Revista UMMOFRA

Descripción

Revista UMMOFRA

 

ETUDES RECHERCHES SUR «UMMO» : PARTIE FRANCAISE

Adresse : UMMOFRA   CEO FRANCE  B.P. 21 – 13170  LA GAVOTTE

29                                                                         1 TRI 2005

 

OAWOOLEAIDAA : CLUCHEMET ou L’ADRET ?

 

 

 

 

Comme nous l’avons détaillé dans Ummofra numéro 24, en prenant pour références les originaux des textes Ummites, l’apparition des vaisseaux ummites à la date du 28 mars 1950 se serait produite au-dessus du sommet du Cluchemet. Cette déduction qui a été notre conviction pour nos recherches et études ne satisfait pas tout le monde au sein de la recherche ufologique actuelle.

En effet, si nos deux cercles tracés sur une carte, un pour les 13 kilomètres de Digne et l’autre pour les 8 kilomètres de La Javie, se recoupent en un point au-dessus du Cluchemet, il est un deuxième point de recoupage au coté opposé situé aux Barres de l’Adret (1103 m) dans la forêt domaniale du Bès. Quelques chercheurs pensent que ce deuxième point est le lieu de l’apparition des vaisseaux Ummites.

Que ce soit le point du Cluchemet ou celui de l’Adret, ce ne sont que des points «au sol» au-dessus desquels à une altitude de 7,338 Kilomètres apparurent, subitement, les nefs Ummites (oawooleaidaa). Ces points peuvent, mais ne veulent pas dire qu’il s’agit du point d’atterrissage des nefs. Nous savons que l’atterrissage eut lieu à 8 kilomètres de La Javie. C’est peut-être par une descente rapide à un des points cités qui se trouvent à 8 kilomètres de la Javie (Cluchemet ou Adret), mais cela peut être sur un pourtour de 8 kilomètres autour de La Javie. Par contre, il est précisé que cet atterrissage se fit dans un terrain rocailleux d’un contre fort alpin non loin du Cheval Blanc ainsi que l’entrée de la galerie Ummite. C’est déjà un point principal que nous avons retenu, le Cheval Blanc ! Car, si on retient le point de l’Adret, les textes Ummites devraient se référer au sommet du Blayeul (2109 m) qui n’est qu’à 6 kilomètres à vol d’oiseau, alors que le Cheval Blanc est à 15 kilomètres à vol d’oiseau.

De toutes manières il faut choisir ou le Cluchemet, ou l’Adret. Dans un premier temps ces deux points représentent uniquement le lieu d’apparition des vaisseaux sans qu’il soit donné la moindre information d’observation ou de localisation de l’endroit. Il en est pas de même si, en fonction de leur rapidité de descente, nous admettons que le point d’apparition correspond au point d’atterrissage. Il y a des arguments pour et contre concernant cette probabilité.

Si nous travaillons sur cette probabilité d’un atterrissage à l’aplomb du point d’apparition des vaisseaux et que nous voulions étudier les deux points possibles – Cluchemet et Adret – Il faut dessuite donner les règles d’études à savoir:

1° – Doit-on tenir compte «à la lettre» près des données citées dans les documents Ummites concernant les points d’observations qu’ils décrivent à partir du lieu de leur atterrissage, donc de l’entrée de la galerie ?

2° – Sachant que les Ummites ne veulent pas qu’on découvre ce lieu en nous informant qu’ils ont eux-même introduit des erreurs volontaires dans leurs données pour ne pas que l’on trouve l’entrée de cette galerie, doit-on à ce moment-là, ignorer leurs textes et effectuer des études et recherches sur le terrain à notre façon ?

 

L’essentiel, c’est de ne pas prendre en compte les lettres Ummites quand elles confirment une localisation et les réfuter quand elles ne correspondent pas à ce que l’on veut. Non ou c’est tout, ou c’est rien. C’est trop facile de confirmer un point de localisation parce qu’on le voit et qu’il est signalé sur les documents Ummites, et ensuite d’en critiquer un autre qu’on ne localise pas en disant que c’est un faux dans les documents.

Si nous travaillons d’après les textes Ummites, du point d’atterrissage ou entrée de la galerie nous devons localiser cinq (5) points principaux :

 

1 – toute la vallée ou coule la rivière Bléone.

2 – avec de bons instruments d’optique on doit voir les édifices de Digne ainsi que «sa vieille cathédrale».

3 – fragmentairement «le Bès»

4 – une partie du chemin de fer

5 – en partie le hameau de La Javie

Pour notre part, CEO France, nos investigations se sont portées au point du Cluchemet, ceci pour des raisons valables et justifiables. Ces investigations à ce point ont commencé en 1975, cela fait 30 ans. Tout au long de ces 30 ans nous avons parcouru les sommets, les ravins, les crêtes, les villages, les ruines etc.. Nous avons consulté les mairies, les bibliothèques, les archives, les gendarmeries, les villageois, les connaissances etc…Il n’a jamais été question d’un simple renseignement concernant le coté opposé: l’Adret.

Les sens opposés à nos recherches, suivant les données de certaines personnes ou ouvrages, se sont cantonné du coté de Tartonne et du coté de Boulard.

S’il y avait eu, le moindre petit renseignement en ces 30 ans concernant le coté opposé, nous l’aurions exploité. Rien !

On pourra nous rétorquer que cela était voulu pour nous brouiller les pistes comme cela a été dit sur Internet au site ummo-sciences par une personne «délirante». Ou bien on pourra dire que les Ummites ont localisé le sommet le plus haut, le Cheval Blanc afin d’orienter vers le point du Cluchemet pour éliminer des enquêtes le point de l’Adret.

Pour tenir ces raisonnements, il faut s’appuyer sur des faits et non sur des «si». Les faits concernant l’Adret manquent, et manquent complètement.

Cela ne veut pas dire que les faits concernant le Cluchemet sont «irrévocables», non, mais ils sont là et peuvent être discutés. D’autant plus que ces faits sont les résultats (minimes, certes) de 30 années de recherches et d’études sur le terrain, ce qui n’est pas le cas des recherches au coté opposé qui sont issus «d’une demi-journée à une journée d’investigations» et pour d’autres simplement à quelques jours de congés dans la région.

Déjà, dans cette première partie qui concerne uniquement le site d’atterrissage et l’entrée de la galerie, nous ne pouvons pas admettre qu’il s’agit que d’une affaire de langage et de pensée sur une approximation de distance. Là encore, nous transportons une recherche dans un coin éloigné du lieu où des faits réels sont présents.

 

 

 

 

 

QUE DISENT LES UMMITES SUR LES ZETAS ?

Geneviève Vanquelef

Les Ummites, les seuls ET qui envoient des missives directement à certains Terriens, choisis dans tous les Pays, nous parlent un peu, pas assez malheureusement, des autres ET, qui nous visitent. Il est inutile de spéculer s’il s’agit d’un véritable groupe extra terrestre ou d’un groupe de scientifiques falsificateurs.* La qualité, la technicité, la pertinence de leurs très nombreux messages, sont convain­cants.**

De toute façon, s’il s’agit d’une élite terrienne, les informations de ces individus sont intéres­santes à connaître .Il ne s’agit plus ici de médiums, si sincères soient-ils. Précisons tout dessuite que le nom des Zétas n’est pas donné par les Ummites, ces derniers précisent seulement que cette race citée, est petite avec un gros crâne, des bras courts et qu’elle n’a aucun respect pour la race humaine comme les autres ET, qui nous visitent. Nous sommes des cobayes dans leurs mains. Ils nous visitent beaucoup plus, que toutes les autres races étrangères. Ils n’ont pas peur de se montrer.

Bizarrement, au début, les Ummites pensent que ces êtres «ne nous veulent pas de mal et qu’ils sont repartis au bout de quelques années, leur curiosité satisfaite». Mais par la suite, leur connais­sance devint plus complète. Ils avouent qu’ils ne les avaient jamais rencontrés avant de venir sur Terre, et surtout avant d’entendre parler de «Saliano». En 1952, le premier groupe expéditionnaire Ummite, débarqué en France à la Javie (sud de la France) se rend en Espagne. Ils contactent quel­ques personnes, dont Fernando Sesma Manzano. Ils s’aperçoivent alors que dans les déclarations de cet homme, apparaît un message crypté, «qui provenait nécessairement d’une autre civilisation extraterrestre. .. Nous primes contact avec cet homme par téléphone, en 1965 et nous le mîmes en garde contre cet être qui disait s’appeler Saliano, disent-ils. Il y avait danger à maintenir des relations avec lui.»

Malheureusement, Sesma ne les écouta pas. (lettre à Barranechao: 30 janvier 1988) L’ET, le convainquit que les Ummites n’existaient pas, effaça sa mémoire «en agissant sur ses formations amygdaliennes» (lettre à Aguirre du 27-02-83) II s’avéra que Saliano faisait partie de ceux que nous appelons «gris», qui nous enlèvent et font des expériences sur les humains». Grâce à Sesma, les Ummites purent prendre contact directement avec ces êtres, deux fois en  décembre 1966, à Madrid. Voici comment ils racontent cette entrevue (lettre à Sesma)… «Ils étaient particulièrement soucieux de ne pas nouer de relations avec nous.. .Ils avouèrent que Saliano faisait partie de leur groupe…

Leur nature extra terrestre est évidente, mais le seul être avec qui, nous avons parlé a essayé de nous embrigader dans ses expérimentations pour faire de nous, des cobayes. Mais nous ne nous sommes pas laissés prendre. Finalement, nous avons adopté un compromis, celui de ne pas nous immiscer mutuellement dans les expériences et les études de chacun d’entre nous, bien que leur atti­tude nous paraisse immorale. Ils considèrent qu’il est permis de réaliser tous les types d’expé­rience sur des êtres étrangers à leur race et à leur planète. Cette morale les rend très dangereux pour vous et pour les autres, civilisations qu’ils visitent. ..Leur objectif actuel est de créer chez les hommes, des conditions psychiques anormales pour observer les réactions des sujets soumis à ces expérien­ces et pouvoir mieux connaître ainsi leur psychisme. Nous connaissons une telle technique mais nous ne l’appliquons que très rudimentairement… ».

Ils expliquent également que le groupe expéditionnaire de ces ET, s’est d’abord fixé en Asie et en Eu­rope. Il serait venu en Espagne, quelques années avant les Ummites, contactant un Japonais résidant à Madrid et Femando Sesma.(plus tard, ils ont expérimentés sur plusieurs autres espagnols, dont les noms sont donnés.) Dans une autre missive, ils précisent qu’ils ont installé des bases sous-marines sur Terre.

Ils utilisent des appareils de contrôle cérébral. Leur civilisation est inférieure. Ils agissent au mépris de l’intégrité biologique des hommes. Ils ont choisi un vaste échantillonnage de malheureux humains et les soumettent à des manipulations mentales en Chine, en Thaïlande, en Indonésie., au Japon, en Italie et en Grèce… (lettre à Barranechao le 14 04 2003). Dans une lettre à Sesma en  1966,  les Ummites donnent quelques précisions supplémentaires (certaines seront confirmées plus tard dans une lettre à Barrenechao. Ils sont arrivés en 1946 sur Terre. Nous les avons rencontrés en 1966. Leur planète est située à 96 A-L environ de la Terre et à 107 A-L d’UMMO.. Ils proviennent d’un système stellaire que nous ne connaissions pas. Ces êtres de petite taille disposent de technologies très rudi­mentaires, mais non conventionnelles, qui ont surpris  les frères qui surveillent habituellement votre planète. Ceux-ci n’ont pas eu le temps d’entrer en contact avec eux pour les dissuader d’agir. Vos gouvernements ont eu connaissance accidentellement de la présence de ces visiteurs, de leur tech­nologie avancée de votre point de vue. Cette situation non souhaitée par nous, a nécessité une rup­ture dans notre politique générale de non-ingérence qui était en vigueur envers votre planète. Nous avons été invités à vous contacter. Nous avons donc commencé par des investigations scientifiques biologiques et sociologiques de votre planète et des humains qui y habitent. C’est alors avec une grande émotion que nous avons constaté les extraordinaires similitudes physiologiques qui existent entre nos deux races. Ce sont des similitudes  que nous avions aussi constatées, bien qu’à un degré moindre avec d’autres civilisations de l’espace.*** Dans une autre lettre, les Ummites parlent une fois encore de ces «petits individus»: « .. .Ils ont un niveau technologique inférieur au nôtre, mais très supérieur au vôtre. Par contre dans le domaine psychologique, ils sont BEAUCOUP PLUS AVANCES QUE NOUS. Ils accordent une grande importance aux manifestations artistiques par voie acoustique (sons paroles) et par voie GUSTATIVE. (curieux! G.V.) Ils ont une philosophie très particu­lière. Ils sont monothéistes mais leur cadre moral n’est pas universel. Il n’est valable que pour eux, pour les habitants de leur planète.

 

*Le site « ummosciences.com « contient de très nombreuses lettres ummites en français.

** Le meilleur livre sur les Ummites est actuellement celui de Jean Pollion. (pseudonyme) titulaire d’un doctorat en physique et un en linguistique.

*** Dans une lettre à Pierre Martain du 14-04-2003, les Ummites disent : « Tout voyage d’exploration que nous désirons effectuer doit obtenir l’approbation de nos frères galactiques, nous sommes tenus moralement de faire mention officiellement de notre projet, auprès d’eux, avec les projets légitimes que nous estimons (cela peut-être refusé) Nous n’avons eu l’accord de nous immiscer au sein de vo­tre réseau social, que dans l’année 1948. Auparavant nous ignorions jusqu’à votre existence. Nous en comprenons aujourd’hui les raisons, car vous vous trouvez dans une phase critique de votre histoire, qu’il vous fallait surmonter seuls. ..Des infractions à cette interdiction avaient cependant été récem­ment commises par d’autres visiteurs..»

 

Commentaire (GV)

D’abord, il faut signaler que les Ummites parlent de deux autres civilisations qui nous visitent. Elles sont semblables à nous et peuvent évoluer sur Terre. Aucune  n’interviendrait et ne nous contacterait pas. L’une d’elles, arrivée en 1960, serait repartie en 1980. Les déclarations um­mites à propos des gris ne sont pas claires. Il semblerait qu’une civilisation Galactique nous surveillant les uns et les autres, aurait été surprise par les gris. Cela semble incroyable. Et si les Ummites ont été requis pour mettre de l’ordre, pourquoi ce traité de non-ingérence, entre eux et leur impunité ?

Il serait nécessaire, d’autre part, qu’ils vérifient d’un peu plus près leurs agissements, car beaucoup de ceux-ci semblent leur être inconnus ! Que savent-ils des expériences d’hybridations ? Comment les jugent-ils ?

Et le phénomène de clonage terrien, assorti d’introduction d’âmes, est-il réel? Dans ce cas, pourquoi devant cette intrusion jamais égalée, nos veilleurs Galactiques ne réagissent-t-ils pas ?

Par ailleurs, les déclarations de Dan Burish, que je pense véridiques, (car corroborées par d’autres  déclarations  sûres)  ne  font-elles  pas  réagir  ces   prétendus «gardiens galactiques» ?

Laissera-t-on faire ce génocide à l’échelle mondiale, à partir d’un virus d’une espèce extraterrestre, imposée par une Cabale Terrestre diabolique, et qui aurait trouvé le moyen d’être immunisée ? Je sais que beaucoup de nos maux actuels, sont en partie dus à notre indolence. Mais encore faut-il être au courant, sûr des faits, et surtout en état de nous défendre ?

Pourquoi les Ummites n’enquêtent-ils pas sur ces problèmes cruciaux de l’humanité, plutôt que de renseigner quelques scientifiques, avides de découvrir des technologies inutiles et dangereuses, dans l’état actuel de notre société ?

 

Cet article est tiré du livre de Geneviève Vanquelef :           «Les invités alien du gouvernement américain»

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

G.VANQUELEF ET A. RIBERA

 

Categoría: