Rotaeche Ummo Noumicon e Isabel Nido
- Descripción
Descripción
Rotaeche Ummo Noumicon e Isabel Nido
Site UMMO-SCIENCES – TRADUCTIONS – E36
E36 : NOUMICON ?
E36
JP / JC
Titre de la lettre:
NOUMICON ?
Date :
Destinataires :
Ce document «bizarre» est sensé avoir été délivré à Sesma par «Saliano» dans le début des années 1960 et lu à une réunion de la «balena alegre».
Notes :
La traduction semble avoir été difficile. Jean Pollion et Jacques Costagliola ont chacun fait une traduction, les deux sont retranscrites ci dessous, suivi du texte espagnol et précédé d’une appréciation de Manuel Rotaeche et des notes de chacun des traducteurs.
A propos de Saliano (J. Pollion)
E36
Note de Manuel Rotaeche.
Je vais dire ce que je pense, mais premièrement je dois dire que NOUMICON est un néologisme; ce mot n’existe pas en espagnol. Pour moi NOUMICON est en relation avec NOUMENOS ou NOUMEN. Je ne connais pas tres bien quelle est la valeur originale de ce mot dans la langue grecque, mais a été utilisé en Philosophie principalement par KANT. Pour KANT il y a «quelque chose» qui se cache à notre conscience pour autant que nous la percevons deformé ou mieux dite transformé (décodifié et ensuite recodifié) par l’ensemble de nos sens et notre pensée. Cette chose «telle qu’elle est» avant d’etre parvenue a notre conscience est le NOUMENOS (pour faire le paralélisme je dirai que c’est AIOODII).
Quelques recherches que j’ai faite sur GOOGLE. Un problème identifié de longue date. http://homepage.dtn.ntl.com/dmb/PValeau/Chapitre3.html Cette frustration, quant à l’impossibilité de confronter nos connaissances à «la chose en soi», est évoquée par des auteurs relativement anciens : – Platon, à travers le mythe de la caverne, tente de faire comprendre que ce que nous percevons ne constitue, en fait, que les ombres du monde. Nous croyons le saisir tel qu’il est parce que nous n’avons aucune idée de ce qu’il est vraiment. Celui qui sort de la caverne illustre le fantasme de pouvoir toucher le monde et d’accéder au «Noumen» (Kant) ; – Kant établit une distinction entre «Phénomène» et «Noumen», ce dernier restant, selon lui, inaccessible.
«Kant dio un paso más allá, negando también la objetividad de las cualidades primarias. La forma, la extensión y el movimiento son propiedades espacio-temporales, puestas a priori por el sujeto. En consecuencia, las cosas en sí mismas, a las que Kant llamó noumenos nos resultan totalmente desconocidas. Lo único que conocemos son los fenómenos. Sin embargo, no debemos confundir fenómeno y apariencia. Kant distingue claramente entre estos dos términos: los fenómenos son nuestra forma de percibir las cosas en sí (noumenos) a partir de los datos sensibles que estas nos envían. La apariencia jamás puede ser atribuída, en cuanto predicado, al objeto. Con Kant llegamos al límite del realismo. Límite que en Occidente pocos franquearían.»
Alors, je pense que SALIANO utilisse ce concept NOUMENOS: «la chose en soi. Inaccesible. Tel qu’elle est» En outre, en espagnol la termination «ICON» ou mieux «ION» a etté utilissé par example en cosmologie pour parler de le point initial de densité infinie, que selon la theorie du Big Bang est a l’origine de l’universe, «COSMION».
Mais SALIANO, même avec son langage paradoxal et symbolique semble pointer vers l’ampleur de provenances que constitue «la chose globale qui est à l’origine d’une pensée»
Ce pour ca que je comprend le NOUMICON, dans l’exemple fourni par SALIANO, comme l’ensemble de Galaxie NGC 5236, Juan, grenouille à Choibalsan (Mongolie), nombril de la grenouille (n’existe pas), nombril d’Isabel Nido (cette la dame dont j’avais parlé auparavant, qui avais caressé le papillon sur le dos de sa main au «Café Lion»), chaussettes à dentelles. Toute l’ensemble N’EXISTAIS PAS prélablement. Ce qu’il avais, n’était qu’n faisceaux froid de relations angulaires des facteurs inaccesibles à la conscience. Mais à un moment donné tous cesfaisceaux d’ondes se fusionent à l’ocasion où Isabel Nido, étant aidée par sa soeur à mettre ses chaussettes, pensa, même subconsciement, pourquoi les grenouilles n’ont pas de nombril? Et alors à ce moment le NOUMENOS, «la chose globale qui est a l’origine d’une pensée» n’était pas une chosse au sens Kantienne, mais un faisceau d’ondes de facteurs angulaires et les SALIANOS le nomment NOUMICON.
Ceci est mon interpretation. Mais, en suivant les conseils oummites je ne crois pas trop.
Note de Jacques Costagliola
Je pense, contrairement à Manuel Rotaeche, que noumicon est la contraction de noumen et d’unico. Chaque noumicon est un ensemble unique de faisceaux rassemblés fortuitement et l’ensemble des noumicons est le noumène cosmique ou cosmos. Le noumène, la chose en soi de Kant, le Réel de d’Espagnat, s’oppose au phénomène, ce que nous percevons du noumène, le Réel voilé de d’Espagnat. Avec le concept de noumicon qui est le cosmos pour un observateur ici et maintenant, Saliano semble dire qu’un noumicon est un cosmos, la partie égale le tout.
L’homme en prend pour son grade et sa vanité. Pour eux nous ne sommes ni des humains, ni des non humains, mais des entités en marche vers l’humanité (ou vers l’hominisation) qui pour eux progressera tant qu’elle pourra sans jamais, comme tout système, être achevée.
Mais je pense que ces deux lettres ( E35 et E36 ) plus ou moins obscures sont au centre des définitions oummites de l’existence et de la vérité des choses, bien que prétendument écrites par un saliano.
Note J.Pollion
Le texte n’est pas clair et surtout il manque parfois des morceaux de «mots» qui font cruellement défaut. Il y a malheureusement place à interprétation. Difficile de différencier les exigences de rigueur de respect du texte (termes et temps) et de construction convenable en français. C’est ce que j’ai essayé.
Pour moi, le mot CISNE est l’anagramme de C-alcetin IS-abel N-ido E-stanque, une forme «nom-synthèse» comme une autre dans ce contexte….
J’ai pour ma part une autre lecture du terme NOUMICON. Il me semble la contraction des racines grecques NOOUMENON et de COSMICON, l’expression de «noumène cosmique» étant employée par l’auteur.- d’une part UN noumicon n’est pas LE Cosmos (il n’y en a qu’un, voir la dernière phrase), mais un sous-ensemble construit sur des bases communes (atomes angulaires non formés…). Il y a donc une infinité de
Noumicon(s).- que ces documents (E35 et E36) fournissent assez d’éléments, joints aux contenus des lettres traitant de Saliano, pour évaluer Saliano comme le produit d’une civilisation différente de celle d’UMMO. voir les archives de la liste sur les mots-clés Noumicon ou Saliano. L’ensemble est assez cohérent pour qu’on n’aille pas chercher une manipulation par les Ummites. Pourquoi faire ? – que l’ensemble des documents confirme ainsi la théorie de Kant, exprimée dans la gnoséologie ummite : les «choses» ont une nature inaccessible à l’expérience et nous n’avons accès qu’à la perception déformée par nos sens. Toute théorie sur la «nature» des choses est ainsi contrainte à la remise en cause préalable de la validité de nos perceptions, et à des hypothèses comme «tout se passe comme si…» qui conduisent à des modèles incluant une infinité d’univers, des univers «antagonistes». Contrainte à accepter que la certitude n’est plus de mise, mais que la décision doit être faite sur la très forte probabilité et la conscience de la fragilité des théories elles-mêmes.
On peut noter au passage que la notion d’ «atomes angulaires, recelant le potentiel de toute mise en forme» (quasi IBOZOO UU) est un fondement théorique de l’Univers partagé par la civilisation qui manipule Saliano. A comparer aux affirmations de la NR15 et d’un ancien texte sur la même lecture du cosmos par 90 % des «visiteurs connus» de la Terre…
Traduction de Jacques Costagliola
A lire après 22 h. C’est ma leçon d’aujourd’hui
ÉCOUTEZ AVEC ONCTION ( Que personne ne touche à ce papier )
NOUMICON ?
Qu’est-ce que la Pensée ?
Oh ! fils de la Baleine : vous ne pourrez comprendre l’essence même de cette fonction mentale sans la rattacher au Cosmos entier, puisque seule une pensée supralogique est capable de comprendre ce tout et cette unité greffée en lui.
Vous autres hommes, vous atomisez les concepts et vous voulez comprendre le tout ou le conjoint, en analysant les parties séparées, désintégrant ainsi la vérité absolue. De cette façon vous n’y accéderez jamais puisque l’étude de l’Univers est seulement possible en l’embrassant dans ses dix dimensions réelles et en le confrontant simultanément avec ses dimensions nouméniques infinies ou potentielles qui se reflètent, seulement, comme la Lune dans un étang, dans les infinis cosmos qui coexistent avec celui sur lequel vous êtes embarqués.
Par conséquent, il n’est pas possible, avec votre logique bidimensionnelle, d’accéder à la vérité absolue.
C’est seulement au moyen de symboles qui, à des esprits étroits et ignares, sembleraient arbitraires, ridicules et absurdes, que vous pourrez élever un escabeau pour approcher de loin cette réalité.
Mais, est-il possible de capter une pâle image de l’essence du processus Cosmique, induite à l’aide de MOTS – NON DE SYMBOLES – accessibles aux cochons qui limitent la communication humaine à la transmission de simples mots dans leur pauvre langue maternopaternelle ?
Oui, c’est possible, mais son énoncé est et sera aussi pâle qu’une damoiselle qui s’évanouit dans les brumes épaisses d’une nuit sans étoiles.
Je vais vous révéler une image au contenu plus exact que celle exprimée par vos hommes cosmologues, vos
physiciens, vos psychologues, vos sociologues et vos éminents mathématiciens.
Écoutez :
(Il est précisé de garder un silence respectueux en fermant seulement les yeux durant sa lecture, vous pourrez alors intégrer dans le subconscient cette grande Révélation). Le Cosmos n’est pas une entité spatiotemporelle statique ou dynamique comme le conçoivent les philosophes terrestres.
Le Cosmos est UN PROCESSUS qui se réalise lui-même : je vous éclaire avec une analogie.
Ce n’est pas la même chose une lampe à huile que la chaîne d’événements exprimés par un serf qui descend avec elle à la main dans une cave à la recherche d’un tonneau de vin généreux.
A une chauve-souris qui repose suspendue à une poutre, éveillée en sursaut, ses pauvres yeux à moitié aveuglés font seulement prendre conscience de l’éclat lumineux et fugace de la lampe.
Pour elle, le TOUT est cet impact de lumière et, au plus, si elle possède un cerveau, elle devinera que, derrière la lueur, il peut exister une torche imprégnée d’huile.
Mais jamais ne lui sera accessible le processus d’un esclave descendant dans une grotte à la recherche de boissons.
Mais quel est le processus du cosmos ? (Direz-vous)
La question est mal formulée, et c’est précisément ce qui pervertit votre vérité fallacieuse.
Il n’existe pas de cosmos qui développe un processus comme un marteau développant le processus de planter un pieu.
Le Cosmos est ce processus lui-même. C’est un pieu qui se plante sans marteau. Ce sont vos esprits qui fabulent à postuler l’existence de cet hypothétique et fantasmagorique marteau.
Ainsi vous imaginez un Cosmos plein de galaxies – (le marteau) orienté vers une fin déterminée mais inconnue – (le processus), ce qui prostitue le vrai sens de la vérité, en confondant péniblement l’objet et sa propre dynamique.
Mais qu’est-ce que ce PROCESSUS = COSMOS ? Je vous le définirai ainsi :
Le Cosmos est : (UN PROCESSUS) = une recherche par elles-mêmes d’entités qui NE SONT PAS mais qui, en s’identifiant à d’autres entités également inexistantes, acquièrent une signification symbolique qui accède aux plans stratifiés inférieurs de la conscience de quelques êtres vivants qui existent aussi par identification fortuite à des entités antagonistes.
Observez, ô cochons de frères de Manzano, qu’une telle définition paraît un étrange charabia de non sens énoncé par un déficient mental.
Ceci est la conséquence de vouloir forcer l’énoncé de la vérité en utilisant un lexique étrange non symbolique. Mais nous illustrerons la définition par des analogies et des exemples éclairants.
Vous tous possédez un concept formé sur la nature d’une galaxie à répartition statistique d’étoiles pouvant être classées séquentiellement selon une gamme qui s’étend des naines rouges très denses et à température superficielle basse aux naines blanches de densité basse et de température élevée, en passant par les géantes rouges, et tout cela mélangé à des nébuleuses de gaz et de poussières cosmiques, formant une spirale de bras diffus qui se déplacent dans un immense milieu appelé champ gravito-électrostatico-magnétique. Et à ce tout
considéré comme une entité géométrique, résultant d’une conception mathématique de l’espace, vous octroyez l’épithète d’Univers ou de Cosmos.
Cela ne change rien quand vous substituez au modèle mathématique spatial un autre modèle physique de Champ et de répartition statistique dans ce cadre. Écoutez maintenant cet axiome qui va vous stupéfier, vous remplir de perplexité et, chez certains esprits cartésiens, déclencher un processus de protestation indignée.
LE VENTRE D’UNE GRENOUILLE A UN NOMBRIL QUI PEUT ÊTRE COUVERT PAR UNE CHAUSSETTE À DENTELLES SI ISABEL NIDO LE DÉSIRE.
Cet axiome est-il une simple plaisanterie de bon ou de mauvais goût ? A-t-il quelque chose à voir avec la discussion que nous développons ?
Identifions une galaxie, pas une quelconque, mais une que je sais avoir été identifiée dans la série connue des astronomes terrestres. La NGC 5236 (Messier 83) que vous pouvez identifier par une ascension droite de 13 heures 34’3 minutes et une déclinaison de –29 grades 37 minutes, avec une magnitude apparente de 8’06. Elle se présente à vous avec son plan galactique orienté par rapport à la direction de la Terre sous un angle minimal de 73° 12’ 16’’, de sorte qu’il est possible d’observer son noyau et ses bras spiraux immergés dans une immense nébuleuse de poussières.
Transportons nous maintenant dans une ville de Mongolie appelée Choibalsan. Près de la gare existe aujourd’hui une mare desséchée qui en l’an 1938 contenait de l’eau boueuse.
Le 7 octobre 1938 à 17 heures 20 minutes (heure locale de Moscou), un oeuf de grenouille s’est rompu et est né un têtard que nous identifierons par le chiffre en code binaire 100101110011 (NDT 2419 en décimal).
Voyons un autre troisième événement : Isabel Nido est une femme connue de vous. Étant très petite, sa soeur l’aide un matin à enfiler une chaussette à dentelles. A cet instant, elle était en train de penser à une hirondelle qu’elle a vu se poser sur le balcon d’une maison voisine. Mais, si c’était sa pensée consciente, son subconscient développait un autre processus mental plus complexe. Il cherchait à répondre à la question pourquoi le ventre des grenouilles n’a-t-il pas de nombril comme celui des gens ?
Il faut encore signaler un ultime événement. Isabel del Nido a un ancêtre appelé Juan. Il se trouve qu’une nuit de mars (17 mars), par hasard, son cerveau reçut une dose élevée de rayons cosmiques issus de NGC 5236 qui provoqua une mutation dans un des gènes conditionnant ce que fut le cordon ombilical d’Isabel Nido
Quelle relation existe-t-il entre ces différents faits ?
Écoutez attentivement :
Avant que tous soient il n’y avait rien, mais les NON-CONCEPTS suivants existaient:
La NON-GALAXIE NGC 5236 était ; mais elle n’avait jamais été vue par un hypothétique terrestre existant.
La NON-GRENOUILLE : elle était.
La NON-CHAUSSETTE à dentelles : elle était.
L’image fictive, purement mentale, NOMBRIL sur le VENTRE d’une GRENOUILLE inidentifiée : ELLE ÉTAIT.
La NON-ISABEL NIDO était.
LE NON-ANCÊTRE DON JUAN était.
De telles entités NON EXISTANTES – OUI existantes (observez la contradiction apparente par utilisation d’une logique bipolaire) se rencontrèrent à un carrefour hors de l’espace et du temps (Observez que les épisodes rapportés correspondent à des cotes diverses sur une échelle des temps) et se confondirent entre elles.
Des entités aussi étonnamment différentes entre elles que GALAXIE – NOMBRIL – GRENOUILLE – ISABEL NIDO – DON JUAN – ÉTANG – CHAUSSETTE – EN DENTELLES.
Formèrent un noyau unique que nous appelons NOUMICON (C’est-à-dire : le NOUMÈNE COSMIQUE est aussi le NOUMÈNE [la partie est aussi le Tout] (NDT : la première parenthèse n’est pas fermée) s’associant dans un tout indifférencié. A cet instant (Nous ne nous référons pas à instant = intervalle temporel
GALAXIE – NOMBRIL – CHAUSSETTE – ISABEL, etc, n’existent pas mais seulement un NOUMICON.
Mais au moment de se confondre : la NON-GALAXIE se convertit en GALAXIE et la NON-GRENOUILLE en GRENOUILLE ou dit autrement. De telles entités pourraient être susceptibles d’être des composants différenciés de nature angulaire qui en chaîne deviennent un Cosmos (les atomes angulaires qui avant leur intégration en un NOUMENE n’étaient pas perceptibles et le sont aujourd’hui)
Mais chaque grand faisceau d’ondes (galaxie, chaussette, GRENOUILLE, relation NOMBRIL – GRENOUILLE) était synchronisé avec les autres faisceaux dans le même NOUMICON.
Ainsi Isabel Nido, en tant qu’entité spatio-temporelle, était synchronisée avec cette galaxie Messier 83 et quand elle mourra, elle continuera d’être synchronisée à elle par ses atomes composants, et à la fois à la Grenouille 100101110011 qui, bien sûr, non vivante continue d’être liée à elle, et cette pensée du nombril matérialisé en ondes cérébrales était synchronisée avec la galaxie, avec Isabel et avec la chaussette aujourd’hui bien disparue (comme information curieuse disons qu’un atome d’azote de cette chaussette se trouve aujourd’hui dans l’intestin grêle du célèbre peintre Picasso).
Tout ce NOUMICON ou faisceau synchrone d’ondes peut être symbolisé par ce signe
= C I S N E
et le signe ou symbole contient en soi les propriétés des entités intégrantes.
Une condition unique existe pour que les NON ENTITÉS distinctes s‘intègrent en un NOUMICON
Qu’elles soient antagonistes
Maintenant vous comprendrez mieux la définition du COSMOS (LISEZ DE NOUVEAU) auquel nous ajoutons deux corollaires ;
LE COSMOS est la SOMME des NOUMICONS
Un seul NOUMICON est le COSMOS à l’exclusion de tout le reste.
Traduction Jean Pollion
A lire après 22 h. C’est ma leçon d’aujourd’hui
ÉCOUTEZ AVEC ONCTION ( Que personne ne touche à ce papier )
NOUMICON ?
Qu’est-ce que la Pensée ?
Oh ! fils de la Baleine : vous ne pourrez comprendre l’essence même de la fonction mentale sans l’insérer dans le Cosmos entier, puisque seule une pensée supralogique est capable de comprendre ce tout et cette unité greffée en lui.
Vous autres hommes, vous atomisez les concepts et en voulant comprendre le tout ou l’ensemble, vous analysez les parties séparément en désintégrant la vérité absolue. De cette façon vous n’accéderez jamais à celle-ci puisque l’étude de l’Univers est seulement possible en l’embrassant dans ses dix dimensions réelles et en le confrontant simultanément avec ses infinies dimensions nouméniques ou potentielles qui se reflètent, seulement, comme la Lune dans un étang, dans les infinis cosmos qui coexistent avec celui qui vous encadre.
Par conséquent, il n’est pas possible, avec votre logique bidimensionnelle, d’accéder à la vérité absolue.
C’est seulement au moyen de symboles qui, à des esprits étroits et ignares, sembleraient arbitraires, ridicules et absurdes, que vous pourrez élever un escabeau pour approcher de loin cette réalité.
Mais, est-il possible de capter une pâle image de l’essence cosmique du processus, induite à l’aide de MOTS – NON DE SYMBOLES – à la portée des cochons qui résument la communication humaine à la transmission de simples mots dans leur pauvre langue maternopaternelle ?
Oui, c’est possible, mais son énoncé est et sera aussi pâle qu’une damoiselle qui s’évanouit dans les brumes épaisses d’une nuit sans étoiles.
Je vais vous révéler cette image plus pure en contenu que celle exprimée par vos hommes cosmologues, vos physiciens, vos psychologues, vos sociologues et vos éminents mathématiciens.
Écoutez :
(Il est nécessaire de garder un silence respectueux en fermant seulement les yeux durant sa lecture, vous pourrez alors intégrer dans le subconscient cette grande Révélation). Le Cosmos n’est pas une entité spatiotemporelle statique ou dynamique comme le conçoivent les philosophes terrestres.
Le Cosmos est UN PROCESSUS qui se réalise sur lui-même : je vais vous l’expliquer avec une analogie.
Une lampe à huile n’est pas la même chose que la chaîne d’événements exprimée par un serf qui descend avec elle à la main dans une cave à la recherche d’un tonneau de vin généreux.
Une chauve-souris qui repose suspendue à une poutre, équarquillera dans un sursaut ses pauvres yeux à moitié aveuglés qui prendront seulement conscience de l’éclair lumineux et fugace de la lampe.
Pour elle, le TOUT est cet impact de lumière et, au plus, si elle possède un cerveau, elle devinera que, derrière la flamme, il peut exister une torche imprégnée d’huile.
Mais jamais ne lui sera accessible le processus d’un esclave descendant dans une cave à la recherche de boissons.
Mais quel est le processus du cosmos ? (Direz-vous)
La question est mal formulée, et c’est précisément ce qui pervertit votre vérité fallacieuse.
Il n’existe pas de cosmos qui développe un processus comme un marteau développant le processus de ficher une cheville.
Le Cosmos est ce processus lui-même. C’est un ficher la cheville sans marteau. Ce sont vos esprits qui fabulent à postuler l’existence de cet hypothétique et fantasmagorique marteau.
Ainsi lorsque vous imaginez un Cosmos composé de galaxies —(le marteau) orienté vers une fin déterminée mais inconnue – (le processus), vous prostituez la signification authentique de la vérité, en confondant de manière affligeante l’objet [au sens de but, ndP] de sa propre dynamique.
Mais quel est ce PROCESSUS = COSMOS ? Je vous le définirai ainsi :
Le Cosmos est : (UN PROCESSUS) = une recherche par elles-mêmes d’entités qui NE SONT PAS mais qui, en s’identifiant à d’autres entités également inexistantes, acquièrent une signification symbolique qui accède aux plans stratifiés inférieurs de la conscience de quelques êtres vivants qui existent aussi par identification fortuite à des entités antagonistes.
Observez, ô cochons de frères de Manzano, qu’une telle définition paraît un étrange charabia de non sens énoncé par un déficient mental.
Ceci est la conséquence de vouloir forcer l’énoncé de la vérité en utilisant un lexique étrange non symbolique. Mais nous illustrerons la définition par des analogies et des exemples éclairants.
Vous tous possédez un concept façonné sur la nature d’une galaxie, comme [étant, ndT] une distribution statistique d’étoiles pouvant être classées séquentiellement selon une gamme qui s’étend des naines très denses et à température superficielle basse aux naines blanches de densité basse et de température élevée, en passant par les géantes rouges, et tout cela mélangé à des accumulations de gaz et de poussières cosmiques, formant une spirale de bras diffus qui se déplacent dans un immense milieu appelé champ gravito-électrostatico-magnétique. Et à ce tout considéré comme une entité géométrique, en vue d’une conception mathématique de l’espace, vous octroyez l’épithète d’Univers ou de Cosmos.
Cela ne change rien quand vous substituez au modèle mathématique spatial un autre modèle physique de Champ et de répartition statistique dans ce cadre. Écoutez maintenant cet axiome qui va vous stupéfier, vous remplir de perplexité et, chez certains esprits cartésiens, déclencher un processus de protestation indignée.
LE VENTRE D’UNE GRENOUILLE A UN NOMBRIL QUI PEUT ÊTRE COUVERT PAR UNE CHAUSSETTE À DENTELLES SI ISABEL NIDO LE DÉSIRE.
Cet axiome est-il une simple plaisanterie de bon ou de mauvais goût ? A-t-il quelque chose à voir avec la discussion que nous développons ?
Identifions une galaxie, pas une quelconque, mais une que je sais avoir été identifiée dans la série connue des astronomes terrestres. La NGC 5236 (Messier 83) que vous pouvez identifier par une ascension droite de 13 heures 34’3 minutes et une déclinaison de –29 grades 37 minutes, avec une magnitude apparente de 8’06. Elle se présente à vous avec son plan galactique orienté par rapport à la direction de la Terre sous un angle minimal de 73° 12’ 16’’, de sorte qu’il est possible d’observer son noyau et ses bras spiraux immergés dans une immense nébuleuse de poussières.
Transportons nous maintenant dans une ville de Mongolie appelée Choibalsan. Près de la gare existe aujourd’hui une mare desséchée qui en l’an 1938 contenait de l’eau quasi boueuse.
Le 7 octobre 1938 à 17 heures 20 minutes (heure locale de Moscou), un oeuf de grenouille s’est rompu et est né
un têtard que nous identifierons par le chiffre en code binaire 100101110011 . [NdT: Ce nombre ne correspond à aucun des nombres indiqués dans le courrier à Donis (D89) pour entrer en contact avec d’autres ET]
Voyons maintenant un autre troisième événement : Isabel Nido est une femme connue de vous. Quand elle était très petite, sa soeur l’aida un matin à enfiler une chaussette à dentelles. A cet instant, elle était en train de penser à une hirondelle qu’elle a vu se poser sur le balcon d’une maison voisine. Mais, si c’était sa pensée consciente, son subconscient développait un autre processus mental plus complexe. Il cherchait à répondre à la question pourquoi le ventre des grenouilles n’a-t-il pas de nombril comme celui des gens ?
Il faut encore signaler un ultime événement. Isabel del Nido a un ancêtre appelé Juan. Il se trouve qu’une nuit de mars (17 mars), par hasard, son cerveau reçut une dose élevée de rayons cosmiques issus de NGC 5236 qui provoqua une mutation dans un des gènes conditionnant ce que fut le cordon ombilical d’Isabel Nido
Quelle relation existe-t-il entre ces différents faits ?
Écoutez attentivement :
Avant que tous soient il n’y avait rien, mais les NON-CONCEPTS suivants existaient:
La NON-GALAXIE NGC 5236 était ; mais elle n’avait jamais été vue par un hypothétique terrestre existant.
La NON-GRENOUILLE : elle était.
La NON-CHAUSSETTE à dentelles : elle ETAIT.
L’image illusoire, purement mentale.
NOMBRIL sur le VENTRE d’une GRENOUILLE non-identifiée : ELLE ÉTAIT.
La NON-ISABEL NIDO était.
LE NON-ANCÊTRE DON JUAN était.
De telles entités NON EXISTANTES – OUI existantes (observez la contradiction apparente par utilisation d’une logique bipolaire) se rencontrèrent à un carrefour hors de l’espace et du temps (Observez que les épisodes rapportés correspondent à des cotes diverses sur une échelle des temps) et se fondirent entre eux.
Des entités aussi étrangement différentes entre elles que GALAXIE – NOMBRIL – GRENOUILLE – ISABEL NIDO – DON ! JUAN – ÉTANG – CHAUSSETTE – EN DENTELLES.
Formèrent un noyau unique que nous appelons NOUMICON (C’est-à-dire : le NOUMÈNE COSMIQUE est aussi le NOUMÈNE [la partie est aussi le Tout] s’associant dans un tout indifférencié. A cet instant (Nous ne nous référons pas à instant = intervalle temporel
GALAXIE – NOMBRIL – CHAUSSETTE – ISABEL, etc, n’existent pas mais seulement un NOUMICON.
Mais au moment de se fondre : la NON-GALAXIE se convertit en GALAXIE et la NON-GRENOUILLE en GRENOUILLE ou dit autrement. De telles entités pourraient être susceptibles d’être des composants différenciés de nature angulaire qui en chaîne deviennent un Cosmos (les atomes angulaires qui avant leur intégration en un NOUMENE n’étaient pas perceptibles et le sont aujourd’hui)
Mais chaque grand faisceau d’ondes (galaxie, chaussette, GRENOUILLE, relation NOMBRIL – GRENOUILLE) est en état de synchronisation avec les autres faisceaux dans le même NOUMICON.
Ainsi Isabel Nido, en tant qu’entité spatio-temporelle, est en état de synchronisation avec cette galaxie Messier 83 et quand elle mourra, elle continuera d’être synchronisée à elle dans ses propres composants, et à la fois à la Grenouille 100101110011 qui, bien sûr, non vivante continue d’être liée à elle, et cette pensée du nombril matérialisé en ondes cérébrales est en état de synchronisation avec la galaxie, avec Isabel et avec la chaussette aujourd’hui bien disparue (comme information curieuse disons qu’un atome d’azote de cette chaussette se trouve aujourd’hui dans l’intestin grêle du célèbre peintre Picasso).
Tout ce NOUMICON ou ensemble synchrone d’ondes peut être symbolisé par ce signe
= C I S N E
et le signe ou symbole contient en soi les propriétés des entités intégrantes.
Une condition unique existe pour que les NON ENTITÉS distinctes s‘intègrent en un NOUMICON
Qu’elles soient antagonistes
Maintenant vous comprendrez mieux la définition du COSMOS (LISEZ DE NOUVEAU) auquel nous ajoutons deux corollaires ;
LE COSMOS est la SOMME des NOUMICONS
Un seul NOUMICON est le COSMOS à l’exclusion des autres.
Le texte en espagnol
Léase después de las 22 horas) – ESTA ES MI LECCIÓN DE HOY —
ESCÚCHALA CON UNCIÓN (Que nadie toque este papel)
¿ NOUMICON ?
¿Qué es el Pensamiento?
! Oh, hijos de la Ballena: no podréis comprender la esencia misma de esta función mental sin encajarla en el todo del Cosmos, pues solo una mente supralógica es capaz de captar ese todo y esa unidad en él injertada.
Vosotros hombres – atomizáis los conceptos y al querer comprender el todo o el conjunto analizáis las partes por separado desintegrando así la verdad absoluta. De ese modo jamás accederéis a ella, pues el estudio del Universo es solo posible abarcándolo en sus diez dimensiones reales y confrontándolo simultáneamente con sus infinitas dimensiones nouménicas o posibles que solo se reflejan como la luna en un estanque en los (» -1) cosmos que coexisten con aquel en el que estáis enmarcados.
No es posible por tanto con vuestra lógica bidimensional integrar la verdad absoluta.
Solo a través de símbolos que a mentes estrechas e ignaras parecerán arbitrarias, ridículos y absurdos podréis elevaros un escalón en el acceso lejano a esta realidad.
Pero, ¿es posible captar una imagen pálida de la esencia del proceso Cósmica, inducida con el auxilio de PALABRAS – NO SIMBOLOS – asequibles a los cerdos que solo cifran la comunicación humana en la transmisión de simples vocablos en su lengua pobre materno-paterna?
Sí; es posible, mas su enunciación es y será tan pálida como una doncella que se desvanece en las espesas brumas de una noche sin estrellas.
Yo os voy a revelar esta imagen, más pura en contenido que la expresada por vuestros hombres cosmólogos, vuestros físicos, vuestros psicólogos y vuestros sociólogos y matemáticos insignes.
Escuchad:
(Es preciso guardar un respetuoso silencio solo cerrando los ojos durante su lectura podréis integrar en el subconsciente esta gran Revelación) El Cosmos no es una entidad espacio temporal estática o dinámica según la conciben los filósofos terrestres.
El Cosmos es: UN PROCESO que se realiza sobre sí mismo: Os lo aclararé con un símil.
No es lo mismo una lámpara de aceite que la cadena de sucesos expresados por un siervo que desciende con ella en la mano a una bodega en busca de un tonel de vino generoso.
Un murciélago que repose suspendido en una viga despertará sobresaltado sus pobres ojos medio ciegos solo tendrán conciencia del destello luminoso y fugaz de la lámpara.
Para él: el TODO es ese impacto de luz, y en todo caso si poseyese un cerebro adivinaría que tras la llama puede existir una torcida impregnada de óleo.
Pero jamás le será accesible el proceso de un esclavo bajando a una cueva en busca de bebida.
¿Cual es el proceso del Cosmos?, – (Diréis)
La pregunta está mal formulada y es precisamente la que pervierte vuestra falsa verdad.
No es que exista un cosmos que desarrolle un proceso, como un martillo desarrollaría el proceso de clavar una estaca.
El Cosmos es ese mismo proceso. Es un clavar la estaca sin martillo. Son vuestras mentes las que fabulan al postular la existencia de ese hipotético y fantasmagórico martillo.
Así al imaginaros un Cosmos integrado por galaxias —— (Martillo) que se oriente hacía un fin determinado, pero desconocido – (proceso) que prostituís al genuino significado de la verdad confundiendo penosamente el objeto de su propia dinámica.
Mas, ¿Que es este PROCESO = COSMOS? Os lo definiré así:
Cosmos es: (UN PROCESO) = Un buscarse a sí mismo de entidades que NO SON pero que al identificarse con otras entidades no existentes tampoco adquieren un significado simbólico, que accede bajo planos estratificados a la Conciencia de unos seres vivos que también existen por identificación casual de entidades antagónicas.
Observen oh hermanos cerdos de Manzano que tal definición parece un extraño trabalenguas sin sentido
enunciado por una mente aberrada.
Ello es consecuencia de querer forzar el enunciado de la verdad utilizando un léxico extraño, no simbólico. Mas ilustraremos la definición con símiles y ejemplos ilustrativos.
Todos ustedes poseen un concepto formado sobre la naturaleza de una Galaxia, como distribución estadística de unas estrellas que pueden clasificarse secuencialmente en una gama que se extiende desde las enanas rojas muy densas y con baja temperatura superficial, hasta las enanas blancas de baja densidad y elevada temperatura, pasando por las gigantes rojas y todo ello mezclado con cúmulos de gas y polvo cósmico figurando una espiral de brazos difusos que se desplazan en un inmenso medio llamado campo gravitatorio-electrostático-magnético. Y al todo considerado como una entidad geométrica a efectos de concepción matemático espacial le otorgan el calificativo de Universo o Cosmos.
No importa que ustedes sustituyan el modelo matemático espacial por otro modelo físico de Campo y distribución estadística dentro de este marco. Escuchen ahora este axioma que les va a llenar de asombro, de perplejidad y a ciertas mentes cartesianas hará desatar un proceso de viva protesta.
LA BARRIGA DE UNA RANA TIENE UN OMBLIGO QUE PUEDE TAPARSE CON UN CALCETÍN DE ENCAJE SI LO DESEA ISABEL NIDO.
Este axioma ¿Es una simple broma de peor o mejor gusto? ¿Tiene algo que ver con la disquisición que desarrollábamos?
Identifiquemos una galaxia: No es una cualquiera sino la que yo sé que está identificada entre la serie conocida por los astrónomos terrestres. La NGC 5236 (Messier 83) Pueden ustedes identificarla con una ascensión recta de 13 horas 34’3 minutos y una declinación de -29 grados 37 minutos con magnitud aparente de 8’06. Se presenta a ustedes con su plano galáctico orientado respecto a una visual desde la Tierra, con un ángulo mínimo de 73º 12’ 16″ de modo que es posible observar su núcleo y sus brazos espirales sumergidos en una inmensa nube de polvo.
Trasladémonos ahora a una ciudad de Mongolia llamada Choibalsan. Cerca de la estación de ferrocarril existe hoy una charca ya seca que en el año 1938 contenía agua casi empantanada.
El 7 de Octubre de 1938 a las 17 horas 20 minutos (hora local de Moscú) se rompió un huevecillo de rana y nació un renacuajo que identificaremos con la cifra en código binario 100101110011.
Veamos ahora otro tercer suceso: Isabel Nido es una señora conocida por ustedes. Siendo muy niña, su hermana le ayudó una mañana a ponerse un calcetín con encaje. Ella en ese instante estaba pensando en una golondrina que había visto posarse en el balcón de una casa cercana. Mas si ese era su pensamiento consciente, su subconsciente desarrollaba otro proceso mental más complejo. Trataba de preguntarse el por qué la barriga de las ranas no tienen ombligo como la de las personas.
Falta indicar un último suceso. Isabel del Nido tiene un antepasado llamado Juan. Este: en ocasión de hallarse paseando una noche de Marzo (17 de Marzo) recibió en su cerebro una dosis elevada de radiación cósmica procedente de NGC 5236 que provocó una mutación en uno de los genes condicionantes de que fue cordón umbilical de Isabel Nido.
¿Qué relación existe entre estos tan dispares hechos?
Escuchad con atención:
Antes de que Todos fueran No era nada, pero existían los NO – CONCEPTOS siguientes:
La NO-GALAXIA NGC 5236: era; pero jamás hubiera un hipotético terrestre existente haberla captado.
LA NO-RANA: Era
El NO-CALCETIN de encaje: ERA.
La imagen ilusoria puramente mental. OMBLIGO en BARRIGA de RANA no identificada: ERA.
la NO-ISABEL NIDO era.
El NO-ANTEPASADO DON JUAN era.
Tales entidades NO EXISTENTES- SI existentes (Observen la aparente contradicción por utilizar lógica bipolar)
Se encontraron en una encrucijada fuera del espacio y del tiempo (Observen que los episodios relatados corresponden a diversas cotas en una escala de tiempos) y se fundieron entre sí.
Entidades tan extrañamente diferentes entre cómo GALAXIA – OMBLIGO – RANA -ISABEL NIDO – DON JUAN – ESTANQUE – CALCETÍN – de ENCAJE
Formaron un núcleo único que llamamos nosotros NOUMlCON (Es decir: NOUMENOS CÓSMICO es a la vez el NOUMENOS (La parte es a la vez el Todo)
Asociándose en un todo indiferenciado. En ese instante (No nos referimos
a instantes = intervalo Temporal)
No existía GALAXIA – OMBLIGO – CALCETÍN – ISABEL etc. sino tan solo un NOUMICON.
Pero al fundirse: La NO – GALAXIA se convirtió en GALAXIA y la NO RANA fué RANA o dicho de otro modo. Tales entidades pudieron ser susceptibles de ser componentes diferenciados de naturaleza angular que concatenados se forman en Cosmos (átomos angulares que antes de la integración en un NOUMEN no eran accesibles y hoy lo son)
Mas cada gran haz de ondas (Galaxia, Calcetín, RANA, relación OMBLIGO – RANA) está sincronizado con los otros haces dentro del mismo NOUMICON.
Así, Isabel Nido como entidad espacio-temporal está sincronizada con esa Galaxia Messier 83 y cuando muera seguirá sincronizada a ella en sus átomos componentes, y a la vez la Rana 100101110011 que ya no vive sigue ligada a ella, y aquel pensamiento del ombligo materializado en ondas cerebrales está sincronizado con la galaxia, con Isabel y con el calcetín hoy ya desaparecido (como información curiosa les diré que un átomo de Nitrógeno de aquel calcetín se encuentra hoy en el intestino delgado del conocido pintor Picaso).
Todo este NOUMlCON o conjunto síncrono de ondas puede simbolizarse con este signo
= C I S N E
y el signo o símbolo en sí posee las propiedades de las entidades integrantes.
Una única condición existe para que distintas NO – ENTIDADES se integren en un NOUMICON
Que sean antagónicas.
Ahora comprenderán mejor la definición de COSMOS (LÉASE DE NUEVO) a la que adicionaremos dos corolarios.
COSMOS es la SUMA de NOUMlCONES
Un solo NOUMICON es el COSMOS con exclusión de los demás.
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