Carta de UMMO N 103 recibida el 12 de Diciembre de 1972 por Ignacio Darnaude Rojas-Marcos, desde Londres

Descripción

Carta de UMMO recibida el 12 de Diciembre de 1972 por Ignacio Darnaude Rojas-Marcos, desde Londres

54.- Carta Ummo 1972,N 103,de Londres

 

54.- Carta Ummo 1972,N 103,de Londres

D 103 TP- 12/13 ajh II-I-53/55
Titre de la lettre:
Date : 12/12/1972
Destinataires : ERIDANI pour Monsieur Farriols
Notes :
(1 lettre – 2 pages)
Cette lettre, envoyée de Londres, a été reçue à Séville le 12 décembre 1972,
(c’est-à-dire plus de 16 mois après la lettre n°108)
D 103 | TP- 12/13
UMMOELEUEE
Monsieur Ignacio Darnaude Rojas-Marcos
SÉVILLE, ESPAGNE
Nombre de copies : une
Cher Monsieur,
Il n’y a que quelques jours que mes frères, en déplacement dans votre nation, vous envoyèrent de
Madrid, dans le cadre d’une lettre remise à votre frère Monsieur Rafael Farriols Calvo, un salut
respectueux. Permettez-nous de le réitérer aujourd’hui avec une vraie dévotion et estime .
Le motif de cette lettre est exposé ci-après :
Nous nous sentirions heureux si vous faisiez un effort pour développer vos investigations à Albacète
avec plus de discrétion. Nous constatons qu’elles ont transpiré dans un secteur réduit de la
population qui est déjà consciente de certains aspects ambigus de cette histoire.
Mes frères gardent une grande sympathie et du respect pour cette grande dame, votre soeur
d’Espagne : Madame Margarita Ruiz de Lihori qui eut la gentillesse de donner l’hospitalité aux
miens.
Permettez-nous, monsieur Ignacio, de vous assurer que les versions qui circulent dans votre pays au
sujet de cette dame sont en grande partie inexactes et douloureusement injustes. Nous acceptons la
responsabilité qui nous revient, qui consiste à avoir créé une ambiance bizarre et ambiguë due à
notre présence. Vous savez bien que n’importe quel enchaînement de faits, quand il s’entoure de
facteurs énigmatiques et étranges, acquiert de nouvelles dimensions, que les profanes dans le sujet
s’efforcent quasi inconsciemment de sortir de leur contexte pour les faire apparaître à la fois comme
immoraux et même criminels.
Nous désirons apporter quelques preuves qu’aucun de ceux qui participent à ces critiques n’a agit en
violant les lois de votre nation respectable ou poussé par des motivations malhonnêtes.
C‘est pourquoi cela nous fait de la peine que de nouvelles investigations de votre part lèvent de
nouvelles blessures ; ou de nouvelles raisons fallacieuses de dépréciation pour votre soeur déjà
décédée.
Ne considérez pas, monsieur Ignacio Darnaude, notre demande respectueuse comme une exhortation
pour que cessent ces études. Vous êtes un homme libre et vous savez que rien ne peut ni ne doit faire
pression dans ce sens. Ne considérez-vous pas raisonnable notre demande que de telles analyses se
déroulent de manière que ces informations ne parviennent pas à vos frères peu préparés, qui, bien
que sans méchanceté, pourraient les pervertir?
Le fait que votre personnalité montre des traits d’humanité prudente et raisonnable nous pousse à
nous adresser à vous. Nous savons que vous avez formulé plus d’une fois de sérieux doutes sur notre
identité et cela constitue une attitude sage face à des êtres inconnus comme nous.
Ne pensez-vous pas que faire une publicité excessive sur nous ne peut être utile en rien à vos frères?
Quel que soit le jugement que vous portez sur ceux qui affirment provenir de la planète Ummo, vous
conviendrez sans doute sur l’inopportunité de leur accorder une attention excessive.
Voyons les raisons :
Si, comme le pensent quelques-uns de vos frères, mes frères et moi-même appartenons à quelque
groupe humain terrestre, à une organisation déterminée plus ou moins ésotérique, mus par des
ressorts de caractère financier, politique, religieux ou philosophique, ayant des buts de moralité
douteuse et de caractère militaire, prosélyte, délinquant, subversif … Vous comprendrez vous-même
qu’en aucun cas il ne conviendrait de créer un alarmisme exagéré et de susciter dans l’opinion
publique un intérêt dont le premier bénéficiaire serait cette hypothétique organisation. Au contraire il
s’imposerait de nous dénoncer aux autorités respectives de vos nations, aux organisations de police
internationale, avec le but de faire avorter ces activités présumées antisociales.
Si comme d’autres de vos frères le soupçonnent, nous étions quelque secte ou société qui utilise la
fausse dénomination d’Ummo pour masquer des activités de caractère scientifique, d’investigation
sociologique, etc., sans la moindre intention anti-éthique, ne pensez-vous pas que générer une
publicité excessive à notre égard pourrait perturber leurs nobles fins?
Si nous sommes un petit groupe de farceurs répartis dans différentes nations, engendrer à notre égard
une connaissance de notre identité frauduleuse équivaudrait à se faire complice de cette tromperie
Et si finalement comme nous l’assurons formellement, parce que nous seuls nous savons
l’authenticité et l’éthicité de notre témoignage, nous sommes des visiteurs provenant de notre
planète, alors les raisons pour garder une réserve et le secret dans les déclarations qui pourraient
filtrer dans les macrogroupes sociaux de la Terre sont évidentes et il n’est pas nécessaire de les
résumer.
Parmi les rares citoyens d’Espagne qui connaissent cette affaire peu claire pour vous, nous voyons
en vous un homme prudemment sceptique, procédant à des recherches anxieuses et sans limites.
Quelque soit l’hypothèse que vous formuliez sur nous, péjorative ou admirative, elle se doit d’être en
cohérence avec les raisonnements exposés plus haut : qui se résument à convenir de l’absence de
preuve de notre origine, en nous concédant un crédit excessif pour une part, et en s’accordant parmi
vous et vos frères à ne pas développer une publicité excessive. Nous pensons que vous pourriez agir
comme modérateur prudent de quelques uns de vos frères enthousiastes d’Espagne, en leur faisant
voir la nécessité de se montrer réticents à notre égard.
Notre objectif déclaré se mesure aujourd’hui en ce que vous êtes dépositaires de ces informations sur
les êtres d’Ummo, ce que l’on pourra constater un jour sans ces doutes douloureux et désagréables.
Pour cela nous ne pouvons éviter le contact avec vous qui serait la meilleure solution pour entraver
tous les risques qui ont été exposés.
Comme contrepartie, vous prenez patience et vous ne nous concédez pas de crédit. Nous croyons que
l’attitude la plus prudente est celle de l’homme qui conserve nos informations et expose sans se
cacher, en même temps une critique sérieuse de notre exposé testimonial, tout en niant par principe
sans plus de preuves l’acceptation de nos inévitables affirmations. Nous avons réitéré des centaines
de fois ce conseil en différentes langues, et canadiens et espagnols ont été de ceux qui nous ont prêté
le moins d’audience.
Recevez, monsieur Ignacio, nos plus cordiales salutations.

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