Le Figaro Paris 25-3-1950 UMMO

Descripción

Le Figaro Paris 25-3-1950 UMMO

 

La citation du Figaro dans les «premiers jours sur Terre» (D57).
 ©  Jean Pollion   Mars 2003 – mis en ligne le 15/03/03

Les documents ummites contiennent une masse d’informations. Les auteurs ont déclaré avoir introduit quelquefois de fausses données, pour ne pas donner trop de crédit à leurs affirmations.

Certaines informations sont clairement invérifiables, au moins avec nos techniques actuelles d’investigation.

D’autres semblent accessibles au contrôle.

Le meilleur aperçu sur la crédibilité du dossier UMMO sera obtenu par le plus grand nombre de vérifications rigoureuses des données exposées dans les documents ummites disponibles.

Parmi les nombreux éléments susceptibles d’enquête et n’ayant pas encore fait l’objet de publication, j’ai retenu les références à un journal français de 1950.

Dans le récit des premiers jours sur Terre des premiers expéditionnaires d’UMMO (T1B-1à33 publié par Aguirre en II-I-1 à II-I-49), les Ummites font état d’un journal trouvé près de leur «refuge souterrain» et souillé par des excréments humains.

Copie partielle de l’original

(img 1)

Le texte ci-dessous est la traduction .

Je cite l’extrait A35.35,36 (II-I-35,36):

«Cet exemplaire fameux pour nous qui constitua le premier document imprimé que nous avons pu obtenir correspondait à un numéro du Journal publié en langue française  «LE FIGARO» Samedi Dimanche 25-26 mars 1950.

Les caractères étrangers laissèrent nos frères perplexes. Le plus encourageant et suggestif de cette étrange pièce étaient les dessins et les photographies. ( bien sûr nous ignorions la technique ingénue de la Photogravure Directe et en Ligne.).

Sur la page que nous avons identifiée par la suite comme étant la première, apparaissait précisément une curieuse caricature signée par un humoriste français J. Sennep. C’était un croquis d’une Bombe Nucléaire d’Hydrogène avec sur son ogive la caricature d’un homme Politique français. La légende était la suivante:

BATAILLES PARLEMENTAIRES

S’ils nous embêtent, nous avons la bombe H

On notait aussi des grands titres comme:

L’ URS EST FAVORABLE A UNE SESSION SPECIALE DU CONSEIL DE SECURITE POUR REGLER LES DIFFERENCES EST – OUEST.

et d’autres:

SERIE NOIRE DANS L’AVIATION    TROIS CATASTROPHES AERIENNES ONT FAIT  19 MORTS

AIDE IMMEDIATE A L’INDOCHINE.

On distinguait au dos du papier, bien que taché par les excréments, une image exceptionnellement intéressante pour nous. On voyait un être humain adulte avec deux UGEEYIE  ( Nous ne pûmes identifier le sexe clairement ). Ensuite nous avons su qu’il s’agissait d’une dame avec des enfants des deux sexes. On pouvait apprécier la facture de vos vêtements  (N’oubliez pas que l’un de nos casse-tête était constitué par la vérification de la manière dont vous étiez habillés.)  Au dessus du dessin apparaissait un texte évidemment inintelligible pour les explorateurs à ce moment là,  et qui disait MONDIAL NURSERY

Pour finir de nous tromper sur le type de vêtements terrestres, apparaissait dans une autre page du journal  (Page 6) une photo d’un autre Etre Humain (Une dame) vêtue à la mode classique correspondant à la représentation théâtrale de «Malborough» de Marcel Achard, qui venait d’être jouée au théâtre Marigni.

Cette découverte documentaire, nous le répétons, était d’une importance transcendante. Mais nous ne connaissions aucun moyen scientifique pour pouvoir interpréter les caractères. Il n’y avait pas de relation directe entre les images et le texte. Nous ignorions si ces symboles représentaient des chiffres ou des idéogrammes ou si l’on pouvait les interpréter comme représentatifs de sons complexes ou des  phonogrammes sans intégration.

Que faisait là ce document en pleine campagne ? Nous ne pouvions croire qu’il avait été posé là pour nous étant donné que l’excrément présentait des symptômes de dessèchement commencé avant notre arrivée sur la Planète Terre.

Acquisition des données.

J’ai donc pris contact, en décembre 2002, avec le service des archives du journal Le Figaro auprès duquel j’ai commandé la photocopie des pages 1, 2 et 6 du Samedi Dimanche 25-26 mars 1950. J’ai reçu des photocopies qui, bien que n’étant pas d’extrême qualité, sont toutefois exploitables.

Après le travail normal de situation des informations et leur contrôle, j’arrivais au constat que certaines informations avaient été bien rendues par les auteurs ummites, mais que d’autres n’étaient pas conformes. Les sources étant solides (les archives du journal lui-même), j’ai donc mis mes conclusions en ligne sur le site ummo-sciences dans le début janvier 2003.

Quelques jours plus tard, Eric Boisset, internaute à ses heures, passait sur le site. Intéressé par l’affaire Ummo et ayant eu en mains un original du Figaro du jour indiqué, il m’assura immédiatement que le journal «réel» n’était pas celui dont j’avais mis les photocopies en ligne.

Un mystère était en train de naître.

Nous avons comparé nos informations, Eric Boisset et moi, et cette fois je me suis rendu à Paris, au service des archives lui-même pour poser le problème et obtenir une réponse à notre questionnement.

Il n’y a pas de mystère.

Les grands quotidiens de l’époque (1950) faisaient l’objet de plusieurs éditions par jour, surtout en fin de semaine, ce qui est le cas de notre recherche. Il y avait même une édition spécialisée et allégée qui partait comme lecture distribuée dans les avions, longs courriers évidemment encore sans cinéma.

L’exemplaire dont j’ai eu la photocopie en première intention était l’édition de 5 heures (du matin) ce que l’on peut vérifier sur l’image 2, un peu à gauche sous la lettre F, du titre LE FIGARO.

(img 2)

Analyse des journaux.

Reprenons le passage intéressant de la lettre (mes commentaires sont en bleu):

«Cet exemplaire fameux pour nous qui constitua le premier document imprimé que nous avons pu obtenir correspondait à un numéro du Journal publié en langue française  «LE FIGARO» Samedi Dimanche 25-26 mars 1950.

Les caractères étrangers laissèrent nos frères perplexes. Le plus encourageant et suggestif de cette étrange pièce étaient les dessins et les photographies. Cette dernière phrase éclaire singulièrement les paragraphes suivants, en particulier l’attachement aux deux illustrations citées. (bien sûr nous ignorions la technique ingénue de la Photogravure Directe et en Ligne). J’observe au passage avec quelle discrétion, mais quelle efficacité, la technologie terrienne est évaluée par les auteurs: la technique «ingénue» de la photogravure.. Il est fait ici référence à la bélinographie, sorte de précurseur de la télécopie à usage exclusif des photographies et inventée au début du 20ème siècle par Edouard Belin.

  1. Sennep

Sur la page que nous avons identifiée par la suite comme étant la première, apparaissait précisément une curieuse caricature signée par un humoriste français J. Sennep. C’était un croquis d’une Bombe Nucléaire d’Hydrogène avec sur son ogive la caricature d’un homme Politique français. La légende était la suivante:

BATAILLES PARLEMENTAIRES

S’ils nous embêtent, nous avons la bombe H

Voir image 3 ( le dessin est strictement identique sur l’édition de la journée )

(img 3)

On constate que si l’auteur de la lettre n’a pas eu lui-même en mains la page du journal, il a eu un compte rendu très fidèle et détaillé du dessin. Le texte ummite cite J. Sennep. Ni le prénom du dessinateur, ni même son initiale ne figurent dans le texte imprimé, l’initiale figure seulement dans la signature manuscrite du dessin: l’indication me semble faite pour montrer que le dessin a été étudié dans ses moindres détails. Peu probable pour un faussaire banal.

L’homme politique français représenté dans l’ogive de la bombe pourrait être Maurice THOREZ, Secrétaire Général du Parti Communiste Français à l’époque. [ces deux dernières informations sont à vérifier par des documentalistes…]

Grands titres

On notait aussi des grands titres comme:

L’ URS EST FAVORABLE A UNE SESSION SPECIALE DU CONSEIL DE SECURITE POUR REGLER LES DIFFERENCES EST – OUEST.

Voir image 4 ( édition de 5 heures)

(img 4)

J’observais une différence, presque minime, entre la citation et le titre réel qui est interrogatif et pas tout à fait concordant. Mais, allant plus loin dans l’article, je trouvais que le sens était respecté.

En réalité, l’article a un peu changé de titre et de contenu d’une édition à l’autre. On voit sur l’image 5 (édition de journée) que le titre est exactement celui cité dans la lettre ummite, au mot «différends» près.

(img 5)

L’original de la lettre ummite a fait l’objet de surcharges sur quelques caractères mal imprimés ou fautes de frappe. (Voir original en haut de page). C’est en particulier le cas de la fin du mot DIFFERENCES pour lequel les 3 dernières lettres ont été surchargées dans un espace équivalent à 2, nous empêchant de constater que le mot a peut-être été convenablement orthographié et corrigé plus tard par quelqu’un qui connaissait le français mieux que le dactylographe. J’ajoute que si l’Ummite a dicté le mot DIFFERENDS avec sa propre prononciation, elle était effectivement très proche de ce qui a été tapé (phonétiques très proches).

Si l’auteur n’a pas lui-même lu le titre, il a disposé d’un compte rendu très précis de quelqu’un qui comprenait bien le français.

La photocopie partielle de la page 1 de l’édition de 5 heures (img 4) établit que ce titre figurait bien en page 1 du journal cité.

et d’autres:

SERIE NOIRE DANS L’AVIATION    TROIS CATASTROPHES AERIENNES ONT FAIT  19 MORTS

N’ayant pas reçu de pages de l’édition de5 heures, autres que les 1,2 et 6 commandées, il me fut impossible de situer la réalité de ce titre. En revanche, il figure en plein centre de la page 2 de l’édition de la journée

(img 6)

AIDE IMMEDIATE A L’INDOCHINE.

L’observation faite ci-dessus est aussi valable. En fait, ce titre se trouve bien dans le journal, mais sur la partie droite de la page 3 de l’édition de journée.

 

 

(img7)

Mondial Nursery

On distinguait au dos du papier, bien que taché par les excréments, une image exceptionnellement intéressante pour nous. On voyait un être humain adulte avec deux UGEEYIE  ( Nous ne pûmes identifier le sexe clairement ). Ensuite nous avons su qu’il s’agissait d’une dame avec des enfants des deux sexes. On pouvait apprécier la facture de vos vêtements  (N’oubliez pas que l’un de nos casse-tête était constitué par la vérification de la manière dont vous étiez habillés.)  Au dessus du dessin apparaissait un texte évidemment inintelligible pour les explorateurs à ce moment là,  et qui disait MONDIAL NURSERY

Pour retrouver cette information, je suis parti du début. La page «une» ayant d’abord été décrite (« Sur la page que nous avons identifiée par la suite comme étant la première«), l’indication «Au dos du papier» devait faire référence à la page 2. Or celle-ci ne contient qu’une seule «image» qui est en réalité un dessin à vocation publicitaire (image 8) de petites dimensions: quasi carré de 4,5 cm de côté.

(img 8)

Il y a bien une illustration répondant à la description du texte, mais on constate aussi tout le décalage d’interprétation qui se dégage du texte.

Ce qui appelle plusieurs remarques, en regard du détail de la lettre que je reprends:

– On voyait un être humain adulte avec deux UGEEYIE ( Nous ne pûmes identifier le sexe clairement). Effectivement, pour quelqu’un qui ne connaît pas nos normes de gestion de l’apparence, l’adulte représenté, que notre culture fait reconnaître comme une jeune femme du fait essentiellement de la jupe et de la coiffure (coupe des cheveux et forme du chapeau), ne présente pas de caractère sexuel différenciateur évident: pas de poitrine perceptible [«mamelles» comme auraient dit les Ummites]. Le constat est encore plus évident pour les enfants dont l’habillement est le seul témoin possible du sexe, même pour nous, avec  l’absence de signe logique clair, directement assimilable par des êtres «exoplanétaires».

– Ensuite nous avons su qu’il s’agissait d’une dame avec des enfants des deux sexes. On pouvait apprécier la facture de vos vêtements. (N’oubliez pas que l’un de nos casse-tête était constitué par la vérification de la manière dont vous étiez habillés.) Pas de commentaire ici, le texte est conforme à l’observation.

Rappelons juste le constat du décalage d’interprétation d’une «image» dont seule l’ignorance totale des lecteurs peut justifier le commentaire donné. Une lecture correcte eût nécessité de connaître le procédé et la justification des dessins publicitaires !

– Au dessus du dessin apparaissait un texte évidemment inintelligible pour les explorateurs à ce moment là, et qui disait MONDIAL NURSERY.

Nous avons ici les éléments d’identification simples, mais efficaces, de l’image désignée. Pas d’ambiguïté possible ici.

La différence d’interprétation culturelle entre le commentaire de la lettre ummite et ce que nous savons de cette «image» est intéressante dans le bilan global de ce passage.

Pièce Marcel Achard

Pour finir de nous tromper sur le type de vêtements terrestres, apparaissait dans une autre page du journal  (Page 6) une photo d’un autre Etre Humain (Une dame) vêtue à la mode classique correspondant à la représentation théâtrale de «Malborough» de Marcel Achard, qui venait d’être jouée au théâtre Marigni.

Cette partie du document est probablement la plus intéressante.

En effet, il n’y a en page 6 de l’édition de 5 heures que deux photographies. L’une représente deux marins français en uniforme après une cérémonie des couleurs en Terre Adélie et l’autre un couple sur scène face à un public qui, à l’évidence, ne le regarde pas. La femme du couple porte une robe presque longue à plis multiples. C’est une publicité pour une émission radiophonique ( la télévision n’était pas encore commercialisée en France). N’ayant que l’édition de 5 heures, j’ai d’abord pensé que les Ummites avaient été abusés par la publicité ou qu’ils avaient tenté de nous le faire croire.

En fait, édition de la journée en mains, la situation est simple.

Il n’y a toujours que deux images dans cette page, la deuxième étant toujours la publicité pour l’émission radiophonique. Mais la première représente le couple des acteurs principaux de la pièce de Marcel Achard: Malborough s’en va-t-en guerre. On observe que les habits sont des costumes de théâtre correspondant à l’époque de la pièce.

(img 9)

La seule erreur notable est, pour nous, dans l’information temporelle. La légende dit : «Jacques Dacqmine, guéri, a repris son uniforme et ce soir aura lieu au théâtre Marigny la répétition générale de « Malborough s’en va-t-en guerre » de Marcel Achard. Ci-dessus: Madeleine Renaud et Jacques Dacqmine.» La légende annonce donc la générale de la pièce qui sera jouée le samedi soir, 25 mars.

Or les Ummites écrivent : «correspondant à la représentation théâtrale de «Malborough» de Marcel Achard, qui venait d’être jouée au théâtre Marigni.» ( c’est moi qui mets en gras). Cette formulation est pour nous l’expression que l’article du journal est postérieur à la représentation.

Il y a donc incohérence temporelle. S’agirait-il d’un mensonge ummite ?

Non, je ne pense pas et nous tenons là un indice de la forme de pensée «exotique» des auteurs. Aucun commentateur terrien , affabulateur et/ou faussaire, n’aurait fait le rapport temporel en relativité au temps de sa propre découverte du journal. Ce n’est pas dans notre forme d’esprit. L’Ummite déclare ici que la pièce vient d’être jouée, car il a eu le journal en mains le 28 ou le 29, soit trois ou quatre jours après la date de la représentation annoncée: pour lui, la pièce a déjà été jouée quelques jours auparavant.

Cet élément constitue pour moi une désinformation implicite, laissée à destination des lecteurs rapides ou superficiels, et une information d’authentification, une suggestion de crédibilisation après analyse poussée, c’est-à-dire en conformité avec les dernières lignes ci-dessous, extraites de la lettre d’UMMO (D62) reçue en mai 1967 par Dioniso Garrido Buendia, commissaire de police à Madrid):

«…Quelle attitude doivent adopter les experts Terrestres face à notre identité ou face à la réalité de ces cosmonefs  vues par des milliers de témoins?

En toute logique, la première réaction plausible doit être de Prudent Scepticisme, l’Incrédulité préalable.

Mais cette incrédulité ne doit pas présenter les caractères d’IMMOBILISTES propres aux personnes de niveau mental insuffisant (faible indice d’intelligence) qui nient systématiquement sans prendre la peine d’analyser, d’étudier, de comparer et sans réaliser une critique sévère avec des éléments de jugement…«.

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En marge de ce dossier de contrôle partiel de l’affaire UMMO, nous pouvons observer quelques éléments intéressants sur la page d’original concernée.

Voir image 1 en début de page

Le dactylographe a des connaissances sélectives de français et dispose probablement d’une machine à écrire espagnole, ce qui a nécessité des corrections manuscrites après la frappe du texte. A l’évidence, le texte français lui a été dicté.

–        sa machine à écrire n’a pas un clavier français, puisqu’il ne sait pas frapper l’accent circonflexe sur «embêtent».

–        Sa culture espagnole le conduit à reporter les accents sur les majuscules, ce que l’on ne fait pas en français (sauf dans les dictionnaires).

–        Le mot français AERIENNES a été rendu selon la phonétique espagnole équivalente par AERIEN, le reste de l’orthographe française du mot a été ajouté à la main par le «correcteur».

–        Il en est de même pour le verbe «ONT» dont le T a été ajouté à la main.

–        La correction du premier M de IMMEDIATE vient de l’orthographe espagnole du mot ayant le même sens INMEDIATA. [C’est la langue française qui a assimilé le N à un M, car la véritable racine étymologique est bien IN-MEDIATIO (sans médiation, sans «milieu»)].

–        La fin de mot en Y est rarissime en espagnol, ce qui explique qu’il ait frappé «Marigni», lequel a échappé au correcteur.

–        On observe en revanche qu’il a correctement orthographié les mots SESSION, DIFFERENCES, AVIATION, CATASTROPHES qui s’écrivent différemment en espagnol.

En conclusion

Les citations du FIGARO du 25-26 mars 1950 faites dans la lettre des premiers jours sur Terre (D57), reçue par Enrique Villagrasa le 20 mars 1967, ne sont pas complètement conformes au contenu de l’édition de 5 heures du matin du journal. Elles sont en revanche en parfaite cohérence avec l’édition de la journée de ce journal et empreintes de plusieurs marques «d’exotisme» certaines:

–        parfaite mention du dessin de Sennep en première page, dont initiale du prénom,

–        mention de trois titres sur 3 pages différentes, dont un avec une faute sur un mot, sans que le sens en soit profondément modifié,

–        parfaite référence à une publicité de la page 2, avec un décalage certain de lecture,

–        parfaite référence à une photo d’acteurs et expression étonnante du rapport au temps.

L’analyse de la partie correspondante du texte original confirme la réalité de la dictée à un dactylographe espagnol partiellement au fait de la langue française.

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