Informe UMMO Ibozoo Uu Gesto
- Descripción
Descripción
Informe UMMO Ibozoo Uu Gesto
DOCUMENT: *D59
TITRE: THEORIE DU CHAMP UNIFIE. LES IBOZOO UU. VERITABLE STRUCTURE DE L’ESPACE PHYSIQUE, LA MASSE, LES PARTICULES SUBATOMIQUES ET LA GRAVITATION.
KEYWORDS: *PHYSIQUE *GRAVITATION * ESPACE
COMMENTAIRES:
5 lettres reçus par Mr Villiagrassa à partir du 1er Mai 1967
UMMOAELEWE
Langue : Espagnol
Nombre de copies : 1
ANRIQUE VILLAGRASA NOVOA
MADRID, ESPAGNE.
Monsieur,
Au cours d’une conversation que vous avez eu avec mon frère dont je dépend : DEI 98, fils de DEI 97, vous lui demandiez des informations concernant les voyages et le concept de l’ESPACE.
Le thème est complexe comme vous pourrez vous en rendre compte dans les documents que nous vous remettons peu à peu.
Bien entendu avant de vous faire une description du type de sensations que nous ressentons quand nous voyageons dans un OAWOOLEA UEWA OEMM (VAISSEAU LENTICULAIRE POUR LES DEPLACEMENTS INTRAGALACTIQUES) il vaut mieux que vous ayez une idée plus exacte de notre concept de l’ESPACE.
Vous vérifierez vous-même qu’une telle théorie diffère largement de celle qui a été élaborée par les mathématiciens de la TERRE. Et que notre image du WAAM, bien que nous le considérions comme un UXGIIGIIAM (ESPACE) pluridimensionnel qui présente dans sa structure de nombreuses courbures que nous appelons masses, ne ressemble en RIEN au concept D’ESPACE TRIDIMENSIONNEL EUCLIDIEN élaboré par les classiques terrestres et n’est pas non plus un fidèle reflet des conceptions terrestres modernes de RIEMAN, BOLYAI ou LOBATSCEWSKY qui supposent un N-ESPACE ou espace pluridimensionnel impliquant que le cosmos peut adopter la forme d’une HYPERSPHERE DE COURBURE POSITIVE OU DE COURBURE NEGATIVE.
Il existe pour nous ce qui est appelé ESPACE-TEMPS conçu par MINKOWSKY mais plongé dans une dimension à N dimensions.
Quand nous vous exposons le concept du IBOZOO UU (qui ne doit jamais être confondu avec le concept de POINT géométrique ou mathématiques élaboré par les mathématiciens terrestres comme une abstraction sans réalité physique) vous comprendrez mieux notre Théorie.
Vous remarquerez que le grand contraste entre vos modèle d’espace et le modèle réel repose précisément sur la différence entre le CONCEPT DE DIMENSION ; concept qui adopte pour vous l’interprétation d’un scalaire.
Un développement exhaustif de notre Théorie de l’Espace exigerait de nombreuses centaines de pages dactylographiées ou typographiées. Nous nous limiterons donc, en quelques dizaines de feuilles que nous vous remettons peu à peu, à vous décrire les éléments de base de cette conception.
Pour ceux qui ne possèdent pas de formation mathématique nous utiliserons des graphiques coloriés aux crayons de couleur avec une valeur simplement pédagogique.
Nous adopterons ainsi une rédaction sobre et simple. Nous invitons les OEMII à faire un effort de compréhension.
Ceci constituera une excellente gymnastique mentale et vous servira de rappel de concepts mathématiques appris autrefois avec l’aide de vos anciens professeurs de mathématiques.
Cela vous servira aussi le jour où les physiciens de la Terre découvriront enfin la véritable nature du WAAM ; à ce moment là vous serez un peu fier d’avoir en ce qui vous concerne (même à un niveau élémentaire) eu connaissance de tels concepts de nombreuses années avant.
Quand nous utilisons des notations mathématiques : Monsieur Villagrassa, si vous comptez lire ces documents publiquement à vos frères terrestres non spécialisés en mathématiques, vous pouvez éluder les paragraphes encadrés en vert.
Vous éviterez aussi une sécheresse excessive dans la lecture d’un thème qui peut paraître ennuyeux aux OEMII peu familiarisés en thèmes scientifiques.
Nous sommes sur qu’après la lecture soigneuse de nos notes, où vous comprendrez, Monsieur Villgrassa Novoa, l’authentique concept du TEMPS, les concepts de DISTANCE, de MASSE, de PARTICULES ATOMIQUE, d’ENERGIE et de CHAMPS GRAVITATIONNELS, concept ELECTROSTATIQUE et MAGNETIQUE, vous pourrez alors vous faire une idée du panorama qui se présente aux voyageurs de l’espace avant que nous les décrivions dans un prochain rapport.
Naturellement les perceptions des voyageurs ne sont pas véritablement extraordinaires.
Il ne faut pas croire qu’ils ont des visions de couleurs jamais perçues par notre rétine, ou des sensations tactiles fantastiques ou des sons hallucinants. Au contraire nos organes sensoriels continuent à coder les messages de l’extérieur avec les mêmes lois psychophysiologiques. Seules les stimulations nouvelles, issues d’autres sources d’énergie et de matière, diffèrent de celles que nous percevons habituellement. Les planètes et les Astres Chauds ne sont plus pour nous des concentrations de Masse et ils peuvent disparaître pour nos organes sensoriels.
N’oubliez pas qu’en changeant d’axe de référence, le nouvel espace tridimensionnel qui s’ouvre à nos sens est différent. Par contre certains facteurs qui, dans le cadre de référence antérieur apparaissaient comme des concentrations d’énergie lumineuse par exemple, (en étant invertis) se présenteront comme d’immenses nuages de subparticules atomiques.
Un choc avec ces nébuleuses serait fatal au vaisseau.
Nous vous enverrons le prochain document avant dimanche. Ainsi vous pourrez l’étudier tranquillement car il est très long.
Naturellement vous êtes autorisé à le montrer à vos frères et à en faire des photocopies. Vous pouvez le montrer à des experts en physique et en mathématiques terrestres. Mais il est probable qu’il ne causera pas des effets révolutionnaires et nous nous réservons le droit de vous demander des restrictions concernant les autorisations antérieures si nous jugeons que nos révélations (à l’inverse de notre attente) provoquent chez les spécialistes terrestres un mouvement de curiosité ou d’expectative. Nous vous disons celà car c’est la première fois que nous développons cette théorie pour un terrestres (scientifique ou profane).
Jusqu’à maintenant dans les nombreux rapports et conversations, nous avions parlé des IBOZOO UU sans expliquer leur signification et en nous limitant à traduire ce phonème par «POINT PHYSIQUE».
UMMOAELEWE
A M. Enrique Villagrassa Novoa.
Madrid . Espagne.
(N° de copies = 1 (Espagnol)
Monsieur
Nous avons essayé de satisfaire vos souhaits formulés par téléphone auprès de mon supérieur en Espagne DEII 98, fils de DEII 97. Je n’hésite pas à qualifier le document que nous vous remettons comme quelque chose de TRES INTERESSANT POUR LES TERRESTRES.
Vous n’ignorez pas que les difficultés que représente l’apport d’une théorie sans précédent sur OYAGAA avec l’unique aide de quelques feuilles de cellulose imprimées à l’aide d’une machine à écrire et sans le support de l’assistance «a posteriori» d’un professeur spécialiste.
Les difficultés augmentent si l’on veut en faire bénéficier à certains de vos frères qui ignorent même les théories de l’ESPACE PHYSIQUE formulées par les scientifiques et chercheurs de OYAGAA (ASTRE TERRE).
Pour cette raison nous avons décidé de vous présenter ces paragraphes rédigés d’une manière telle que vous pourriez la qualifier «d’anarchique» ou tout au moins de «peu homogène» car aux textes d’une rigoureuse analyse d’initiation à la Théorie, nous avons ajouté d’autres plus superficiels (du niveau de la pédagogie infantile) avec une profusion d’images coloriés qui serviront à vos frères profanes dans le domaine de WAA (mathématiques) pour s’initier plus facilement sans avoir besoin d’un cours de préparation long et difficile.
Nous avons aussi résisté à la tentation d’ajouter une argumentation mathématique plus proche de nos WUUA WAAM car cela exigerait une initiation de votre part au niveau de notre UWUUA IEES (LOGIQUE MATHEMATIQUE TETRAVALENTE) ; c’est pour ces raisons que la rigueur scientifique des concepts que nous vous exposons est irrémédiablement mis à mal.
Nous vous laissons juges du mode de divulgation de ce document et des suivants (que vous recevrez tous les 21 jours) ; SI VOS FRERES EXPRIMENT DE LA LASSITUDE NOUS VOUS CONSEILLONS DE LIRE CE DOCUMENT SUR DEUX OU TROIS JOURS.
Comme nous vous le disions antérieurement, nous avons entouré EN VERT les paragraphes dont la lecture pourrait être aride pour les non initiés même si les connaissances mathématiques sont très élémentaires et à la portée d’un simple étudiant.
Ce que nous conseillons d’avantage, c’est D’EVITER QUE LES TERRESTRES NE REPRODUISENT LEUR NOCIVE ET ANTI-EDUCATIVE HABITUDE DE LIRE D’UNE SEULE FOIS LE TEXTE. Chaque paragraphe homogène d’une demi-page à deux pages doit toujours être COMMENTE avant de procéder à la lecture du suivant.
Le dialogue entre le lecteur et ses frères développe une série de réflexes neurocorticaux qui stimulent chez l’OEMMI une forte conscience sociale et élabore avec le temps de nouvelles formes de canaux d’information nécessaires au RESEAU SOCIAL TERRESTRE.
Ce conseil n’est pas seulement destiné à nos rapport, mais il est aussi valable pour chaque réunion, congrès ou conseil que ce soit pour la littérature la science ou l’information.
Les règles doivent toujours être respectées. C’est une condition TRES IMPORTANTE : personne ne doit rire, se moquer ou s’exprimer avec une ironie caustique quand un autre frère expose noblement sa pensée ; même si celle-ci parait aberrante, si l’expression verbale est pauvre en vocabulaire ou si la construction des phrases est incorrecte, puérile ou cacophonique.
Ces moqueries des plus intelligents exprimées à haute voix et leurs commentaires agressifs provoquent des réactions d’inhibition chez vos frères peu dotés culturellement. Apparaissent en eux alors des formes mentales de conscience d’infériorité et cela bloque des impulsions neurocorticales déterminées. Ainsi de telles personnes préfèrent se taire et ne pas exprimer leur opinion par peur de ne pas être comprises et de provoquer des réactions agressives de la part de leurs frères.
Ces OEMII terrestres intolérents avec le jugement de l’expression orale des idées des autres frères doivent savoir que non seulement leur conduite est immorale mais que de plus ils se portent préjudice à eux mêmes.
En effet : Qui détruirait les propres meubles de la chambre sachant que ces instruments qui l’entourent sont utiles pour ses besoins ?
L’OMEII qui profite de son intelligence et de sa culture pour blesser ses frères, leur imposer ses propres idées par la force ou les maintenir dans l’ignorance pour pouvoir les DOMINER, collabore incongruement à créer autour de lui un cadre social hostile et peu constructif QUI FINIRA PAR SE RETOURNER CONTRE LUI.
Pouvez-vous concevoir qu’un homme soit heureux s’il vivait entouré d’enfants mongoliens retardés mentaux, avec l’unique satisfaction de se sentir SUPERIEUR ?
Ainsi, l’unique voie qu’il vous reste si vous désirez developper vos facultés mentales est de pouvoir provoquer une réflexion chez ceux qui vous entourent. Non pas en imposant par le force de votre dialectique les idées (les votres ndt) et en discréditant ostensiblement leurs critères quand ils parlent. (1)
(1) : Vous pourriez vous familiariser ce proverbe : celui qui fabrique des imbéciles autour de lui finit lui même par devenir IDIOT.
Donc dans les réunions il faut inviter les plus réservés à s’exprimer, pour qu’ils se sentent importants si on les écoute, pour qu’ils découvrent eux-même la riche gamme des possibilités intellectuelles de leur propre dynamique corticale.
Vous observerez alors que ces personnes qui vous étaient hostiles auparavant, se convertiront en véritables frères, prêts au dialogue et à s’intégrer dans les actions de la petite communauté.
UMMOAELEWE
Langue : Espagnol
Nombre de copies = 1
A M. Enrique Villagrassa Novoa.
Madrid . Espagne.
LE WAAM REEL ET LE WAAM (UNIVERS) «ILLUSOIRE» DES SENS.
Il est très difficile pour l’OEMII (homme) d’avoir une conscience exacte de la véritable nature du Monde Physique qui nous entoure.
Apparemment les images mentales que nous nous sommes forgées de ce Milieu qui nous entoure peuvent nous suggérer d’une manière erronée qu’un tel Monde Physique est tel que nous le «voyons», «touchons» ou «sentons».
Mais une analyse soigneuse a révélé autant aux scientifiques de UMMO qu’à ceux de la Terre, et à d’autres civilisations Galactiques (avec un certain degré de culture) que notre WAAM n’est pas comme le présentent d’ordinaire nos sens. Ainsi : les vives couleurs que nous apprécions dans un parterre de fleurs ne sont qu’une belle perception psychologique. Il n’existe pas (en dehors de nous même) une telle richesse chromatique. Seule une gamme froide de fréquences électromagnétiques demeure comme dernier substratum de «ce qui est vécu».
L’OEMII est le seul être du WAAM qui dépasse les limites de son organisme pour comprendre le monde et il utilise l’esprit pour arriver à y parvenir par voie intellective puisque les organes de nos sens corporels, les voies nerveuses et les mécanismes corticaux de synthèse et perception psychologique faussent totalement la réalité.
Voyons par un exemple comment nos organes physiologiques «tordent» la vérité en masquant les choses avec un bel habit, sans lequel notre WAAM (univers) vu ou apprécié tel quel, se présenterait à nous comme une froide succession d’IBOZOO UU (par la suite nous expliquerons ce concept), déphasé entre eux.
Quand vous prenez par exemple entre vos doigt un briquet, vous avez conscience (sauf perturbation mentale définie comme l’état crépusculaire d’un individu) que cela est LA : froid, brillant, élégant dans ses lignes. Si vous exercez une légère pression sur le bouton, il surgit gracieusement une faible petite flamme bleutée, due à la combustion du butane quand il sort par la tuyère de petit calibre.
«Ceci» est donc LA, pressé entre le pouce et l’index… ce n’est pas une fiction «cela EXISTE».
Et cependant ce briquet n’est que la perception ingénue d’une personne simple. Personne ne peut avoir une faible capacité mentale pour comprendre le WAAM dans lequel elle est submergée.
Le physicien de OYAGAA pourrait vous dire en plus des choses sur ce simple briquet de poche. Il vous indiquerait par exemple que vous ne touchez pas en réalité sa surface, malgré votre évidence illusoire, puisqu’il existe de grande distances relatives entre les atomes de métal et les nuages électroniques des atomes de l’épiderme qui couvre vos doigts.
Peut-être quelque OEMII peu formé prétendra lui objecter timidement que si ce petit morceau de métal n’est pas en contact avec sa propre peau il est impossible qu’il tienne et alors «il tomberait par terre». Mais le scientifique terrestre lui parlera de champs de Forces, de Tenseurs, de Répulsions entre charges électriques négatives.
Il lui suggérera que la température du métal (basse) produit cette sensation de froid et qu’elle est la conséquence de la basse amplitude de vibration de ses molécules par rapport à celles de son épiderme.
Et il lui indiquera que cette apparence compacte de la plaque chromée est illusoire puisque les noyaux atomiques sont séparés entre eux dans la même proportion apparente que les Astres d’une Galaxie.
Un expert terrestre en optique physiologique vous dira que la brillance réelle de l’appareil est environ dix fois plus grande que la brillance apparente, c’est à dire, une véritable torche, mais que, quand cette lumière traverse notre oeil, le cristallin et l’humeur vitrée absorbent presque tous les photons et que seule une énergie lumineuse très réduite parvient à la rétine.
Un physiologue terrestre sourira si vous lui demandez comment arrive la lumière au cortex cérébral et il vous expliquera que la lumière n’arrive jamais au neuroencéphale. Que les photons, en frappant la rétine, provoquent des impulsions codifiées qui se transmettent par les neurones du nerf optique sous forme de message électrique, sous une forme de clef de sorte que la ressemblance entre la flamme réelle de butane et le message réel que notre cerveau reçoit à partir de la rétine, est aussi semblable que peut l’être une vache réelle qui paît dans un pré avec les lettres qui composent sa dénomination.
Et enfin un neuropsychiatre vous indiquera d’une façon très vague (car lui-même ignore bien des caractéristiques d’un tel processus) comme l’encéphale intègre les millions d’impulsions codifiées jusqu’à parvenir à les fondre et à les synthétiser en une seule perception. Perception illusoire qui est l’unique image que nous arrivons à obtenir du MYSTERIEUX BRIQUET QUI EXISTE EN DEHORS DE NOUS.
En effet : UNE TELLE IMAGE DU BRIQUET QUI NOUS EST SI FAMILIERE ressemble «AUTANT» au VERITABLE BRIQUET que les lettres N-E-N-U-P-H-A-R à la flore qu’elles essaient de nommer (elles = ces lettres ndt).
L’OEMII donc, a besoin de se débarrasser des schémas ingénus qu’il s’était fixé petit à petit sur les choses : couleurs, sons etc… Et ce dans son cerveau depuis son enfance.
L’homme de chacun des groupes sociaux que nous connaissons, relié aux diverses OYAAA (Planètes) avec lesquelles nous avons été en contact jusqu’à présent, en nous incluant, vous les OEMII de la Terre et nous les OEMII de Ummo, se sont rendus compte de cette nécessité.
Et les scientifiques de diverses civilisations tirent au clair petit à petit les bases réelles de notre WAAM. Jusqu’à quel point y êtes vous parvenus ? Le modèle mathématique de l’Univers présenté par les physiciens de la Terre, avec sa théorie relativiste, la mécanique quantique et la mécanique statistique est-il le fidèle reflet de la VERITE ?
En vous représentant notre théorie du WAAM, vous pourrez juger des différences. Nous avons, nous, observé que l’OEMII (homme) de OYAGAA (Terre) que vous appelez «homme de la rue» ou «homme de la masse», non initié à la discipline scientifique terrestre de la physique, possède un concept très primitif de l’espace et de l’univers que nous appelons WAAM.
Depuis qu’il est UUGEEYIE (enfant) il a été éduqué à l’idée d’accepter comme valable cette idée de l’image déformée du monde extérieur que nous offre nos sens.
Comme si, étant UUGEE (enfant) il avait été enfermé dans une pièce nue aux murs sphériques, sans être autorisé à voir ses parents, et que ceux-ci lui auraient enseigné seulement les lettres et les syllabes d’une langue terrestre. L’enfant pourrait se créer l’illusion en contemplant les caractères typographiques, que les meubles, les animaux, les arbres et autres objets exprimés par ces graphismes, ont exactement les formes conventionnelles des lettres qui les représentent.
L’OEMII terrestre s’imagine l’espace comme un «continu scalaire» dans toutes les directions. A partir de cette image de l’espace, vous élaborez (commencé par Euclide) tout une géométrie basée sur des abstractions telles que LE POINT, LA DROITE, LE PLAN. Vous avez fini par accepter que POINT, DROITE et PLAN représentent réellement, bien qu’à l’aide d’une abstraction intellectuelle, les véritables composants du WAAM.
Ce vice originel, pas encore corrigé, est en train de vous coûter un retard considérable dans la compréhension du monde physique.
En effet : quand vous acceptiez ingénument l’existence d’un espace Euclidien à trois dimensions ; des mathématiciens terrestres tels que GAUSS, RIEMANN, BOLYAI et LOBATSCHEWSKY avaient l’intuition géniale de la possibilité d’étendre les critères restreints d’Euclide en élaborant une nouvelle géométrie pour un N-Espace.
Et bien que l’esprit d’un homme ne parvienne pas à percevoir mentalement l’image d’un corps de plus de trois dimensions, l’aide des mathématiques sauve de cet écueil intellectuel très facilement.
Mais ces modèles mathématiques de géométries pluridimensionnelles elliptiques et hyperboliques correspondent-ils à la réalité de notre WAAM ?
Ou bien s’agit-il seulement d’entéléchies (réalisation de l’essence de quelque chose, acte achevé de vision ; emprunté à Aristote ndt) crées par les mathématiciens ?
L’hypothèse relativiste de l’allemand Einstein satisfait au début au critère du russe Minkowsky qui conçoit le temps comme une dimension de plus. Avec l’intuition d’un espace-univers tetradimensionnel, l’OEMII terrestre a fait un pas gigantesque en rompant avec la mesquine et intuitive image d’un cosmos tridimensionnel.
Mais, est-il alors comme cela, notre ESPACE-COSMOS ? (il faut pour le moins convenir de l’existence de deux, trois, quatre ou N dimensions).
Notre réponse revêt une gravité spéciale pour les physiciens de la Terre qui se débattent embarrassés à la recherche de l’authentique modèle d’ESPACE.
ABSOLUMENT PAS : Notre image de WAM (COSMOS) c’est à dire de l’ESPACE, diffère dans ses propres fondations de celle que vous avez élaborées. C’est précisément dans le concept que la différence commence à s’accuser gravement.
Qui plus est, les contradictions que vous observez dans la physique relativistes et dans la mécanique quantique, sont produites par un vice d’origine. Ce sont les conséquences d’erreurs basiques de concepts.
Arrivés ici, nous avons besoin d’une parenthèse pour vous offrir quelques observations.
1° En premier lieu nous vous faisons remarquer que notre conception de l’espace : en opposition spécifique avec la conception des terriens, exige plusieurs bases mathématiques différentes des vôtres. Ne parlons pas de nos symboles mathématiques qui diffèrent car naturellement un problème aussi superficiel est facilement résolu par une transcription appropriée (conversion de la base 12 en une numérotation (ou numération ndt) décimale) mais il ne vous sera pas facile de comprendre nos algorithmes de WUA WAAM (mathématique de l’Espace Physique) sans suivre au préalable un cours complet d’initiation qui demande de nombreux mois de travail aux initiés terrestres en mathématiques.
A cela il y a une raison : quand il s’agit d’analyser les propriétés de l’espace, les postulat normaux de la logique mathématique qui vous est familière comme à nous d’ailleurs, NE NOUS SERVENT PAS. Comme vous le savez, la logique formelle accepte le critère intitulé par les terrestres LOI DU TIERS EXCLU (selon lequel toute proposition est nécessairement vraie ou fausse). Dans notre WUUA WAAM ce postulat DOIT ETRE REJETE. On a alors recours à un type de logique Multivalente que nos spécialistes appellent UUWUUA IES (LOGIQUE MATHEMATIQUE TETRAVALENTE) selon laquelle toute proposition adoptera indistinctement quatre valeurs :
– AIOOYAA (VERITE)
– AIOOYEEDOO (FAUX)
– AIOOYA AMMIE (peut se traduire : VRAI EN DEHORS DU WAAM)
– AIOOYAU (intraduisible en langage terrestre).
Même si nous n’obtenons rien avec la logique divalente terrestre, nous l’utilisons nous aussi dans notre vie quotidienne ou dans l’étude des phénomènes macrophysiques, nous pouvons vous offrir les concepts du WAAM.
Nous y arriverons et nous nous limiterons pour cela à un système dans lequel tomberont juste aussi bien le calcul infinitésimal que le calcul intégral, la topologie, les calculs tensoriels et vectoriels, la théorie des graphes et la recherche opérationnelle, si familiers aux terriens.
Pour votre gouverne, quand nous nous verrons obligés d’utiliser quelque algorithme mathématique, nous nous efforcerons de vous le rendre familier en utilisant l’algèbre et les notations connues par vous.
2° Nous nous sommes sérieusement demandé, quand Monsieur Enrique Villagrassa nous formula sa demande d’informations au sujet de nos sensations psychologiques dans les UEWA OEMM (vaisseaux de voyage intragalactique), s’il convenait ou non de révéler ces concepts.
Jusqu’à présent, nous n’avons dévoilé cette sorte d’information à aucun scientifique terrestre puisque les explications théoriques communiquées à différents mathématiciens et physiciens ont été orientées vers d’autres domaines de la Microphysique et de la Théorie Mathématique des réseaux.
La découverte ACTUELLE pour une partie des scientifiques terrestres de ce concept provoquerait un progrès contraire au but recherché (parce que démesuré) de la physique qui pourrait se traduire en applications technologiques extrêmement dangereuses dans l’état ACTUEL du Réseau Social Terrestre qui est déséquilibré.
Finalement nous avons décidé de vous faire découvrir très sagement quelques aspects de notre théorie du UXGIGIIAM WAAM (ESPACE PHYSIQUE REEL)
Ces indications n’entraîneront aucun risque pour vous si nous occultons certaines démonstrations et si nous cachons différents aspects de ce sujet.
Ainsi il n’y aura pas de danger pour ceux qui montrent ces feuilles dactylographiées à leurs frères. De cette façon si un hypothétique scientifique terrestre lisait ces lignes, en bon logicien formel il refuserait d’accepter un témoignage qui, pour provenir d’OEMII extraterrestres, lui paraîtraient être le fruit de la fantaisie.
3° Après ce que nous venons de dire, vous nous poseriez probablement une question importante : comment nous, les OEMII de UMMO, savons nous que notre conception du UXGIAM WAAM est la vraie et non par exemple celle du modèle terrestre de RIENMANN ?
Naturellement, si nous nous interdisons de formuler les démonstrations pertinentes, pour des raisons de type éthique évident, vous serez à l’aise pour continuer à rester fidèle au modèle terrestre.
Quant à nous, NOUS SOMMES SURS que notre modèle, basé sur le concept d’IBOZOO UU (nous expliquerons plus loin ce concept) est REEL PUISQUE LES RESULTATS EXPERIMENTAUX CADRENT PARFAITEMENT AVEC CE CANEVAS.
Le fait que nous réussissions à réaliser des voyages moyennant un changement du système de référence tridimensionnel qui nous permet de nous déplacer à l’intérieur de notre Galaxie avec la possibilité de modifier les phases de ce que vous appelez les particules subatomiques (qui, comme vous le verrez, ne sont autres que les IBOZOO UU orientés de façon particulière) confirme une fois de plus notre théorie du WAAM.
Qui plus est, notre théorie coïncide (à quelque nuances près) avec les thèses élaborées par d’autres civilisations installées dans quantités d’autres OYAA (Planètes) qui gardent le contact avec nous et sont dans un état avancé de leur science.
NOTRE THEORIE DU UXGIGIIAMM WAAM (ESPACE).
Quand nos frères arrivèrent en l’année terrestre 1950 sur la OYAGAA (Terre) et après avoie appris la langue française, et qu’ils eurent accès pour la première fois à la bibliothèque située au 58 rue de Richelieu, Paris, ils furent surpris de lire dans les meilleures textes de mathématiques terrestres gardés à la bibliothèque, par exemple que des concepts comme le POINT, la DROITE et le PLAN continuaient à être considérés par vous comme de simples abstractions d’une réalité soujacente de l’UNIVERS.
Ainsi quand les mathématiciens de la Terre définissent un point comme une famille de courbes ou comme un ensemble ordonné de N nombres o(N – uples) P(a1, a2, a3, … aN) dans un N espace, ils ont l’intuition de la structure d’un espace scalaire à N dimensions dans lequel le point sera défini à l’intérieur d’un cadre de référence par ses coordonnées correspondantes.
Selon ces conceptions une droite sera un ensemble de points de correspondance biunivoque avec l’ensemble des nombres réels, de façon à ce que la distance entre les deux points d’un espace Rn acceptée comme fondement, puisse rester définie.
Ainsi entre deux points A, B, d’un n- espace : D59_FIG1
étant les coordonnées de deux points A(X1, X2, X3, …Xn), B( Y1, Y2, Y3, … Yn), de sorte que la trame d’un espace scalaire pluridimensionnel se trouve ainsi définie.
Ce modèle rigide de mathématique de l’Espace ne satisfait pas du tout nombre de physiciens actuels : celà est vrai encore que beaucoup d’autres continuent à accepter l’existence de cet ESPACE indépendant de la matière et de l’énergie qu’il contient.
Alors vous, les terrestres vous avez inventé autre chose : l’Espace des Phases. Pour vous l’ESPACE REEL contient des PARTICULES SUBATOMIQUES (autre erreur comme nous le verrons plus loin).
Vous postulez que chaque particule (NEUTRON, MESON, etc ) doit occuper en un instant donné une position (POINT), mais vous devez définir la particule non seulement dans sa position mais aussi dans sa QUANTITE DE MOUVEMENT.
Alors vous CONVENEZ d’imaginez un N-ESPACE de six dimensions dans lequel chaque particule est définie par six grandeurs : D59_FIG2
Cette entéléchie est nommée par vous ESPACE DES PHASES. Vous pourrez alors imaginer un volume élémentaire composée de cellules limitatives. La limite de serait un POINT. Le volume élémentaire serait :
t = dx.dy.dz.dpx.dpy.dpz tel que selon le principe d’indétermination:
dx.dpx > h dy.dpy > h dz.dpz > h de façon que le volume élémentaire sera t > h^3
(h est la constante de planck NDS)
A ce volume élementaire d’ordre h^3, vous lui donnez le nom de POINT DE L’ESPACE DES PHASES, puisque le point infinitésimal se reconnait en confrontant l’intuition ou la signification physique au viol du principe d’indétermination. Puisqu’une PARTICULE ELEMENTAIRE (électron, hypéron, neutrino, positron, … ) sera localisée en une quelconque face du volume élémentaire en question. (POINT PHASIQUE) mais jamais au point central.
Notre conception du UXGIGIAM (ESPACE) est radicalement différente. Commençons par ce concept même de DIMENSION qui diffère de l’idée que vous vous êtes mentalement forgée. Nous essaierons pour tenir compte de vos frères peu familiarisés avec les WUUA (MATHEMATIQUES) d’utiliser des concepts symboliques et didactiques.
Vous concevez un UNIVERS formé par un ESPACE SCALAIRE (D59_FIG3, F.1) c’est à dire : un espace tel qu’il se présente à nos sens, dans lequel l’image de DIMENSION entraine l’IMAGE d’une DROITE ou SCALAIRE.
L’espace se présentera à nous comme un «VOLUME IMMENSE» et le COSMOS sera quelque chose ressemblant assez à une SPHERE de courbure positive (D59_FIG3, F2) ou négative (D59_FIG3, F3).
Les plus intelligents parmi les terrestres supposent au moins une coubure à l’intérieur d’une quatrième dimension et identifient le WAAM à l’espace pluridimensionnel de RIEMANN.
NOTRE UNIVERS derait alors comme une HYPERSPHERE positive ou négative mais la DIMENSION étent toujours identifiée par vous à une droite ou à un scalaire.
A l’intérieur de ce modèle de COSMOS vous situerez les particules, les atomes ; formant des Galaxies, les CHAMPS de gravité, magnétiques et électrostatiques, l’Energie en somme. ( D59_FIG4).
D59_FIG4 D59_FIG5
Nous, au contraire, nous savons que le WAAM (COSMOS) est composé par un réseau d’IBIZOO UU. Nous concevons l’ESPACE comme un ensemble associé de FACTEURS ANGULAIRES ( D59_FIG5).
Pour nous la DROITE dans l’ESPACE n’existe pas, comme nous l’expliquons plus loin, de cette façon le CONCEPT de OAWOO (DIMENSION) prend pour nous un sens différent. De telles dimensions sont associées non pas à des MAGNITUDES SCALAIRES, mais à des MAGNITUDES ANGULAIRES. (Il est cutieux de constater par exemple que les physiciens de la Terre dans leur aveuglement, n’attribuent pas à l’angle de caractère dimensionnel.
Si vous étiez des enfants dans une école, nous utiliserions peut-être une comparaisons grossière. L’univers «est comme un essaim de libellules» dont les ailes forment des angles différents (D59_FIG6):
D59_FIG6
Toutes ces libellules voltigent de façon telle que pas UNE SEULE ne présente une orientation de ses ailes semblable à celle de ses soeurs. Autrement dit, il n’y aura pas une seule paire de libellules qui, à un instant donné, pourra se superposer de manière que les ailes et les abdomens coïncident. Mais, comme nous vous l’avons déjà dit, cette image est excessivement grossière et éloignée dans son analogie.
En premier lieu chaque libellule occupe un lieu dans l’espace en chaque instant t. C’est à dire : ses centres de gravité et d’inertie occupent des zones définies (selon notre conception illusoire).
UN IBOZOO UU N’OCCUPE AUCUNE POSITION DEFINIE, NOUS NE POUVONS DIRE DE LUI qu’il existe une possibilité de le rencontrer localisé en un POINT.
L’IBOZOO UU UU IEN AIOOYAA (existe) (1)
(1) IEN : (paire, deux).
D’autre part cet insecte volant a une MASSE et un VOLUME, (au moins pour notre esprit) L’IBOZOO UU n’est pas une particule pourvue de MASSE ou corporelle. Dans une première approximation conceptuelle nous pourrions dire de lui qu’il s’agit d’un FAISCEAU D’AXES ORIENTES. Ce qui importe le moins dans un tel faisceau (D59_FIG7)ce sont précisément les axes (fiction mathématique) à l’inverse des ANGLES que forment ces mêmes axes.
D59_FIG7
Les libellules de notre essaim infini vivent dans le TEMPS, se meuvent par courts intervalles de temps, distances infinitésimales. L’IBOZOO UU n’existe pas dans le TEMPS, IL EST LUI MEME LE TEMPS, (précisément un de ses angles est la magnitude TEMPS comme nous l’expliquerons dans un autre rapport avec plus d’éclaircissements); pour être exacts : ce que nous appelions INTERVALLE INFINITESIMAL DE TEMPS (dt) n’est qu’une différence d’orientation (D59_FIG8) angulaire entre deux IBOZOO liés.
D59_FIG8
Si après cette explication sommaire vous concevez notre théorie de l’espace en imaginant par exemple que l’espace est une «masse dense de particules qui ressemblent à des atomes» vous êtes dans l’erreur. Puisque les particules d’un gaz tel que vous le connaissez occupent des positions probabilistiques dans une enceinte, alors que les IBOZOO UU NON.
Vous ne devez pas non plus identifier un tel espace à l’antique concept de l’ETHER exhumé par la théorie de la relativité, puisque le RESAU DE IBOZOO UU n’est aucunement un milieu élastique dans lequel se trouverait immergés les atomes des corps.
Vous pourriez aussi nous demander : en rapport avec quel axe de référence universel sont orientés les angles de l’IBOZOO UU ?
Naturellement AVEC AUCUN. Il n’existe aucun axe de référence dans le WAAM car cela supposerait qu’on imagine une droite réelle dans le COSMOS, et une telle droite, comme nous l’avons indiqué, est une FICTION.
Quand dorénavant nous nous référons à l’angle qu’adopte un des axes imaginaires d’un IBOZOO UU adopté conventionnellement comme patron ou référence. CECI EST TRES IMPORTANT. Quoique nous ayons beaucoup avancé dans les explications que nous vous offrirons dans nos prochains rapports, nous vous avertissons que vous ne devez pas vous imaginer que les particules subatomiques sont immergées à l’intérieur de cet ensemble d’IBOZOO UU.
Tout simplement parce que n’importe quelle particule (électron, méson ou graviton) est nécessairement un IBOZOO UU orienté en forme singulière par rapport aux autres.
En conclusion : nous aussi nous concevons un espace à N DIMENSIONS. La MASSE, par exemple, est aussi une «courbure de cet espace» pluridimensionnel.
Nous supposons aussi des DISTANCES au sein du WAAM. Seul nos concepts de magnitude, de courbure et de distance sont radicalement différentes de ceux des terrestres.
Ainsi quand nous présentons graphiquement l’Espace, une Droite, un Point, nous le faisons COMME VOUS car de telles images sont familières à nos sens. Mais nous savons qu’elles sont une pure fiction.
LE CONCEPT D’IBOZOO UU
Le WAAM que nous connaissons est un ENSEMBLE LIE (AYUU) ou RESEAU D’IBOZOO UU tel que si nous identifions cet ensemble avec une série ordonnée de nombres naturels N —> (*)
Il faut vous offrir une image la plus fidèle possible de la véritable nature du IBOZOO UU qui n’ait rien à voir avec le POINT MATHEMATIQUE ni avec une PARTICULE ni avec un QUANTUM d’énergie suivant les conceptions terrestres. Vous devez donc débarasser vos esprits d’images aussi familières que le POINT et la DIMENSION LINEAIRE.
Si vous avez une formation mathémathique vous connaissez le concept d’HYPERSHERE dans un N- ESPACE.
Nous pouvons représenter analytiquement un tel corps géométrique. Son équation correspondante est familière pour les étudiants.
Si nous représentons les magnitudes définies dans les N axes par a1, a2, a3, …. aN. Le rayon de l’hypersphère sera défini par :
D59_FIG9
Comme nous ne pouvons pas représenter graphiquement une telle HYPERSHERE, nous supposerons une SPHERE tridimensionnel dont les axes soient orientés orthogonalement.
(Nous essayons de choisir un modèle mathématique (symbolique) qui représente L’IBOZOO UU. Tenez en compte : quand nous nous réfèrerons à un rayon vecteur par exemple, personne ne devra supposer que ce rayon sera matérialisé réellement dans L’IBOZOO UU).
D59_FG10
Nous considérons dans la sphère de la figure D59_FIG10 un OAOO (avec ce nom nous spécifierons dans la sphère) aussi bien le concept AXE des mathématiciens terrestres, que le VECTEUR, avec ses attributs de module, origine et extrémité). Dans ce cas vous traduirez OAOO par rayon vecteur U
Si nous considérons une HYPERSPHERE à N dimensions, nous pouvons concevoir autant d’autres OAOO (RAYONS VECTEURS) que représentent ces grandeurs.
Soit U1, U2, U3 …… Un
dont les orientations respectives sont orthogonales, c’est à dire qu’elles forment des angles de PI/2 entre elles.
Vu ainsi, l’IBOZOO UU pourrait s’interpréter comme un espace pluridimensionnel fermé, et vous recommenceriez à l’imaginer avec ses points, droites, plans, hyperplans, volumes immergés et hypervolumes.
Rien n’est plus éloigné du concept réel de l’IBOZOO UU.
Quand nous nous référons, au sein de l’IBOZOO UU, à un OAWOO (AXE) et à son orientation, il est clair qu’une telle orientation n’a pas de sens géométrique sans un cadre de référence.
Ainsi quand l’un de vous s’imagine une droite dans l’espace, il doit tracer par la pensée, un système d’axes (que vous appelez cartésiens) pour que la droite soit définie aussi bien par son module (exprimé par six côté dans les axes) que par ces cosinus directeurs : Cos(Alpha), Cos(Beta) et Cos(Gamma)
D59_FG11
Mais vous pouvez observer que ce système de référence a été choisi arbitrairement au sein de l’Espace euclidien que vous avez imaginé.
IL EST TRES IMPORTANT QUE VOUS ACCUSIEZ LA DIFFERENCE par rapport à l’IBOZOO UU.
IL N’EST PAS POSSIBLE DE CHOISIR DANS L’IBOZOO UU LUI-MEME un système référentiel. UN TEL SYSTEME REFERENTIEL DOIT ETRE APPORTE PAR UN AUTRE IBOZOO UU, arbitrairement choisi. (Ainsi dans la figure 11, si nous supposons deux IBOZOO UU (P) et (H), ce serait un non-sens de se référer au cosinus directeur cos(Alpha) cos(Beta) cos(Gamma) que le OAWOO UU formerait avec un trièdre idéal dont l’origine serait le «CENTRE» de L’HYPERSPHERE H.
Ainsi nous pouvons seulement nous référer à l’angle Theta IOAWOO que Ur de H forme avec le OAWOO (RAYON VECTEUR Ua de P).
C’est précisément ce IOAWOO Theta (ANGLE-DIMENSION) qui confère à l’IBOZOO UU tout son sens transcendant.
Il faudra dès maintenant que vous fassiez un effort mental pour réaliser une translation psychologique de telle manière que chaque fois qu’en physique nous parlons de MAGNITUDE, l’image d’un SCALAIRE n’effleure pas votre conscience au lieu de l’IOAWOO (ANGLE que les rayons vecteurs hypothétiques de deux IBOZOO UU forment entre eux).
C’est un non-sens d’ISOLER, dans un effort d’abstraction mentale, un IBOZOO UU pour l’étudier.
Nous POUVIONS L’EXPRIMER EN ESPAGNOL, en traduisant le POSTULAT connu de nos physiciens :
IIAS IBOZOO II AIOOYEDOO (IL N’EXISTE PAS EN ABSOLU AUCUN IBOZOO UU ISOLE)
Observez que ce postulat est en français contradiction avec les propositions classiques de la théorie nommée par les terrestres THEORIE MATHEMATIQUE DES ENSEMBLES. Puisque si Ii appartient à W, l’élément Ii (IBOZOO UU) appartient bien à l’ensemble W (WAAM), l’élément I isolé est :
I = (UN IBOZOO UU CONSIDERE COMME ENSEMBLE EST VIDE)
Nous allons expliquer un peu aux OEMII peu familiarisés avec les mathématiques : naturellement un IBOZOO UU n’est pas «VISIBLE» pas même à l’aide des appareils les plus sophistiqués que vous puissiez imaginer dans un laboratoire.
Vous pouvez cependant objecter :
Comment les scientifiques de UMMO savent-ils que cette entité existe s’ils ne sont pas arrivés à le détecter ?
L’usage du mot «détection» est presque inopportun. Si nous sommes arrivés à inférer l’existence de l’IBOZOO UU, c’est parce que le modèle physique élaboré avec son hypothèse satisfait jusqu’à maintenant toutes les explications, tous les problèmes du comportement de la Matière, de l’Energie et qui est : cela offre une possibilité d’interpréter les phénomènes extrasensoriels et aussi les communications télépathiques à travers le BUUWEE BIAEEI (ESPRIT COLLECTIF HUMAIN).
Quoique de telles entités ne soient pas visibles, pour une compréhension à nuance pédagogique, vous pourriez vous représenter le WAAM comme un immense réseau de petites sphères (D59_FG12), chacune d’elles représentant un IBOZOO UU.
Elles sont toutes d’une couleur différente, mais à l’intérieur d’un ensemble chromatique nous pourrions sélectionner toutes celles qui diffèrent entre elles par une légère variation de nuance ; différents tons de vert par exemple).
D59_FG12
Par cette métaphore didactique (sphères colorées), bous exprimerions que l’ensemble d’IBOZOO UU qui diffèrent entre eux seulement par l’angle IOAWOO que par leur OAWOO (rayons vecteurs) respectifs qu’ils forment avec l’un des IBOZOO UU pris comme référence.
Mais tel que son champ de rotation soit l’HYPERPLAN H (comme nous ne pouvons pas dessiner un hyperplan, nous supposerons dans la D59_FG13 qu’il s’agit d’un plan méridien P).
(Les IBOZOO UU dont les rayons vecteurs tournent dans un autre plan méridien seront codifiés par une autre couleur. Orange par exemple :
D59_FG13
Si nous sélectionnons, comme nous vous l’avons dit, tous les IBOZOO UU avec ceux à qui didactiquement nous avons attribué la couleur verte qui existe dans le WAAM, nous observerions que, ordonnés mathématiquement, ils formeraient un OXOOIAEE (chaîne à anneaux) :
D59_FG14
Autrement dit : ayant considéré les Ii appartenant à W (sous ensemble de W), nous pouvons établir une correspondance biunivoque entre ces IBOZOO UU de l’OXOIAEE (CHAINE EN FORME D’ANNEAU) et les angles infinis qu’un rayon vecteur peut décrire dans un plan.
Ce n’est pas que de tels IBOZOO UU soient situés dans le WAAM en formant une chaîne sans fin et situés topologiquement en une série ordonnée. NON, ce sont nos sens, comme nous vous l’expliquerons plus loin, qui réalisent ce travail intellectuel de mise en ordre. (Un exemple terrestre vous fera mieux comprendre : quand vous évaluez la quantité d’argent déposé dans un compte courant bancaire, vous pouvez si vous le désirez, vous représenter les dollars, les livres sterling ou les pesos, rangés de façon à pouvoir les compter. Mais cette mise en ordre, vous savez qu’elle est ILLUSOIRE.
Les composants immédiats de cette chaîne et diffèrent entre eux d’un angle infinitésimal d ( dans la figure D59_FG14, on a exagéré la magnitude de d à des fins didactiques).
CONCEPT DE GEOIDE :LIGNE DROITE.
Un hypothétique observateur qui verrait l’ensemble de la OXOOIAEE (chaîne à anneaux) depuis l’IBOZOO UU (i) interpréterait cette chaîne comme une LIGNE DROITE.
Vous pouvez aussi observer qu’un hypothétique voyageur qui partirait de i en «ligne droite» à travers le WAAM (COSMOS) en arriverait nécessairement à l’IBOZOO UU d’origine.
Autrement dit : ce que nos sens interprètent comme une magnitude linéaire n’est qu’une OXOOIAEE (CHAINE D’IBOZOO UU). C’est l’image mentale illusoire avec laquelle notre neuroencéphale réalise un travail de synthèse et de mise en ordre de cet ensemble d’IBOZOO UU (qui dans le WAAM sont en réalité en «désordre» et sans position définie).
D59_FG15
Au risque de nous répéter, nous vous avertissons du danger didactique que cela représente pour vous de croire que les IBOZOO UU de cette chaîne sont ordonnés en lignes droite dans l’UNIVERS. Il en est pas ainsi. Nous disons que de tels IBOZOO UU AIOOYA sont liés dans le WAAM.
N’en déduisez pas qu’ils ont des POINTS de localisation. Ne croyez pas que deux IBOZOO UU, que nous avons dessinés adjacents pour les décaler d’un angle élémentaire d dans les images D59_FG13 et D59_FG14 existent en réalité.
Si nous considérons sur la Figure D59_FG15 un observateur terrestre lié à l’IBOZOO UU (T) et sur notre planète UMMO un observateur lié à (U) nous dirons qu’il existe une distance L entre la Terre et UMMO parce que depuis un point de référence arbitraire il existe une différence ANGULAIRE entre les deux IBOZOO UU.
Différence angulaire qui implique l’existence d’une infinité d’IBOZOO UU, entre eux.
Mais si nous considérons un autre système de référence nous découvrirons une deuxième chaîne d’IBOZOO UU de sorte que cette différence angulaire aura varié. (Sur les dessins nous représentons ces signes de références par des plans méridiens oranges et verts. Nous dirions alors que la distance entre UMMO et la TERRE est différente : L’) .
L’ < L car (’u – ’t) < (u – t)
Nous pouvons conclure ensuite en disant que nous définissons la ligne droite et sa magnitude mesurée sur elle comme une chaîne d’IBOZOO UU immergée dans le WAAM tel que ses OAWOO (RAYONS VECTEURS) diffèrent successivement d’un angle d et soient tous orientés en un hyperplan H.
Un cas limite de ligne droite sera le OXOOIAEE WAAM (que nous pourrions traduire comme GEOIDE UNIVERSELLE) (Figure D59_FG14).
Vous ne devez en aucune manière penser qu’UN POINT DE CETTE DROITE pourrait être représenté par un IBOZOO UU. Car nous vous avons déjà dit qu’un IBOZOO UU en lui-même n’a aucun sens. En tous cas nous définirons un segment élémentaire comme une paire liée d’IBOZOO UU. A réfuter aussi une fois pour toute le concept de point géométrique que les mathématiciens terrestres ont introduit dans leurs cerveaux. Si vous n’avez pas compris cela, c’est que vous n’êtes pas parvenu à assimiler le sens authentique de notre physique, imprégné que vous êtes de notations mathématiques terrestres.
Soit E un ensemble de points géométriques selon la conception d’un N-Espace de RIEMANN (Mathématicien terrestre) dans lequel chaque point est P (x1 x2 x3 …. xn) (P)
Soit d’autre part W l’ensemble des IBOZOO UU DU WAAM (i).
Nous disons que
Si P E (tout point appartient à E)
et i W (tout IBOZOO UU i appartient à W)
On vérifie que : W E = , c’est à dire que l’intersection de E et de W est vide.
D59_FG16
Si D et D’ sont deux ensembles d’IBOZOO UU qui impliquent des distances mesurées par un observateur en les orientant sous des angles différents on observe que D D’ =
LE TEMPS ET LES CHAMPS MAGNETIQUES, GRAVITATIONNELS ET ELECTROSTATIQUES.
Mais l’IBOZOO UU est bien plus qu’un facteur qui donne le sens exact des distances cosmiques. Notre WAAM (UNIVERS) est un tout comme la trame duquel nous pouvons apprécier les multiples facteurs qui apparaissent à nos organes sensoriels et à nos instruments de physique dans les champs statiques de Forces.
Ainsi, nous soupçonnons la présence d’un Astre proche par l’influence qu’il exerce sur une masse distincte. Nous définissons alors cette influence comme un champs gravitationnel ou bien nous détectons des traces d’ondes électromagnétiques dont les sources de radiation peuvent être artificielles comme celles qui sont émises par un émetteur terrestre de télévision ou peuvent provenir d’une nébuleuse dont les ions du plasma se déplacent alternativement.
L’Univers se présente à nous comme un substrat de phénomènes aussi familier que la vitesse, la force ou le lent écoulement du temps.
En particulier, cette magnitude Temps revêt pour nous une importance spéciale. Dans les prochaines pages dactylographiées que nous vous remettrons, nous vous renseignerons sur cette particularité. Nous vous indiquerons par exemple qu’on peut assimiler le Temps à une série d’IBOZOO UU dont les axes sont orientés orthogonalement par rapport au OAWOO (rayons vecteurs) qui impliquent des distances, et même le cas peut se présenter, si l’inversion de ses axes est idoine, qu’un observateur dans son nouveau cadre de références apprécie comme distance ce qui, dans l’ancien système référentiel, était mesuré comme intervalle de temps.
Vous comprendrez alors pourquoi un événement qui se passe à une grande distance de nous (par exemple sur UMMO) ne pourra jamais se passer simultanément avec un autre événement terrestre.
Vous comprendrez aussi pourquoi un hypothétique objet qui se déplace à la vitesse limite (vous l’appelez vitesse de la lumière) raccourcira sa distance sur l’axe de déplacement jusqu’à la réduire à une paire d’IBOZOO UU (distance qui lorsqu’elle tend vers zéro n’est pas nulle comme le note faussement une des transformations de LORENTZ (Mathématicien terrestre)).
Vous comprendrez aussi que ce que vous appelez subparticules atomiques comme un neutron, un méson ou un antiproton, avec assignation divers de leur masse, charge et spin, ne sont que les orientations multiples des IBOZOO UU eux-mêmes (parce que si les physiciens terrestres continuent à passer leur temps à la détection, évaluation et classification de toutes les subparticules possibles, il se passera des milliards d’années pour en finir puisque cette classification est aussi stérile que de donner un nom à chaque angle infinitésimal sous lequel nous pouvons contempler une étoile au long d’un jour).
LE RESEAU AXIAL DE L’IBOZOO UU
Une définition préparatoire à la définition définitive des IBOZOO UU que nous vous offrirons à la fin est celle-ci :
Un IBOZOO UU est une entité élémentaire cosmique intégrée par un faisceau d’axes orientés QUI NE PEUVENT SE COUPER ENTRE EUX, liés à un ensemble d’IBOZOO UU indépendants par relation de caractère angulaire.
Vous pouvez observer que petit à petit nous sommes en train d’ajuster chaque fois plus fidèlement le concept authentique d’IBOZOO UU défini par nos spécialistes d’UMMO. Nous avons pensé que vous apporter dès le début une définition exacte, embrouillerait excessivement le caractère didactique de ces paragraphes si nous tenons compte du fait qu’aucune théorie se rapprochant de la nôtre en son formalisme n’existe sur la planète TERRE.
Observez aussi que par la traduction de cette définition, nous avons exprimé que les IBOZOO UU intègrent un faisceau d’axes orientés qui ne peuvent se couper entre eux.
Ceci est très difficile à comprendre si vous continuer à maintenir l’image mentale classique d’espace Euclidien avec sa trame de points et de droites.
D59_FG10
Naturellement si l’IBOZOO UU était comme une sphère ou une hypersphère (D59_FG10), en son sein les axes différents pourraient SE COUPER en un point.
(Par exemple les rayons vecteurs se couperaient au centre). Aussi ce modèle mathématique NE REPRESENTE PAS VRAIMENT L’IBOZOO UU.
Si nous avons choisi le modèle d’une sphère dans notre description, c’est seulement pour obtenir une traduction plus fidèle des concepts en utilisant les algorithmes, les notations mathématiques et les concepts géométriques très familiers aux terrestres. (C’est un peu ce que vous faîtes quand, pour simplifier, vous considérez le Globe terrestre comme une sphère idéale alors que vous avez conscience qu’il s’agit d’un ellipsoïde (déformé) de révolution. (Ellipsoïde isocèle à trois axes)).
Supposons donc une sphère (D59_FG10) qui constituerait l’un des hyperplans infinis méridien d’une hypersphère d’ordre N = 4.
Si vous n’êtes pas familiarisés avec ce concept, imaginez que si nous donnons le nom de plan méridien à la section d’une sphère qui passe par son centre, à savoir la sphère d’ordre n = 3, pour une hypersphère de dimension 4, sa section sera précisément une figure de N – I dimensions, c’est à dire une sphère. Il faut donc que vous vous rappeliez le concept de l’ANGLE dans un HYPERESPACE.
= (P,Q)
soient P et Q deux HYPERPLANS définis par les coordonnées U = (U0 U1 U2 ….. Un) et V = (V0 V1 V2 …..Vn)
Ces deux HYPERPLANS déterminent un faisceau .
Ainsi dans ce il y a DEUX HYPERPLANS P et Q qui sont tangents à la quadrique fondamentale .
L’angle = (P,Q) (dans lequel 0<<P) entre ces deux HYPERPLANS P et Q est défini par :
= (P,Q) = 1/2i Log R ( P , Q , P , Q
Cet angle se définit par les équations : (nous ne pouvons représenter sur une image. Nous reproduisons seulement la projection p de . p sera exprimé par deux plans méridiens au cas de pour un N – espace de l’ordre N = 4.)
D59_FG18 et D59_FG19
D59_FG20
Dans celle où = +1 car nous supposons une HYPERSPHERE de courbure positive.
Souvenons nous de la différence entre SPHERE de courbure positive et une surface sphérique de courbure négative qui nous aide à comprendre les concepts d’HYPERSPHERE de courbure = +1 et = -1 (Fig D59_FG19).
Donc : quand R ( P Q , P Q) = -1 nous considérons que les deux HYPERPLANS sont orthogonaux.
Si vous remplacez le concept de OOWAOO (Rayon Vecteur) linéaire de notre modèle antérieur simpliste, par celui de l’HYPERPLAN de l’ordre N = 4 et si vous supposez ces HYPERPLANS de référence non pas dans le propre IBOZOO UU étudié, mais dans un autre qui lui est lié, nous pouvons imaginer trois cosinus directeurs que nous appellerons
COSCOSCOS
qui nous définirons autant d’autres angles () que nous définissons comme IOAWOO (ANGLES DIMENSIONNELS) qui définiront chacun les valeurs respectives de l’espace tridimensionnel tel que nous le concevons. On suppose qu’une variation infinitésimale dans les valeurs de ces cosinus directeurs entraîne une paire liée d’IBOZOO UU.
Une fois arrivés là, nous allons utiliser pour les frères terrestres peu compétents en mathématique une image pédagogique d’un WAAM (UNIVERS) représentée par un immense essaim de papillons.
Vous pouvez supposer que ces insectes sont multichromes. Nous pouvons aussi constater qu’il n’existe pas une seule paire qui ait les mêmes tons de couleurs. Nous pouvons les voir virevolter de manière telle que nous ne saurons jamais où se trouve l’un deux à un instant donné car ils se trouvent en même temps ici et partout. Ils sont verts, magenta, oranges, bleus, dorés, etc. tous mélangés entre eux.
Supposons que nous ayons un organe de la vision si aigu et spécial que d’un coup d’oeil nous puissions localiser les millions de libellules d’une seule couleur : vert par exemple et que de plus notre cerveau soit si développé qu’il soit capable de les ordonner par nuance, du VERT CLAIR jusqu’au moins lumineux.
Mais c’est ici que le cerveau nous fait faire un mauvais jugement. Au lieu de percevoir une pléiade ordonnée d’insectes formant une riche gamme de tons verdâtres, nous contemplons une froide et abstraite ligne droite : la paire de libellules vert clair, plus lumineuse, acquière pour notre cerveau le caractère prosaïque de l’extrémité la plus proche de ce très long segment de droite.
La paire de libellules bleues-verdeâtres sera représentée comme le point limite et lointain de cette immense droite D59_FG21 (NDS : dessin illisible dans le document photocopié).
Pour comprendre notre Modèle PHYSIQUE du WAAM, les terrestres doivent adopter d’autres images mentales différentes de celles qui leur sont topiques depuis l’enfance. Vous devez étudier d’autres formes plurivalentes de Logique mathématique. Vous devez aussi comprendre que cette image d’un Monde Physique composé d’atomes eux-mêmes composés d’une multitude de subparticules atomiques occupant à chaque instant des positions probabilistiques, est une VERITE insuffisante et peu approfondie ; vous devez rejeter cette image mentale absurde consistant à dire qu’une particule se déplace à une vitesse instantanée V constitue le passage matériel de cette même particule d’un POINT P à un autre adjacent P’, séparés par une distance infinitésimale, en un intervalle de temps élémentaire dt.
Il faut laisser la place au VERITABLE CONCEPT DE VITESSE qui implique des rotations diverses dans deux IBOZOO UU liés, rotations par lesquelles le premier IBOZOO UU de la paire, en inversant ses axes, cesse de se présenter sous forme de particule subatomique, pendant que le second oriente ses OAWOO (AXES, RAYONS VECTEURS) pour se transformer en une subparticule (ainsi que vous la nommez) identique à l’antérieure (il se produit ainsi un effet illusoire de translation, un peu comme si deux prestidigitateurs terrestres séparés par dix mètres dans un scénario, opéraient en mettant (l’un des deux) un lapin marqué dans la poche, lapin qui serait sorti par son compère quelques instants après).
Toute personne intelligente comprendra facilement que le lapin n’a pas voyagé dans les airs et qu’il s’agit de deux lapins identiques.
Nous sommes surpris d’observer qu’après avoir étudié exhaustivement la Mécanique ondulatoire et observé que tous les phénomènes fonction de temps peuvent se réduire en dernier lieu à une série de fonctions sinusoïdales, c’est à dire cycliques, les Physiciens de la Terre n’aient pas deviné un WAAM (UNIVERS) ANGULAIRE en s’appuyant sur le Modèle mathématique (rigide) scalaire postulé par EUCLIDE et ses successeurs.
Une correction de ces concepts à l’heure actuelle ne serait guère positive pour vous. Il vaut beaucoup mieux que les physiciens de la Terre découvrent la vérité plus lentement en laissant le temps aux valeurs spirituelles de prendre le dessus sur les instincts agressifs de certaines Oligarchies économiques qui règnent dans certains pays.
Sur l’image D59_FG21 vous pouvez voir d’une manière symbolique comment le neuroencéphale réalise un travail de synthèse en classifiant les IBOZOO UU en une échelle ordonnée en fonction de leur longueur angulaire par rapport à l’un d’eux pris comme référence.
Quand l’OEMII regarde dans une direction déterminée, son champs visuel englobe l’ensemble des IBOZOO UU dont les OAWOO s’orientent avec des angles différents dans un Champs que vous pourriez symboliser mathématiquement avec un HYPERPLAN.
Cette image simpliste est destinée aux OEMII peu férus en mathématique. Les initiés comprendront que les IBOZOO UU ne sont pas localisés en des points définis et que le terme DESORDRE ou ENTROPIE conviennent pour ce modèle.
Si des sphères vertes symbolisent un champ visuel dans une direction déterminée, les bleues, rouges, représenteraient autant d’autres rayons dirigés par l’oeil humain dans ses orientations différentes. Dire que les IBOZOO UU sont comme des petites sphères ou «qu’entre eux existe le vide» ou qu’ils «sont tangeants entre eux au sein d’un espace dense rempli d’IBOZOO UU», tout cela n’a pas de sens. De telles images mentales sont celles qui apparaissent chez un UUGEEYIE (enfant) quand on lui parle pour la première fois sur UMMO de la conception de l’ESPACE composé par les IBOZOO UU. Sa mentalité infantile, habituée aux perceptions familières, tend à matérialiser ce concept d’IBOZOO UU et à lui assigner une corporalité.
Il s’imagine le WAAM comme une immense frai de UYAAYAA (espèce d’arthropode qui traîne une grande poche remplie de ses petits oeufs transparents).
Dans l’image D51_FG21 vous pouvez donc voir comment apparaît, dans le champs de la conscience, l’image d’un segment, d’une droite, traduction codée des stimulis arrivés à la rétine.
Un tel stimuli se transforme dans l’image mentale en DISTANCE quand, entre l’oeil de l’observateur et le corps contemplé, il n’existe aucune MATIERE.
LE CONCEPT DU OAWOO
En définissant au préalable l’IBOZOO UU comme une entité élémentaire composée par un faisceau d’axes orthogonaux qui ne peuvent se recouper entre eux, nous avons précisément introduit (à des fins pédagogiques) un concept que vous devez rejeter à priori : celui exprimé avec un mot très familier sur Terre : L’AXE.
Si vous associez notre mot OAWOO (AXE ou DIRECTION) avec une ligne droite orientée, nous retournons au point de départ car, à ce moment là vous n’aurez rien compris de nos précédentes explications.
Evidemment il y a là un obstacle sérieux car nous parlons des langages mathématiques différents. Langages qui sont conditionnés par un ensemble de conceptions psychologiques différentes entre vous et nous. Quand, dès ses premières études, le UUGEEYIE a été éduqué à l’intérieur de7 moules logiques étroits et définis, en respectant des postulats mathématiques irréels, il lui sera très difficile, pour ne pas dire impossible, d’éduquer ses mécanismes mentaux pour dissocier les images illusoires enchevêtrées dans son monde de perceptions.
Donc, si nous invitons les profanes en mathématiques à imaginer l’IBOZOO UU comme une série d’axes (lignes droites indéfinies, idéales)
D59_FG22
DIRECTION, ne pourra jamais être assimilé à des axes ou droites réelles ou idéales.
Nous désirons insister sur le fait qu’un IBOZOO UU isolé n’a pas de SENS d’être conçu, c’est à dire qu’il n’a pas de réalité. Nous, nous disons AIOOIEDOO (faux concept, absurde, qui ne peut pas avoir de réalité).
Nous allons prendre un exemple pour les profanes de la Terre.
Imaginez que nous désirions obtenir une ENCEINTE FERMEE (récipient) et que nous disposions d’un certain nombre de vases cylindriques. Evidemment, un vase isolé ne constituera jamais un espace fermé, mais si nous fermons son ouverture par un autre (D59_FG23)
D59_FG23
Nous obtiendrons une petite ENCEINTE CLOSE. Une chaîne de vases formerait, si nous les unissons comme sur l’image D59_FG24, un chapelet d’enceintes closes.
D59_FG24
Avant de continuer, il faut vous préciser d’avantage le concept de LIGNE DROITE, la distance d’un point à un autre doit être interprétée comme une succession d’IBOZOO UU dont les EIDIIU (ANGLES) ou pour être plus exacts, dont les IOAWOO (1) diffèrent entre eux d.
(Voir D59-FG17du document précédent).
(1) La différence entre EIDIIU et IOAWOO est très importante : EIDIIU est la version dans notre langue du concept familier d’angle. Ainsi un EIDIIU serait l’angle droit que forment un mur vertical et le dallage d’une pièce.
IOAWOO serait «L’ANGLE» que forment deux OAWOO («AXES») de deux IBOZOO UU associés (D59_FG11) ; si dans les deux cas nous utilisons le mot espagnol «ANGLE» alors qu’il s’agit de deux concepts si différents, c’est PARCE QU’IL N’EXISTE PAS DANS VOTRE LANGUE un mot correspondant et l’utilisation du mot «ANGLE» s’avère inutile.
Nous vous disions qu’entre deux points (D59_FG15) nous pouvons considérer non pas une, mais une infinité de chaînes différentes d’IBOZOO UU (pour différents systèmes référentiels tridimensionnels). Autrement dit, il semblerait que l’une d’elle soit en réalité une «géodésique» (ligne plus courte que suivrait un mobile entre deux points d’une hypersphère située dans un cadre à quatre dimensions) D59_FG25 A.
D59_FG25
Mais ceci est insuffisant. N’importe quel autre arc situé dans cette sphère (représentant par exemple une distance apparente plus grande D59_FG25 B ) serait représenté par la MEME chaîne d’IBOZOO UU et dont la dénomination de GEODESIQUE serait incorrecte et nous avons donc préféré la qualifier de GEOIDE, même si les deux mots ont une étymologie liée sur Terre.
LE CONCEPT DE TEMPS.
L’écoulement du temps introduit pour l’OEMII une perception de type psychologique. Il s’agit d’une autre illusion. Au sein de notre organisme se produit tout une série complexe de phénomènes périodiques, de la circulation sanguine jusqu’à des processus comme le métabolisme des graisses. Si nous fermons les yeux, nous continuons à percevoir que le Temps s’écoule grâce à la périodicité rythmique de ces milliers de phénomènes physiologiques.
Mais le concept de temps pour le physicien de la Terre diffère à un niveau élevé de la perception analysée par les psychobiologistes. Vous considérez le Temps comme une dimension, du moins est-il ainsi accepté par les adeptes de la théorie relativiste d’EINSTEIN.
Notre concept de TEMPS présente sans doute des facettes nouvelles qui vous sont inconnues.
En premier lieu nous ne pouvons considérer le Temps comme une dimension ou continuum, comme vous le faîtes vous-même.
Ce n’est pas que le temps soit quantifié, mais on ne peut concevoir un instant comme un point dans l’axe du temps. L’intervalle dt, bien qu’il puisse tendre vers zéro, nous ne pourrions jamais le concevoir aussi petit que nous le voudrions.
Il existe de plus un aspect lié à cette question que nous désirons énormément souligner. Vous considérez que la plus grande vitesse que puisse atteindre une subparticule dans le WAAM (Cosmos) est de 299 780 km/h (vitesse de la lumière) et vous considérez cette vitesse comme «CONSTANTE».
Indubitablement vous n’avez pas mal réalisé cette mesure. En effet : c’est cette même vitesse que nous avons enregistrée … dans ce même cadre tridimensionnel.
Mais il suffit de changer de cadre ou de système à trois dimensions pour que cette Vitesse Limite change notablement jusqu’au point où l’unique référence qui puisse refléter le changement d’axe soit précisément la mesure de cette vitesse ou constante C.
Nous aurons ainsi une famille de valeurs :
C0 C1 C2 C3 ………….. Ci …………..Cn
qui s’étend de C0 = 0 (zéro) à Cn = (infini).
Chacune représentant un système référentiel défini.
Dans le premier cas, (vitesse de la lumière nulle), nous vous dirons en avançant des concepts, que des phénomènes déterminés que vous associez à la parapsychologie se produisent comme par exemple les communications télépathiques. Le WAAM analysé sous ce système tridimensionnel de référence présente une uniformité absolue (vous diriez Entropie maxima). (1)
(1) Même si cet état d’ENTROPIE MAXIMA ou DEGRADATION pourrait se produire dans n’importe quel système référentiel où la vitesse de la lumière est «NON NULLE».
Dans le cas limite ce la vitesse de la lumière infinie, le WAAM peut être considéré comme non existant, car on pourrait l’assimiler à une identification de tous les IBOZOO UU avec lui-même, c’est-à-dire à un seul IBOZOO UU qui, comme vous le savez, N’A PAS DE REALITE PHYSIQUE.
Il faut que vous compreniez cela avant de continuer plus loin. Même si c’est difficile à accepter à cause de vos raisonnements logiques habituels.
Si vous imaginez dans l’espace une gamme infinie de petites sphères ou de petites boules polychromes, chacune différente de la suivante par la couleur et à l’intérieur de la couleur par les nuances, vous aurez alors une grossière image du WAAM.
Imaginez maintenant que vous localisez deux sphères exactement de la même couleur. En utilisant les mécanismes logiques en usage vous diriez que ces deux petites boules sont à des endroits différents. Qu’elles représentent des entités différentes. En somme, ce sont deux boules, et que cette pluralité de sphères différenciées par la couleur a échoué lamentablement.
Mais si nous déplaçons ce raisonnement au cosmos, si vous localisez deux IBOZOO UU qui étaient jusqu’à maintenant distincts puisque leur «axes» (OAWOO) étaient orientés dans des directions différentes, et si maintenant vous les contemplez avec cette perspective et que les deux IBOZOO UU sont égaux ; vous devrez alors utiliser un autre raisonnement dissocié de la logique divalente et affirmer que ces «deux» IBOZOO UU sont le «même» IBOZOO UU.
En effet : une paire d’IBOZOO UU qui, dans un système référentiel, apparaissaient différenciées, s’agissant par exemple d’un neutron et d’un pion, en changeant d’axes de référence, ces deux subparticules qui dans l’autre cadre semblaient très distantes pour l’observateur, appartenant même à deux galaxies différentes, et bien dans un autre système tridimensionnel il faut les considérer comme un même IBOZOO UU.
Mais la probabilité pour que cela se produise pour une paire d’IBOZOO UU (?) et (?) est pratiquement nulle quand le nouveau système référentiel diffère «angulairement» très peu de l’antérieur.
Nous nous éloignons quelque peu de la question centrale mais c’est volontaire : nous définissons un intervalle de temps AT comme une succession d’IBOZOO UU dont les IOAWOO diffèrent entre eux par des quantités constantes (D59_FG26)
D59_FG26
C’est à dire que nous considérons dans un IBOZOO UU les quatre «axes» (OAWOO) (faites attention au véritable concept de OAWOO) que nous appelons OAWOO UXGIGII car ils représentent précisément le cadre tridimensionnel de référence (D59_FG27).
D59_FG27
OAWOO UXGIGII qui en réalité n’existent pas car ils sont aussi conventionnels qu’un symbole, mais ils servent au mathématicien pour fixer la position du véritable OAWOO.
Si le véritable OAWOO (U) oscille à l’intérieur de ce cadre idéal, imaginez maintenant un nouveau système référentiel de DEUX OAWOO UXGIGII, chacun d’eux formant 90° avec les quatre antérieurs (Voir D59_FG27).
Ce nouveau cadre d’action d’un T (OAWOO) réel et ceux antérieurement définis, définissent respectivement l’ESPACE et LE TEMPS D59_FG28 :
D59_FG28
Vous pouvez observer que les OAXOO (AXES RECTEURS) V et T qui définissent l’ESPACE ET LE TEMPS possèdent des degrés de liberté différents. Le premier peut parcourir IOAXOO (Angles-Espace) dans trois orientations différentes qui correspondent aux trois dimensions typiques de l’ESPACE, le second étant «condamné» à se déplacer sur un seul plan.
D59_FG29
Deux IBOZOO UU dont les axes OAXOO T1 et T2 diffèrent par un angle tel qu’il n’existe pas dans le WAAM un autre IBOZOO UU et dont Ti soit situé entre les deux, définiront le plus petit intervalle de TEMPS. Nous appellerons cet intervalle UIWIIOO (INSTANT) (D59_FG29).
En quoi consiste le flux du temps ? Est-ce une illusion ?
Prenons un objet quelconque : un fruit. Même si nous n’avons pas encore développé le concept des subparticules atomiques, nous avons par contre déjà suggéré dans d’autres documents que chaque composant atomique est en réalité un IBOZOO UU. Le fruit sera composé d’eau, d’hydrate de carbone, de protéines et d’autres composants chimiques organiques. Ceux-ci à leur tour seront composés de NIIO A (ATOMES) et ceux-ci par des subparticules ; chacune d’elles étant un IBOZOO UU avec ses (OAXOO) (AXES) orientés d’une manière particulière.
Quand nous mesurons sur notre montre un intervalle d’une microseconde : l’orange que nous avons dans la main est-elle identique à celle que nous tenions l’instant d’avant ? Un chimiste de la Terre dira : en réalité ce n’est pas la même car en son sein, dans ses cellules le processus de métabolisme a modifié ses caractéristiques.
Le physicien dira : NON, ses électrons varieront de position au sein des orbites (ndt ? «orbitales»). Mais si nous lui demandons maintenant si ces électrons, qui ont une position différente, sont les mêmes qu’auparavant ; il répondra peut-être : OUI.
Mais c’est une erreur : il s’est produit un saut de l’IBOZOO UU qui avant représentait l’électron E1 de l’orbital O1 de l’atome A1 et ce n’est plus le même.
Un profane en physique comprendra mieux avec cet exemple. Imaginez un cadre formé par une mosaïque d’ampoules électriques (D59_FG30).
D59_FG30
En un instant T1 sont allumées des ampoules pour former un A majuscule. Mais un instant après, t2, le temps semble s’être déplacé. Le A est le même mais ses composants ont varié. On a éteint des lampes pour en allumer d’autres. L’illusion de continuité est la même, mais le A semble s’écouler le long de la mosaïque de lampes.
D59_FG31
L’une ne s’est pas encore éteinte que commence à s’allumer la suivante. (D59_FG31) ; l’électron Eb de notre exemple qui n’était qu’un IBOZOO UU I1, devient un instant après Ec.
D59_FG32
Si vous considérez le WAAM comme l’intégration de tous les IBOZOO UU «(passés, présents et futurs»), ce que nous nous appelons (Moi, maintenant) nous pouvons le représenter sur un plan sur l’image D59_FG32.
Si MOI ; je me trouve en un «point» P représenté par un IBOZOO UU avec son Tp (OAXOO) orienté verticalement, que se passera-t-il demain ? «JE» serai en T’p (un autre IBOZOO UU) que j’appellerai futur. (1)
Mais ; que se passe-t-il sur le plan de «MOI MAINTENANT» pour un autre point éloigné de moi par une distance d, c’est à dire une chaîne d’IBOZOO UU ? tout simplement que l’orientation de son (OAXOO) Tu (axe de temps) sera différent. Je ne peux donc pas dire qu’il y a simultanéité de TEMPS. Je ne peux donc pas dire par exemple «MAINTENANT» se produit telle chose sur la planète VENUS car un tel concept de simultanéité n’a pas de sens (ET TOUT CELA POUR UN MEME CADRE DE REFERENCE).
(1) En disant MOI, nous ne nous référons pas à un OEMII (Personne) composé de trillions d’IBOZOO UU, mais à une subparticule élémentaire de mon organisme : un proton par exemple. Vous pouvez observer que le physicien de la Terre Einstein avait conçu un univers qui d’une certaine manière n’était pas tellement éloigné de celui que nous sommes en train de vous décrire. Vous devez seulement remplacer le «CONTINUUM» ESPACE-TEMPS par l’ensemble sensé des IBOZOO UU. De plus Einstein coïncida avec nous sur d’autres points essentiels. Mais Einstein ignorait que ce que lui considère comme VITESSE CONSTANTE DE LA LUMIERE n’est que l’un des systèmes de référence possibles. Il ignorait qu’il y avait d’autres cadres tridimensionnels que celui qui nous est familier.
Notre conception du WAAM explique certaines contradictions que les physiciens de la Terre ont cru trouver entre la Mécanique quantique et la conception relativiste comme nous vous l’expliquerons dans d’autres documents.
La vitesse limite : pour un même système tridimensionnel, la vitesse de la lumière ou vitesse limite est constante.
UMMOAELEWE
Langue ESPAGNOL
Nombre de copies 1
ENRIQUE VILLAGRASA NOVOA
Madrid (Espagne)
RESUME PREALABLE.
Dans nos documents précédents, nous vous avons ébauché de la manière la plus didactique possible le concept de base de l’IBOZOO UU.
Il n’est pas facile de trouver des images perceptibles de certains éléments ou facteurs (il ne nous semble pas correct de les dénommer particules) qui peuvent seulement se concevoir analytiquement à l’aide d’algorithme mathématique.
Mais nous vous répétons que certaines libertés pédagogiques entraînent un risque très grave. Ainsi quand les professeurs d’un UUGEEYIE de la OYAAAAGAA lui représentent l’atome comme «un modèle planétaire en miniature» et l’incitent à se représenter le Noyau comme une espèce de «soleil» et les électrons orbitaux comme des «planétoïdes» tournant autour, le UUGEEYIE assimile un concept aberrant qui, s’il n’est pas dépassé par des études supérieurs, demeurera toute sa vie et l’empêchera de concevoir un Cosmos Physique plus proche de la réalité.
Nous vous disons tout cela pour vous mettre en garde contre les préjugés simples et erronés. Il nous parait très important que le concept de OAWOO (AXE ou DIMENSION ORIENTE) ne soit pas identifié par vous avec la matérialisation d’une droite. Ni même avec un vecteur rotatoire ou axial représentatif de magnitudes orientées. Le OAWOO n’est pas mesurable, c’est à dire qu’il ne s’agit pas d’une longueur, qu’il n’a pas de dimensions comme les physiciens de OYAGAA (Planète Terre) le conçoivent. Pour toutes ces raisons nous vous demandons de ne pas essayer de l’identifier avec la dimension LONGUEUR.
Sans doute un profane en mathématique essaierait en connaissant notre théorie de chercher ingénument une représentation PERCEPTIBLE d’un tel «AXE» mais nous savons que chez vous une telle représentation mentale est actuellement impossible. Et ceci nous amène à vous dessiner des graphiques de ce document sous forme de représentations sphériques et axiales qui sont aussi puériles que le concept de l’atome expliqué par quelques humbles maîtres d’enseignement scolaire.
D’autre part, le OAWOO N’EST PAS UNE CONVENTION, ce n’est pas un simple paramètre, une forme arbitraire de représenter un IBOZOO UU (comme pourrait l’être le nombre Leptonique idéalisé par les physiciens de la Terre).
Le OAWOO n’existe pas sans l’imaginer lié ou «connecté» à un autre OAWOO avec lequel il forme un ANGLE ELEMENTAIRE que nous appelons IOAWOO.
Toute la confusion que nous pourrions provoquer en essayant par tous les moyens de vous présenter ces concepts de notre Physique, est provoquée précisément par notre désir de vous apporter ces références d’une manière didactique et compréhensible. Sont alors inévitables les apparentes contradictions, tout comme il y en aurait à la question d’un enfant terrestre, concernant la manière selon laquelle un transistor peut capter une émission lointaine si votre réponse était «les paroles viennent de l’air».
Il est évident que cette réponse candide adaptée à la mentalité primaire de l’enfant présentera de sérieuses contradictions avec la formulation de certains postulats de la Théorie Physique des Champs et de la Mécanique des Fluides.
Par contre il sera beaucoup plus simple d’imaginer le concept de IOAWOO (nous pourrions traduire par («ANGLE FORME PAR DEUX OAWOO») si vous vous souvenez comment nous avons dans des documents précédents identifié cette IOAWOO avec certaines magnitudes qui vous sont familières (LONGUEUR DE TEMPS).
Malgré tout il ne vous sera pas facile de concevoir un ANGLE NON formé par des droites ou des plans qui se coupent. Une telle conception de l’Angle diffère de la convention des mathématiciens terrestres.
En résumé : si vous essayez d’appliquer vos propres schémas mentaux impliqués dans l’orthodoxie de la Logique Formelle, et même si nous vous apportons toute la formulation scientifique de notre théorie, il vous sera impossible d’assimiler ces concepts. Ceci est donc la raison évidente de notre tentative de faciliter la compréhension des IBOZOO UU avec des comparaisons grossières.
D’autre part ceci ne semble pas raisonnable. L’OEMII non formé est habitué à contempler des objets délimités par des lignes, à matérialiser mentalement des angles délimités par des droites et des plans et à positionner des objets en tel point ou tel endroit.
Il sera donc difficile à cet OEMII d’imaginer un IBOZOO UU qui ne puisse pas se définir par les trois coordonnées qui définissent, dans un espace euclidien, le point ; il lui sera difficile d’imaginer qu’en plus il n’a pas de masse et qu’il ne peut donc être assimilé à une quantité en mouvement. Qu’il n’a pas d’énergie en lui ainsi que de charge électrique car de tels concepts (MASSE, ENERGIE ET CHARGE) sont des élaborations mentales associées à une orientation particulière de tels éléments. Un «ESPRIT» expert en logique de OYAGAA le définirait peut-être comme le non-A (*) de la logique divalente (c’est-à-dire CE QUI N’EXISTE PAS)
Mais l’IBOZOO UU n’est pas un simple postulat mathématique, une entéléchie (? ndt) composée par d’étranges concepts d’ «axes» qui permettent d’ébaucher une nouvelle hypothèse de Conception Physico-cosmologique.
Au contraire, nous vous avons confirmé empiriquement la Validité de cette conception. Nous savons que le IBOZOO UU EXISTE REELLEMENT et nous reconnaissons seulement que nous ignorons d’autres aspects de telles entités et que par conséquent nous ne sommes même pas arrivés à la moitié de la VERITE COSMOLOGIQUE et peut-être nous n’y arriverons jamais même si nous nous y approchons d’une manière asymptotique.
Par conséquent nous n’essayons pas de vous faire accepter, Monsieur Villagrasa, cette conception inconnue des physiciens de OYAGAA (Terre). Sinon il nous faudrait ébaucher au préalable nos principes logiques et que nous accompagnions cette divulgation non seulement de leur formulation mathématique mais aussi de certaines preuves empiriques.
Il serait puéril de prétendre qu’un physicien de la Terre puisse accepter des prémisses à l’aide d’un texte essentiellement didactique sans un bagage d’arguments cohérents et sans l’aide d’un témoignage digne de foi. Jamais des OEMII qui restent cachés et qui opèrent dans l’ombre, pour des raisons que nous vous avons déjà expliquées, pourraient prétendre à être crus grâce à des conversations téléphoniques mystérieuses ou à l’aide de documents dactylographiés sans signature identifiable.
En somme, nous essayons de vous DECRIRE UNE THEORIE et non de la DEMONTRER.
Vous pourriez nous objecter, Monsieur Villagrasa , qu’il serait nécessaire d’ajouter à nos documents des arguments mathématiques pour les avaliser. Notre attitude consistant à refuser de coopérer pour que notre identité se clarifie révèle qu’il s’agit soit du fruit d’une supercherie soit de la conséquence d’une attitude égoïste tendant à monopoliser notre Science et notre Technologie pour ne pas la transférer à la planète Terre.
Comme vous êtes déjà au courant de nos arguments, il est inutile donc d’engager une polémique. Mais nous vous rappelons quand même que vous n’arrêtez pas d’insister dans ce domaine. Vous insistez toujours dans vos invocation d’un vice à l’origine ce qui voudrait dire que vous considérez que NOTRE CONTACT AVEC VOUS A POUR OBJET L’ACCEPTATION DE NOTRE IDENTITE.
Il est clair que si cela était notre objectif, il existe une multitude de moyens pour y arriver, et naturellement vous et les deux centaines de scientifiques plus quelques autres frères de profession variée avec qui nous sommes en contact, ne constitueraient pas les objectifs les plus adaptés pour nous faire connaître. De même à l’heure actuelle nous ne pensons pas que les Administrations d’Etat des différents pays de cette planète soient en état de nous causer des préjudices.
En ce qui concerne l’égoïsme apparent que nous pourrions révéler en gardant notre Science et nos Techniques, nous regrettons d’être en désaccord avec votre appréciation. Nous SOMMES CERTAINS que cet apport serait gravement préjudiciable au réseau social. Consultez, Monsieur Villagrasa, ce point avec un véritable expert en Sociologie, s’il est intelligent et objectif, il vous apportera des explications corroborant notre position.
LES SUBPARTICULES ELEMENTAIRES
Si nous voulons vous décrire nos conceptions sur la MASSE et l’ENERGIE il faut établir à chaque instant les différences et les ressemblances entre les idées actuelles d’un physicien de la planète UMMO et un autre de OYAAGAA (TERRE).
Avant tout, nous vous indiquons que malgré certaines différences concernant la véritable signification de facteurs qui vous sont familiers (comme le SPIN), nous acceptons comme valables de nombreuses découvertes terrestres, même si nous les interprétons d’une manière différente.
Pour illustrer le paragraphe précédent voyons quelques exemples concrets de coïncidences conditionnées.
Vous avez mesuré la Masse du PROTON, de l’ELECTRON, de nombreux MESONS et HYPERONS ou vous avez constaté la différence de MASSE du NEUTRON ou du PHOTON.
Nous corroborons l’existence de ce que vous appelez PARTICULES, et nous confirmons que la mesure de leur masse en repos relatif, réalisée par vous, est correcte. Notre différence apparaît au moment d’interpréter la véritable nature de ces prétendues particules (nous serons plus explicatifs tout à l’heure).
Voyons maintenant un exemple de différence quant à la mesure de CONCEPT.
Vous connaissez un paramètre important que vous appelez SPIN ou MOMENT INTRINSEQUE et vous «savez» qu’il est quantifié en cinq mesures. (Quelques Physiciens de la Terre ont interprété ce SPIN comme ROTATION de la PARTICULE en lui assignant un MOMENT pour sa mesure).
Par contre, nous, nous savons qu’une TELLE ROTATION N’EXISTE PAS, et que la quantification de sa valeur est une erreur car si dans un cadre tridimensionnel le Nombre de valeurs est fini, les possibles orientations du «quadrique» de OAWOO que vous interprétez comme SPIN, ne pourront jamais être mesurées correctement sinon comme ce que vous appelleriez une longueur CONTINUE.
Enfin, nous vous signalerons une autre hypothèse en vigueur chez vous que nous avons rejeté comme entièrement fausse.
Ainsi certains physiciens de la Terre conçoivent actuellement le PROTON comme étant formé de MESONS.
Suivre cette voie erronée pourrait retarder la Recherche Terrestre dans le domaine de la physique pour de nombreuses années.
L’hypothèse primitive qui consistait à concevoir le Proton comme particule indivisible est plus proche de la réalité.
Il s’agissait donc de certaines différences prises au hasard que nous avons pu enregistrer.
UNE COMPARAISON POUR DES PERSONNES PEU VERSEES EN PHYSIQUE
Au long de ces dernières années, les physiciens de OYAAGAA ont percé progressivement la nature intime de la matière. Peu à peu vous avez obtenu un catalogue d’une série de particules à qui vous avez assigné une série de paramètres dont la mesure est possible à l’aide de vos actuels instruments de laboratoire.
Ainsi vous êtes capables de mesurer la MASSE en repos et en mouvement son énergie actuelle, sa charge électrique, son SPIN et son MOMENT ORBITAL. Vous ne connaissez pas la situation d’une particule en un instant donné mais vous avez la possibilité de la localiser en un point défini.
Cependant de nombreux physiciens supposent qu’une particule a une réalité (soit comme phénomène concentré dans un environnement de rayon limité, soit comme quantité réelle ou Quantum d’ENERGIE sans pouvoir en définir la taille et la position).
Cependant sans l’existence d’INTERACTIONS et avant la possible collision avec une autre particule, celle-ci peut se déplacer en une trajectoire que vous pouvez visualiser dans une chambre de NIELLE par exemple en conservant cependant des attributs initiaux de MASSE, SPIN, ORBITE, CHARGE et ENERGIE.
Avant de continuer, nous allons vous donner deux comparaisons didactiques.
Vous employez pour vos fêtes populaires une chaîne de fusées entourées par une mèche continue (en Espagne vous appelez cet artifice un CHAPELET (de pétard (ndt))
Imaginez qu’un observateur contemple de très loin un rue sur laquelle on a étendu un de ces chapelets.
D59_FG33 (NDS : dessin illisible sur le document photocopié)
Quand commence l’explosion du premier pétard, un OEMII court en portant un feu de Bengale dans la direction parallèle au chapelet. Les pétards du chapelet en explosant les uns après les autres et très vite, peuvent provoquer l’illusion optique pour notre observateur qui voit de loin ce phénomène qu’il s’agit d’une LUMIERE qui court le long de la corde.
Il croira voir deux LUMIERES qui se déplacent avec des trajectoires parallèles :
– le coureur avec son feu de Bengale
– la mise à feu séquentielle des pétards.
Il ne verra peut-être pas la différence et même il pourra croire qu’il s’agit de deux coureurs avec des feux de Bengale.
Vous voyez donc la différence entre ces deux conceptions PHYSIQUES. Les PHYSICIENS de OYAAGAA accepteraient la «version» du coureur avec son feu de Bengale. Les Physiciens de notre Planète savent que le déplacement des particules pourraient être assimilé à la métaphore du chapelet de pétards.
Si un fragment de minéral radioactif émet des rayons (Bêta), vous croyez que l’électron qui est parti d’un grain de la substance est le même qui, après quelques centimètres, provoque un collision avec par exemple une molécule d’oxygène.
Notre conception diffère énormément de cette image formelle. L’ELECTRON EN LUI-MEME N’EXISTE PAS (tout comme on ne peut pas dire qu’un éclair ou un scintillement existe dans le pétard). OUI il existe une chaîne d’IBOZOO UU inaccessible à nos sens et à nos appareils de mesure à cause de l’orientation particulière de ces OAWOO (AXES) (tout comme seront inaccessibles pour l’observateur éloigné les rouleaux de cartons pleins de Nitrate potassique et de soufre d’Antimoine, cachés dans la nuit).
De plus certains OAWOO de chacun des composants de cette série ou chaîne s’orientent consécutivement. (Pour ensuite revenir à leur orientation primitive).
Ceci constitue l’illusion du mouvement de quelque chose qui est sous-jacent à nos organes des sens externes et qui échappe au contrôle de vos instruments de mesure actuels.
Il n’est pas possible de concevoir une PARTICULE ISOLEE EN DEHORS DU WAAM (COSMOS) comme il serait inimaginable de concevoir une VAGUE de l’océan qui ne soit pas associée à l’EAU.
Non seulement l’ENERGIE est quantifiée (sur ce sujet les physiciens terrestres ne se sont pas trompés) mais la MAGNITUDE «DISTANCE» l’est aussi dans un ordre inférieur à 12^(-13) centimètres (relation angulaire entre deux IBOZOO UU «CONNEXES» (LIES) et précisément une PARTICULE SUBATOMIQUE a comme base un IBOZOO UU et un autre CONNEXE).
(Nous employons le mot CONNEXE car nous n’en trouvons pas d’autre plus adapté dans votre langage).
Nous croyons que le mot ADJACENT suggérerait un positionnement de l’IBOZOO UU et nous vous avons déjà dit qu’un IBOZOO UU existe mais qu’on ne peut le positionner.
Nous allons essayer de représenter un AYUU (RESEAU) d’IBOZOO UU dans un plan idéal.
Un profane en physique comprendra mieux avec cet exemple. Imaginez un cadre formé par une mosaïque d’ampoules électriques (D59_FG30).
D59_FG34
de manière telle qu’aucun IBOZOO UU n’oriente l’un de ses OAWOO (AXES) qui le composent perpendiculairement au Plan Fictif que nous avons tracé à l’aide de crayons de couleurs (D59_FG34)
Nous disons que est «connexe» avec Vj (DUU OII) et que Vj est DUU OII (connexe) avec .
Un OEMII considérera ce réseau «VIDE» et l’identifiera illusoirement avec le RIEN. Pour lui il n’existera pas de MATIERE, ni de CHAMP GRAVITATIONNEL ou ELECTROMAGNETIQUE, ni d’INTERACTIONS FAIBLES, ni d’INTERACTIONS NUCLEAIRES.
En somme il extrapolera ce AYUU du COSMOS qu’il connaît.
Mais imaginez que l’IBOZOO UU représenté en ORANGE oriente l’un de ses OAWOO que nous appelons OAWOOYEY en un angle que nous idéalisons dans l’image D59_FG35 avec = radiants.
D59_FG35 ( Manquant dans le document reçu).