ASTRE dont les conditions physiques sont propices à l’apparition de la vie organique et en ROUGE les XUU qui se produiront EN RÉALITÉ (Ndt: les branches 1,5 et 10 sont en rouge, les autres en vert sur le dessin qui suit). Ainsi la Phylogénie de notre exemple précédent adoptera cette nouvelle représentation :
S58-5f7
Quelle forme aurait adopté le Saurien X, par exemple, si une telle mutation s’était produite ? Pourquoi une telle mutation ne s’est-elle pas produite ? Et pourquoi ne se sont pas produites ces milliers de mutations qui auraient données d’autres formes de structures animales?
Ces questions qui peuvent paraître ingénues ont cependant des réponses que nous allons développer dans les paragraphes suivants.
Mais avant nous devons vous donner une explication concernant l’interprétation des «messages codés» enfermés dans le BAAYIODUU.
Chaque modification d’un électron au sein d’une sous-couche orbitale parmi les huit qui existent dans l’atome de KRYPTON, code un XUU ( ou PHYLUM). Prenons un exemple (mais tenez compte que représenter spatialement des positions électroniques a seulement une valeur didactique):
S58-5f8
Chacun des quatre sauts électroniques (ne confondez pas ces changements avec les sauts quantiques qui se produisent entre deux niveaux énergétiques de l’atome) représentera autant d’autres branches possibles. La morphologie qu’adopte réellement l’animal dans le cas où se produit une mutation sera fonction (en code) des positions électroniques des électrons des autres atomes du BAAYIODUU.
(Nous répétons qu’en réalité le nombre des Phylums possibles n’est pas de quatre mais de nombreux millions). .
Nous voyons donc que le BAAYIODUU enfermé «écrit en forme de CODE», toute la phylogénie des êtres vivants possibles dans le WAAM (COSMOS). Ceci à une importance transcendante.
En employant une comparaison accessible aux non initiés en Biogénétique, imaginez un livre qui détaille tous les modèles d’avions (non seulement ceux qui ont été construits, mais aussi ceux qui pourraient ou pourront être construits); un tel livre symboliserait la fonction du BAAYIODUU. L’exemple est grossier car un tel livre serait un objet PASSIF et nos BAAYIODUU contenus dans les XAAXADOO (chromosomes) adoptent une fonction opérante comme nous allons le voir maintenant.
Si nous représentons graphiquement la phylogénie possible de tous les être organiques qui peuvent exister dans le Cosmos, quelle forme aurait-elle ?
Avant tout nous devons objecter qu’une telle représentation graphique exacte n’est pas possible dans la mesure où les ONAUDO OXA XUU [L] (ARBORESCENCES) que l’on doit représenter se comptent par «trillions de trillions». Exprimé par un exemple : nous pourrions représenter les contours d’un bosquet, y compris recenser ses arbres, mais nous ne pourrons jamais reproduire en détail ses innombrables branches et feuilles.
La forme approximative d’une telle phylogénie serait la suivante :
S58-5f9
Nos spécialistes ont pu seulement réaliser des études concernant les XUU (Phylums) représentés en jaune [en gras sur le dessin]. Selon les ramifications possibles (nouvelles espèces nées par mutation), il est vain d’entrer au centre, l’immense complexité rend impossible tout travail de recherche. Et l’utilisation de XANMOO AYUBAA [L] (ordinateurs) n’est pas suffisante pour ce type d’analyse (l’ordre de grandeur peut être de 10 520 ! )
Vous pouvez observer que dans les premières étapes de l’évolution le nombre de XUU (branches) possibles est très réduit, aussi bien sur UMMO que sur n’importe qu’elle planète, les espèces protozoaires sont identiques. On pourrait trouver une amibe, un coccobacille ou un virus déterminé sur n’importe quel astre, mais au fur et à mesure que l’évolution avance, et que les conditions physiques de la Planète diffèrent entre elles, la sélection des XUU possibles produit des panoramas biologiques typiques pour chaque Astre. Les animaux pluricellulaires connus sur Terre ne se créeront probablement pas sur une autre Planète et réciproquement.
Il se produit un phénomène analogue dans la zone de convergence. Les différents XUU s’orientent jusqu’au BUT de cette PHYLOGENÈSE: l’OEMII ou CORPS HUMAIN. Ce point de convergence (U) se ramifie de nouveau en milliers de XUU possibles (RACES HUMAINES).
Le nombre possible de sous-espèces pour l’homme, analysé par nous, est de 9.10 6. Le fait que de telles races existent ou non sur une Planète dépend d’autres facteurs comme nous le verrons par la suite.
Finalement on trouve un nouvel IBOZOO DAO [L] (NOEUD) qui constitue le point de convergence définitif. Aucune des Humanités connues n’a encore atteint ce point. Une fois atteint, l’homme continuera une avance progressive dans son encéphalisation et sa mutuelle agglutination, mais ceci constitue un thème à étudier à part.
Entre les NOEUDS (U) et (X) des millions de mutations possibles provoquent des altérations (rarement régressives) dans la structure somatique de l’OEMII, en affectant spécialement le neurencéphale dont le développement continu se traduit par de nouvelles dotations dans la gamme des fonctions intellectuelles humaines.
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Nous avons vu que chaque chromosome contient un BAAYIODUU inconnu de vous. Sa fonction n’est pas de porter les gènes qui sont matérialisés dans l’acide désoxyribonucléique du chromosome mais de contrôler la viabilité des mutations internes qui, sans action radiologique externe, se produisent dans les différentes espèces tout au long du temps.
Les biologistes de la Terre expliquent l’Orthogenèse (c’est-à-dire la variation des espèces d’une manière progressive) par l’hypothèse de la sélection naturelle en fonction de laquelle les espèces les plus faibles dans leur lutte contre le milieu ambiant et organique sont éliminées; un tel processus sélectif orienterait les espèces vers un perfectionnement progressif à base de mutations.
Une telle explication est simpliste et ne résiste pas à une analyse sérieuse malgré votre méconnaissance du BAAYIODUU (chaîne d’atomes de KRYPTONS codeurs).
Des milliers d’espèces primitives coexistent avec d’autres beaucoup plus évoluées. N’importe quel biotype compte une grande variété d’espèces inconcilliable avec ce principe naïf.
Voyons, le mécanisme somatique de l’IGOOA (GÈNE) avant de répondre à la question : comment se produit une mutation qui donne lieu à une espèce plus évoluée ?
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D 58-4 : Dans notre dernier rapport nous vous avons révélé l’existence d’un facteur encore inconnu de la biochimie TERRESTRE, et que nous dénommons par le phonème BAAYIODUU (le Y est presque muet et le D peut être pris comme un Z très doux).
D 58-4 T1C – 23/25 ajh/ I-I-19/23
Titre de la lettre: Les bases biogénétiques du Cosmos
Date : avril 1967 – date non définie avec précision
Destinataires : Alicia Araujo
Notes : Lettre 4 sur un total de 25 pages
Le classement des lettres n’est pas garanti et il est possible qu’il en manque une.
D58-4 | T1C-23/25
Dans notre dernier rapport nous vous avons révélé l’existence d’un facteur encore inconnu de la biochimie TERRESTRE, et que nous dénommons par le phonème BAAYIODUU (le Y est presque muet et le D peut être pris comme un Z très doux).
Le BAAYIODUU est composé de 86 atomes doubles de KRYPTON (l’expression «atome double» serait incorrecte pour un spécialiste terrestre, mais il faut tenir compte des difficultés de traduction au moment de réaliser une version de nos termes scientifiques dans vos langues terrestres). Par exemple l’étymologie de notre phonème NIIO AA [L] qui tend à exprimer la même chose qu’ ATOME est très différente. Non seulement ses racines n’ont rien à voir avec les racines grecques (INDIVISIBLE) mais de plus ce mot NIIO AA nous sert aussi pour parler d’une molécule chimique ou d’un petit groupe d’atomes non liés entre eux. Une telle confusion est issue de conceptions physiques différentes car nous, nous concevons les particules sousatomiques comme de simples changements d’axe dans un Réseau pluridimensionnel, liées à une fonction probabiliste. Ainsi quand de telles entités sont reliées de quelque façon, nous appelons cette interrelation à un niveau microphysique NIIO AA. Ainsi par exemple, une paire formée par un hypéron sigma et un proton au sein du noyau atomique, recevra aussi le nom de NIIO AA. Le même noyau recevra le nom de NIIO AAA [L] ainsi que l’interaction PHOTON-ÉLECTRON. Pour différencier le type de NIIO AA que nous sommes en train d’étudier, nous mettrons un chiffre codé devant le phonème.
Ainsi quand deux atomes exercent une fonction spécifique, différente de celle des autres atomes contenus dans l’environnement, ils recevront aussi la dénomination de NIIO AA même si de tels atomes ne sont pas intégrés dans une molécule à l’aide d’une liaison chimique.
C’est le cas des paires de krypton dans le BAAYIOODUU, des deux atomes liés à l’axe, l’un d’eux code l’information stéréotypée du code biogénétique. Exprimé en termes plus didactiques : il enferme un message qui lui a été fourni depuis l’origine de l’Univers (Nous pouvons démontrer que le WAAM ou Cosmos n’est pas CYCLIQUE). Un peu comme un dictionnaire terrestre ou un manuel (Je parle particulièrement pour une paire des 86 ); une page de ce dictionnaire de 43 feuilles où sont résumées et cataloguées TOUTES LES FORMES POSSIBLES D’ÊTRES VIVANTS compatibles avec les lois biogénétiques universelles.
L’autre atome DYNAMIQUE a une double fonction que nous expliquerons plus tard. En premier lieu, il CAPTE l’information issue du cytoplasme cellulaire (nous allons éclaircir le processus) en l’encodant temporellement.
En second lieu, il DYNAMISE une telle information accumulée en provoquant des altérations quantiques qui sous forme de radiation provoquent des altérations au sein des chromosomes (dans l’ADN); c’est à dire des MUTATIONS.
Tout ceci nécessite une série de déclarations préalables sans lesquelles un profane en Génétique ou en Biochimie terrestre rencontrerait des difficultés pour la compréhension des concepts qui suivent.
La première question que vous pourriez formuler est celle-ci : Comment la cellule reçoit-elle l’information concernant le milieu extérieur?
C’est l’un des aspects les plus importants du dynamisme cellulaire. Prenons un exemple, vous comprendrez mieux:
Choisissons un être vivant qui vous soit familier : un arthropode vulgairement appelé crabe. Vous savez que l’une de ses espèces très courante sur les côtes américaines a une coloration bleue due précisément à la couleur de certaines roches recouvertes d’algues bleuâtres. Quel a été le processus qui a permis à cette espèce de crustacés d’obtenir cette coloration ?
Si cette variété de crabes avait été noire ou brune, elle posséderait moins de moyens de défense face à ses ennemis car ils pourraient facilement distinguer l’animal par son contraste avec le milieu chromatique qui l’entoure. Le camouflage de la couleur lui permet au contraire de parfaitement se défendre sur ce terrain. Vous rencontrerez des exemples identiques avec des animaux tels que le caméléon terrestre ou sur notre UMMO l’OERUU IIOSSAUUIGAA [L] , vertébré qui peut parfaitement se confondre avec les roches couvertes de lichens jaunâtres très abondants dans la région volcanique d’UUIDDAO UYOAA IIO [L] .
Une multitude d’insectes qui vous sont connus adoptent des formes de branches, de pailles, de feuilles qui leur permettent un mimétisme absolu et défensif sans lequel l’espèce disparaîtrait. Mais vous vous êtes sûrement souvent demandé comment la NATURE a pourvu l’organisme de telles défenses.? Ni l’hypothèse de la sélection naturelle des spécialistes en génétique terrestre, ni les hypothèses concernant la mutation provoquée par les radiations extérieures, ne peuvent expliquer un fait d’une telle importance.
Que s’est-il donc passé pour que se produise ce phénomène si surprenant de la coloration bleutée de ce crustacé?
En premier lieu, nous vous indiquons qu’il y a deux voies d’information possédées par une cellule
– CANAL CHIMIQUE D’INFORMATION
– CANAL RADIOÉLECTROMAGNÉTIQUE D’INFORMATION
Ainsi, tout être organique complexe, tel l’homme, possède une série d’organes appelés SENS par les terrestres, qui le mettent en contact avec le monde extérieur grâce à l’information captée sous forme d’ONDES; la cellule a aussi des moyens d’information qui lui permettent d’être en relation avec le milieu extérieur par l’intermédiaire de sa membrane complexe. Ces moyens sont : En premier lieu les fréquences ÉLECTROMAGNÉTIQUES DE TOUTES LES LONGUEURS D’ONDE. Depuis celles qui possèdent une longueur d’onde de plusieurs kilomètres et que vous appelez Grandes Ondes jusqu’aux vibrations de grande énergie et de très haute fréquence que vous appelez d’une manière incorrecte du nom de Rayons Cosmiques
En second lieu: La cellule choisit à travers sa membrane de laisser passer certains composés chimiques. La cellule mémorise la déglutition de tels produits. Un peu comme si nous les Hommes nous utilisions pour communiquer entre nous, un langage codé dans lequel au lieu d’utiliser les vibrations de l’air, c’est à dire des SONS, nous utilisions des aliments et en mastiquant une séquence de plats nous comprendrions la signification du message.
Quand l’être vivant est simplement unicellulaire, l’information du monde qui l’entoure arrive directement par ces deux voies. Des millions de messages radioélectromagnétiques issus d’autant d’autres sources d’émission arrivent à son cytoplasme et à son noyau. (TOUS DEUX RÉCEPTEURS DE TELLES FRÉQUENCES).
Ces sources sont très diverses et presque toutes se trouvent dans le WAAM ou COSMOS. Ainsi dans le cas d’OOYAGAA (Planète Terre): une gamme importante de radiations issues du Soleil. Jupiter également vous envoie par exemple fréquemment des trains d’ondes de longueur décamétrique ainsi que les radiosources localisées par les radioastronomes terrestres qui vous sont si familières qu’il est inutile de les reprendre ici.
Bien que captées par la cellule, de nombreuses fréquences parmi celles-ci ne sont pas mémorisées par elle. Mais il existe une fréquence qui a une importance transcendante pour les cellules des tissus vivants de tous les êtres du Cosmos. Les terrestres en connaissent l’existence mais ne se doutent pas de son importance. Nous nous référons à la fréquence correspondant à l’ONDE de 21,106 centimètres émise par des grandes nébuleuses d’Hydrogène Neutre qui, dans le cas de notre Galaxie, se trouvent quasiment concentrée dans le plan galactique équatorial.
Les cellules de tous les êtres vivants de notre Galaxie (et par supposition celles des autres Galaxies) reçoivent ces trains d’ondes de l’hydrogène; mais ce qu’elles mémorisent réellement ce ne sont pas les séquences rapides, c’est-à-dire les variations acycliques de courte période. La cellule ne se souviendra pas par exemple des variations rapides (A sur la FIG 10) de l’intervalle d’un an mais, au contraire, elle se souviendra des variations accusées par intervalles réguliers de l’ordre d’un millier d’années terrestres (période seuil mesurée par nous : (S58-4f1) = 877,533 années terrestres (B sur la figure S58-4f2)
S58-4f2
Comme une cellule a une période de vie très réduite (les cellules nerveuses peuvent vivre une centaine d’années terrestres, pendant que les hématies du sang atteignent à peine 130 jours terrestres). Le message est mémorisé par de nombreuses générations consécutives. (Vous pouvez imaginer un langage si lent que pour capter le mot S O U F F R E, il faut la collaboration depuis le bisaïeuil d’une famille jusqu’à son arrière petit-fils.)
C’est ainsi qu’apparaît un véritable processus d’hystérésis dans la cellule qui, de génération en génération, va accumuler une information radioélectrique convenablement MEMORISÉE ET CODÉE. Les cellules appartenant au tissu épithélial de l’OEMII (corps humain) peuvent contenir, sous forme codée, toutes les variations des champs électromagnétiques de source sidérale accusées sur la Planète Terre et ce depuis l’apparition de la vie.
Mais il est important de vous dire quel est le véritable récepteur de ces fréquences, récepteur qui ne nécessite pas l’aide de valvules de vide, ni de fonctions d’état solide de transistors ou diodes terrestres de silicium ou de germanium, ni de condensateurs, de résistances, de transformateurs d’alimentation ou de bobines inductrices, comme les récepteurs terrestres. Ce récepteur est tout simplement l’EAU contenue dans le Cytoplasme de la Cellule et dans son Noyau. La structure moléculaire de celle-ci la rend apte à capter de telles Ondes même si ces longueurs d’onde sont beaucoup plus grandes que celles de ses dimensions moléculaires.
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Site UMMO-SCIENCES – TRADUCTIONS – D58-5
D 58-5 : Dans les documents précédents, nous avons fait un résumé de la fonction de réception et de codage des cellules. Cependant nous devons vous avertir qu’une étude complète des procédés intracellulaires ne peut être faite seule sans qu’elle perde sa valeur scientifique.
D 58-5 T1C – 26/28 ajh/ I-I-23/26
Titre de la lettre: Les bases biogénétiques du Cosmos
Date : avril 1967 – date non définie avec précision
Destinataires : Alicia Araujo
Notes : Lettre 5 sur un total de 25 pages
Le classement des lettres n’est pas garanti et il est possible qu’il en manque une.
D58-5 | T1C-26/28
Dans les documents précédents, nous avons fait un résumé de la fonction de réception et de codage des cellules. Cependant nous devons vous avertir qu’une étude complète des procédés intracellulaires ne peut être faite seule sans qu’elle perde sa valeur scientifique.
Pour cela notre objectif est de vous informer au niveau de la vulgarisation scientifique sur les avances obtenues par nous dans le champ de la BAAYIODUULAA (BIOLOGIE).
Il faut que ce point soit bien clair pour vous. Malgré le fait que la rédaction des documents ait été réalisée en tenant compte du niveau moyen culturel des composants de ce groupe, certains parmi vous trouvent des difficultés à la compréhension de certains concepts scientifiques. Comment pouvons nous dicter ces notes en tenant compte de la terminologie et en nous appuyant sur une formulation chimiomathématique plus adaptés pour un biologiste terrestre que pour des OEMII (HOMMES) dont la profession, sauf certain cas isolés, est marginale par rapport à ces études ?
C’est pour cela que notre mission est de vous informer sur des principes que nous jugeons transcendants. Mais il existe une difficulté évidente. Pour vous décrire l’existence de certains facteurs comme le BAAYIODUU, nous devons citer des concepts et des facteurs qui soient familiers aux techniciens terrestres, comme le code génétique contenu dans les chromosomes. Mais certains parmi vous n’ont pas eu l’occasion de connaître les dernières découvertes de la biochimie terrestre. Nous faisons donc attention en ponctualisant pour les profanes en sciences biologiques les concepts connus sur Terre et ceux connus seulement par d’autres civilisations extraterrestres.
D’autre part il est nécessaire d’utiliser, pour ceux d’entre vous qui n’ont pas une érudition profonde en Mécanique Quantique des exemples compréhensibles et qui ont uniquement une valeur uniquement pédagogique.
Ainsi quand nous disons que dans le BAAYIODUU, les atomes de Krypton tournent par paires en orbites elliptiques ou quand nous nous référons aux «sauts» électroniques au sein d’un niveau énergétique ou souscouche atomique, nous utilisons un langage symbolique.
Vous devez tenir compte que toute la structure de la Mécanique Quantique créée par les Physiciens de la Terre est une véritable entéléchie (ndt: être philosophique hypothétique) qui n’a pas de base réelle. Par exemple nous allons vous citer un concept qui est familier aux physiciens terrestres : le SPIN DE L’ÉLECTRON.
Vous êtes (à cause de l’état embryonnaire de vos recherches), incapables de donner par exemple une explication satisfaisante de l’effet, appelé par vous «de ZEEMAN»; vous créez le concept de moment angulaire du SPIN et vous construisez tout un modèle mathématique sur une hypothèse aussi fragile. Nous vous signalons qu’à lui seul ce faux concept a retardé, au niveau de la physique terrestre, l’élaboration d’un modèle atomique plus ajusté à la réalité. Ce que vous appelez SPIN est très différent de ce que vos mathématiciens postulent.
En effet : si vous considérez un Réseau spatial de N dimensions, la déformation en deux axes axiaux [ndt: :»dos ejes axiales»] orientés orthogonalement et qui se coupent en un IBOZOO UU (point spatial) donnera lieu à un effet qui, dans le cas que vous appelez CHAMP ÉLECTROSTATIQUE – CHAMP MAGNÉTIQUE, invite les spécialistes de votre Planète à le représenter par un vecteur et à lui assigner un numéro quantique. Pour que le comprennent mieux les profanes en Physique, c’est un peu comme si quelqu’un contemplait d’une lointaine montagne le pique-nique d’une famille et qu’il confondait le drap étendu au sol avec la jupe d’une excursionniste assise sur celui-ci, en un unique vêtement.
Nous vous disons tout cela pour que vous preniez conscience des difficultés que nous rencontrons quand nous vous décrivons un concept scientifique. Si nous utilisons le langage scientifique terrestre, nous travestissons et falsifions la vérité car, comme nous l’indiquons plus haut, de telles hypothèses terrestres sont viciées à l’origine, et si nous avons recours au chemin logique qui consiste à vous expliquer au préalable vos erreurs ou les idées inexactes que vous vous êtes forgées, il faudrait alors une grande quantité de pages dactylographiées. Et même si ce panorama n’était pas déprimant, beaucoup d’entre vous ignorent ces hypothèses terrestres, car ils jugent plus intéressant de se soumettre au lavage cérébral de la Télévision que de se former à ces disciplines scientifiques.
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Nous vous disions dans notre rapport antérieur que la cellule est capable de recevoir une information grâce à deux voies : RADIOÉLECTRIQUE et CHIMIQUE.
Le processus par lequel un crustacé, comme celui de l’exemple rapporté dans l’étude précédente, informe ses cellules germinales sur la nature du milieu qui l’entoure est très complexe et nécessiterait une autre série de rapports. Pour résumer nous vous indiquerons que le Crabe déjà cité captera grâce à ses yeux les stimulations lumineuses de la coloration des roches (BLEUT-VERT). Ceci provoque une série d’altérations métaboliques (c’est à dire biochimique), immédiatement les stimuli codés sous forme d’influx nerveux affectent les organes simples de son système nerveux embryonnaire. Dans ce cas ce sont les niveaux de Potassium et d’Azote qui s’altèrent de manière telle que la cellule EST INFORMÉE des conditions qui règnent à l’extérieur dans le domaine OPTIQUE.
Au travers de la Membrane Cellulaire l’équilibre du transfert ionique est altéré et le métabolisme cellulaire subit une série de modifications qui vont du Cytoplasme jusqu’au Noyau.
Les altérations se produisent au niveau des sous-couches les plus superficielles des atomes d’oxygène qui composent les molécules d’EAU INTRA-CYTOPLASMIQUE en produisant automatiquement des variations quantifiées du Champ gravitationnel électronique.
Nous allons un peu expliquer cela pour ceux qui ne sont pas forts en physique.
Vous savez que l’un des attributs de l’électron est la Masse. Nous préférons, pour ne pas vous créer de confusion, cerner le modèle d’électron décrit par les physiciens de OYAAGAA (Terre). . Quand la masse de l’électron décrit un mouvement vibratoire harmonique, elle crée dans certaines conditions des ondes gravitationnelles avec perte d’énergie équivalente. Dans ces conditions l’électron disparaît pour se transformer en ce que vous appelleriez UNE AUTRE SOUS-PARTICULE ATOMIQUE. (Une telle sousparticule vous est inconnue et il n’est pas nécessaire de la désigner par un nom, comme il n’est pas nécessaire non plus de donner un vocable à chacun de l’infinité des angles que forment deux lignes droites.)
Ce phénomène N’EST PAS CONNU DES TERRESTRES. En réalité l’électron ne se dégrade pas en émettant une énergie quantifiée de forme gravitationnelle. C’est tout simplement, selon la conception vérifiée de notre PHYSIQUE, qu’il subit une nouvelle orientation de son axe et que se modifie la structure du Réseau N-dimensionnel qui l’entoure.
Exprimé en langage compréhensible: certains atomes d’OXYGÈNE composants de l’eau contenue dans le cytoplasme cellulaire, subissent une excitation dans leurs couches orbitales externes. Les électrons en vibrant émettent des ondes de type gravitationnel qui disparaissent par la suite, un peu comme si un émetteur de radio terrestre devait brûler ses propres équipements pour obtenir l’énergie nécessaire pour envoyer l’émission.
Ces ondes gravitationnelles ont une énergie énormément plus faible que les ondes radio que vous connaissez (de l’ordre de 10-39 plus petit). Mais ce champ gravitationnel altéré provoque un effet de résonance dans les électrons de l’un des atomes de chaque paire qui compose le BAAYIODUU (atome que nous appellerons, car c’est sa dénomination dans notre langue:BAAIGOO EIXUUA [L] et qui est intraduisible): DYNAMIQUE ou dynamiseur. Autrement dit : il agit comme un récepteur capable de détecter les ondes gravitationnelles émises par l’OXYGENE cytoplasmique et d’enregistrer le message comme s’il s’agissait d’un magnétophone terrestre. Quand un électron s’associe avec un Quantum gravitationnel (appelé par les terrestres GRAVITON) une telle association peut donner lieu à un autre électron avec modification de phase et de position orbitale et à une nouvelle sousparticule qui se dégrade par la suite en se subdivisant en deux autres.
C’est ainsi que les électrons de l’atome de KRYPTON sont «INFORMÉS» (nous utilisons le langage de vulgarisation) que dans les environs du lieu où se trouve le Crabe de notre exemple, la coloration dominante est bleutée. (NOUS POURSUIVRONS LE RAPPORT).
Mais nous voulons déclarer à la YIE ALICIA ARAUJO que le niveau de compréhension de la vraie nature du phénomène décrit dans les rapports précédents n’est pas du tout incorrect, sinon que le formalisme utilisé pour elle soit un peu primitif.
Nous signalons avant tout qu’il n’y a pas qu’un seul atome qui code toutes les formes possibles d’êtres vivants du WAAM mais 86 NIIO AA [L] (ATOMES ) de KRYPTON que nous appelons BAAIGO EIXAE [L] (décodeurs). Leurs électrons, en occupant à chaque instant des milliers de millions de positions différentes (LE CHIFFRE TEND EN RÉALITE VERS L’INFINI), sont capables de condenser cette énorme information.
Dans des rapports ultérieurs vous comprendrez mieux toute la fonction du BAAYIODUU.
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