Traducción francés escritos de UMMO por Godelieve Van Overmeire
- Descripción
Descripción
Traducción francés escritos de UMMO por Godelieve Van Overmeire
Godelieve Van Overmeire
NOTAS Y COMENTARIOS SOBRE
SU TRADUCCIÓN AL FRANCES
EN 1999 DE LOS
« ESCRITOS DE UMMO »
( 3 VOLÚMENES ) , EDITADOS
POR EL DR. AGUIRRE.
( DOCUMENTO Nº 4.531 EN EL
« UMMOCAT » ).
CFR AGUIRRE : chaque lettre a reçu un numéro chez nous, cela va du n° 1 au n° … , les numéros des pages Aguirre par tome sont respectés.
Dans les commentaires :
En rouge : ce que dit le texte UMMO
En grasse : ce que traduit le GESTO de Jean Pierre Petit
En bleu : mes commentaires spéciaux !
—————————————————————-
Le document A 3, pages 32 à 36
il correspond dans le catalogue au D. 138 quant à la date, 12.11.1967, le destinataire Alicia Arauja, le nombre de pages : 4 et le contenu: vicissitudes du dactylographe….
document A 4
D’après le catalogue Darnaude, il s’agit du D. 99, C’est le groupe ERIDANI qui a reçu ce document..
page 41: leur tache est «jaune» – un zizi jaune canari? ou le gras de l’estomac? Ils ne le disent pas.
Etonnement: j’ai relu 5 fois le dernier paragraphe de cette page: l’atrophie des cordes vocales n’est pas générale, que du contraire, mais ils n’ont pas d’organes pour chanter par exemple comme la Castafiora….
LE DOCUMENT A 8 :
Le document A 8 est en fait le D.21 (sauf les deux dernières pages qui sont une lettre et un truc avec un code binaire 000 1 111 etc… (lettre à Donis, affaire Atienza)
Le A 8 : Sesma et Garrido l’ont reçu en mai 1966, Campo apparemment en 1967 (c’est aussi ce qu’affirme Darnaude).
Ex. d’ anomalies ,
page 64:
– bizarrerie: le texte espagnol parle, à la fin du second paragraphe de : Daniel Fi ou la norvégienne Edit Jacob. Le GESTO, lui à tout de suite converti en Daniel Fry (ça ne se prononce pas «Fri») et Edith Jacobsen.
page 67
– DECLINAISON : document A 8 : 9° heures 18′ minutes 14″ secondes ; dans la traduction Gesto cela devient : +9 18′ 7″»
-(sous le titre «type spectral») le document A 8 dit : les erreurs commises par vous en ce qui concerne la mesure des distances, sont dans de nombreux cas et selon les divers catalogues d’étoiles confectionnés par vous supérieures à 15% ); le Gesto traduit par : les erreurs commises par vous en ce qui concerne la mesure des distances, sont dans de nombreux cas supérieures à 15% et on observe en plus des divergences dans les mesures enregistrées dans les différents catalogues d’étoiles terrestres. (hihi !t’as déjà vu des étoiles terrestres? Tu veux que je t’en montre une???)
page 69
– bourde: première unité citée dans A 8 : $$ se prononce WAALI et elle équivaut à 12 puissance 4,3 années-lumière. traduction Gesto : se prononce WAALI et elle équivaut à 124,3 années-lumière.
-seconde unité: document a 8 : UNITE DE LONGUEUR DE UMMO, traduction Gesto : UNITE UNIVERSELLE DE LONGUEUR
– Ensuite le A 8 dit : Pour un pourcentage élevé d’habitants; tandis que Gesto traduit : Pour de très nombreux habitants …
– et ça continue: A 8 : l’organe de phonation s’atrophie; Gesto : l’organe de phonation s’hypertrophie
page 71
: DIGNE et à 8 1 10 de la localité de LA JAVIE; Gesto : DIGNE et à 8 km de la localité de La Javie,
: relire tout ce paragraphe, et voir la bourde : en A 8 on dit : atteignant la valeur de «600 gauss» et le Gesto en fait 4600 gauss…
page 73
en A 8 : Perito Mercantil de Madrid; traduit par Gesto comme : Un aide-comptable de Madrid.
– dans le même paragraphe : en A 8 : (Cette circulaire est tapée à la machine par cette même personne) Un jour nous accepterons qu’il fasse des déclarations sur cette expérience. Déclarations que nous jugeons pertinentes. (Février 1966.). Le Gesto se contente de : (Cette circulaire est tapée à la machine par cette même personne) (premier contact février 1966.)
page 75
– le Gesto traduit : Notre vaillant collaborateur, celui qui tape nos écrits à la machine, a reçu un grand nombre de preuves. Nous le remercions vivement pour son extraordinaire discrétion.
alors que le A 8 dit : Notre vaillant collaborateur, à qui nous dictons généralement nos écrits a reçu un grand nombre de preuves et a réagi par conséquence avec crédulité. Nous le remercions vivement pour son extraordinaire discrétion. (!!!!!)
A 9
A 9 correspond aux deux derniers feuillets qui se trouvaient à la fin du D. 21 . Ici je me permets de donner une appréciation: il me semble que ce document n’a vraiment aucune valeur dans son contexte dossier UMMO. Sauf peut-être en ce qui concerne les noms des signataires. J’ai eu une autre impression bizarre, qu’elle ait de l’importance ou pas: le texte espagnol avait comme une tournure germanique (tournure aussi bien commune aux Allemands qu’aux Anglais et aux Scandinaves)
A 13 = Ribera
De la page 107 à la page 120 le A13 correspond au D. 43 et le destinataire en était Sesma en 1966 De la page 121 à 140 il correspond aux pages 51 à 66 du livre de RIBERA, qui a reçu le texte en plusieurs envois entre mars et novembre 1969. Elles se retrouvent dans le cat. Darnaude sous les numéros D. 74, D. 77, D 79 et D 80 (du moins, pour autant que je puis le déduire des «titres» et du nombre de pages.
La seconde partie se trouve dans dans le livre de RIBERA. C’est remarquablement bien traduit, quoiqu’il y ait de ces superlatifs dont j’ai horreur et qui nuisent quand même un peu… et quelques inexactitudes.
Constats:
– La première partie de ce document est TELLEMENT différente de la seconde partie reprise dans le livre de Ribera, quant au style et au contenu, que j’ai énormément de peine à imaginer que TOUT l’ensemble de ce texte ait la même provenance.
– A cause de cela on a l’impression que chaque texte reflète, dirait-on, le niveau intellectuel et d’instruction du destinataire… (j’avais déjà eu cette impression avec les textes destinés à Campo)
«LEIBNIZ Gottfried» 1646-1716 : qui écrivait soit en latin, soit en français. ../. ..il écrit «De arte combinatoria» (1666) où il tente de définir une logique et une combinatoire des pensées humaines. Il invente le calcul infinitésimal en 1676, s’initie à la jursiprudence, (…) Pour lui tout part de Dieu dont l’existence est parfaitement démontrable. C’est dieu qui conçoit les essences possibles dites «monades»et leurs combinaisons…./.
Le dictionnaire anglais est encore plus explicite:
./. German rationalist, philosopher, mathematician and logician. He spent his life in the diplomatic and political service and in 1700 was appointed president of the Academy of Sciences in Berlin. … he believed the world being composed of single units «monads» each of wich is self-contained but acts in harmony with every other, these form an ascending hiérarchy culminating in God. …
ET CECI QUI ME SEMBLE IMPORTANT par rapport à UMMO, RIBERA, etc…:
Leibniz made the important distinction between necessary (logically) truths and contingent (factual) truths and proposed a universal logical language wich would eliminate ambiguity.
He also devised a method of calculs independently of Newton.
Si je te parle de ce monsieur LEIBNIZ, c’est parce que ses idées et écrits ont été récupérées par les sociétés secrètes maçonniques et rosicruciennes et que je me suis rendu compte d’analogies en vérifiant la traduction. A ce propos: selon le cat. Darnaude la Fraternidad Rosacruz de Barcelone devrait posséder les écrits Ummo. (par pure coïncidence, en travaillant sur le document A 17, je retombe à nouveau sur LEIBNIZ….)
A 17
Ce document se compose de deux parties distinctes.
– de la page 174 à la page 183 comprise, il s’agit du document catalogué Darnaude D. 105
– de la page 184 à la fin, cela se trouve dans le D 33.
Pour la première partie correspondant à D 105, il n’y a pas de traduction Gesto disponible bien qu’un peu partout des éléments épars se retrouvent dans d’autres documents.
page 174
second paragraphe. Le mot «teodicistas» ne se trouve pas dans le dict. espagnol, ni dans le français d’ailleurs. S’y trouve respectivement «teodicea» et théodicée» et … à ma surprise je lis dans le Larousse: «mot créé par Leibniz..» (en réalité il s’agit d’après ce que j’en sais du titre «Théodicée» d’un des livres de Leibniz, celui ci date de 1710.)
page 179
– remarque la bizarre structure de leur phrase dans le 3e paragraphe : «enregistré un nombre de pulsions cardiaques de pompage du plasma sanguin» Normalement la phrase pouvait se terminer après «cardiaques», il est vrai qu’ils ne disent pas «cardiaques» mais «cardioides» dont l’équivalent en français veut dire «en forme de coeur». et je n’ai pas trouvé le mot dans le dict. espagnol…
A 18 – tome 2
page 1
– paragraphe 00/121 : c’est carrément l’affirmation que leur soleil correspond à WOLF 424 – et à la dernière ligne de la page cela est à nouveau confirmé.
page 3
-paragraphe 0/112 : OIWI (année)
– dernier paragraphe: incongruité? je lis et traduis «de manière que la glotte humaine terrestre disparaît vers les 14 ans»….
A 19
page 6
– premier paragraphe: ceci ressemble à une énorme farce non ? «Planète IEYIOBAA (la dénomination phonique de ses habitants ressemble environ à ceci FRRRANSSSS)»
A 20
page 12
Les trois premiers paragraphes sont introuvables dans les traductions déjà mises à disposition; A partir de la petite ligne de séparation, le document A 20 se rapporte au D 41.
page 18
– derniers mots de l’avant dernier paragraphe: bizarre… «cordes buccales» et non pas cordes vocales !
A 21
Normalement c’est la suite du D41
la page 21 et le premier paragraphe de la page 22 ne sont pas compris dans le D41.
page 25
– avant dernier paragraphe : qui m’a bâti une buse pareille pour traduire eidetismo par «édredon» en D 41 ???? Je crois même que JPP s’est servi de l’expression: il doit avoir rêvé de canards genre EIDER!!! et de continuer par : «olfactif (MEMOIRE POUR LES COULEURS)» ????
Alors qu’eidétique et eidétisme = termes de psychologie qui disent : reviviscence d’une perception après un certain temps de latence.
A 22
Il m’a fallu plus d’une heure pour démêler les paragraphes et pages qui forment dans le D 41 les documents A 22 et A 23.
page 32
d’accord, d’accord, mais comment remplissent-ils ce genre d’outres avec les aliments? Et ensuite comment sont-ils nettoyés à la fin du repas? Bèrk! Jen ‘en voudrais pas comme ustensile de cuisine, vivement les poêles et casseroles!
page 34:
curieusement les aiguilles anesthésiques faisaient leur apparition sur la terre dans ces années-là et encore plus curieusement il y eut toutes ces expériences sur les dauphins par les américains à des fins militaires et si bien racontés dans «Un Animal doué de Raison» I et II de Robert Merle en 1967 et qui dans sa préface cite des expériences du genre rapportées dans des revues de vulgarisation. Par un raccourci de raisonnement j’y vois les raisons pourquoi le drnier paragraphe de la page 34, et toute la page 36 n’ont pas été mis à disposition par le Gesto….
– fin du premier paragraphe : ENMMOO équivaut à 1,87 mètres … note de vog: il n’y a pas si longtemps qu’il ne valait même pas deux cm!!! (voir document A 17, page 194)
A 23
A part le fait que j’ai constaté que les soucoupes individuelles volaient à 56 mètres d’altitude (wow!) tandis que les transports en soucoupe commune s’effectuaient à 56 cm du sol…..
voici les autres remarques.
Ce document devrait en réalité être le A 22, puisqu’il fait la suite au A 21….
:le fruit INOWI ressemble dans son dessin page 39 et dans sa description page 40 à un fruit que j’ai connu en Afrique et que nous appelions «coeur de boeuf» à cause de sa grosseur et son aspect extérieur. Il est trop délicat pour être transporté et est d’une saveur…. fraîche, acidulée, sucrée, spéciale… tiens! je vendrai bien ma chemise pour déguster ce fruit maintenant!
page 44
– 3e paragraphe: en D 41 : 30 ENMOO quelques 56 centimètre – pour 56 mètres en A 23.
page 45
IMAGES. Le multipode m’intrigue: ça doit être salement inconfortable… comme sur un dos de chameau. A remarquer la ressemblance de l’avant avec ces «masques» moyennageux portés par les chevaliers lors d’un tournois… ou même certains corselets.
A 24
Les textes en espagnol ne sont qu’une envolée littéraire, et parler et parler pour ne pas dire grand chose, mais en utilisant des mots que même des personnes très cultivées n’ont pas dans leur vocabulaire habituel. De plus, quand on lit le texte en espagnol on se rend très bien compte qu’il faudrait presque un dictionnaire des synonymes, tellement le choix du même concept est exprimé à chaque fois avec un mot différent, qu’il s’agisse d’une simple couleur, ou d’un simple qualificatif…… D’autre part, on voit dans certaines pages apparaître le même mot à plusieurs reprises, alors que là il aurait été utile d’utiliser un synonyme… p.ex. dans le texte A 24, c’est «revêtir» et «adéquat» qui sont continuellement repris sous toutes leurs formes.
Ces lettres reçues par Sesma en 1966 me semblent avoir si peu de FOND qu’il est normal que je sois attentive à leur FORME. Si j’examine bien ces 14 dernières pages, elles ne m’apprennent qu’essentiellement deux choses sur les gens de UMMO: tout d’abord que leurs nouveau-nés se trouvent confinés dans un truc avec un bazar entre les jambes…. (hmm…) et qu’on les oblige à regarder des taches de couleur informes qui passent… au lieu d’avoir déjà des contacts répétés avec tous les membres de la famille. Ensuite que vers l’âge de deux mois on leur croise les mains sur la poitrine et on immobilise leurs coudes en jouant à ce jeu sadique de mettre une boule colorée juste hors de portée. Tout le reste du texte consiste à annoncer qu’ils ont des loisirs dont ils font semblant de vouloir parler mais que finalement cela se solde par des pages et des pages de critique sur nos façons de faire sans apporter «quelque chose».
A 28
Ce document et le D 46
Au bout de la vérification de ces 300 premières pages mon impression est qu’il y a des «groupes» de documents, et leur source semble être différente: les sujets traités, les tournures de phrases et les expressions utilisées, le truffage avec des mots «chers», etc.. Dans mon esprit je les classerais un premier temps en:
– l’épopée: historique, avec des envolées en tous genres.
– la critique: négative, sans rien apporter à la place, ni même une suggestion
– l’éducation : documents didactiques, en mots et phrases simples mais justes
– les NULS, hors course.
A 29
de la page 114 à la page 118 :
Voilà un de ces documents que je classerais «épopée» mais truffé d’expressions dont au moins 70% de nos contemporains n’ont même pas idée... D’expérience je sais que quand on «tombe» chez des gens d’un niveau sous-développé, ce n’est pas ainsi que cela se passe.
de la page 119 à la fin:
c’est de la pseudo-physio-psychologie surannée et erronée (comparée à p.ex. «L’homme cet Inconnu» d’Alexis Carrel, prix Nobel 1912…)
exemple: bas de la page 119: si on suit ce raisonnement: UN CHIEN qui voit un OS, à lui aussi la souvenir d’un os passé, peut-on pour autant dire que la reconnaissance de l’os est pour le chien la base du raisonnement????? Ridicule. parce qu’en suivant l’exposé: si le chien ne reconnaît pas l’os pour être un os, il va s’enfuir de peur….
page 121
3e paragraphe: du pur Leibnizien….
A 30
– du début page 123 et jusqu’à la page 140 y comprise c’est une interminable tirade de critiques et d’exhortations qui me font penser à celles de ces «mompères» Dominicains, qu’on nous infligeait en chaque début de trimestre dans les écoles catholiques des années 50 et 60… sous le prétexte de «retraite»: sous le thème : repentez-vous le jugement dernier est proche… . C’est exactement cela: comme quelqu’un entraîné par sa propre éloquence, qui ne dit finalement rien et qui est le seul à se comprendre…. ce qu’il reproche d’ailleurs à ses lecteurs…
– pages 141 à 147 : ceci est plutôt du genre «épopée» que l’on voudrait scientifique.
En bref: l’assemblage des deux parties de texte est assez malheureux. Mais jusqu’à la page 140 comprise j’ai vraiment l’impression de ne lire que des élucubrations.
page 132
– 2e paragraphe: voilà bien une théorie dont on parlait beaucoup dans les années 50 et 60…. et qui revient dans l’actualité depuis les possibilités de la biotechnologie et la recherche des chromosomes «affectés» de criminalité. On ne les a pas encore détectés, c’est comme ceux de l’homosexualité….
page 134
– 4e paragraphe: on se moque de qui là? J’ai le regret de ne pas concevoir que des extraterrestres auraient des pensées aussi vilaines, ni que le groupe de Sesma se serait conduit comme ces adolescentes folles qui s’évanouissaient en écoutant les Beatles.
– 5e paragraphe: là on joue vraiment avec les pieds de Sesma, et combien!
page 145
– remarque quand même qu’on tourne autour du pot en parlant de maquettes dans le dernier paragraphe, mais sans parler de l’intervention, dont on est pourtant si curieux…
A 32
la page 152 et le premier paragraphe de la 153 c’est la dernière page du D 18.
Ces pages sont une parfaite illustration de beaucoup d’autres. «Nous expliquerons ceci, ou cela»… et rien n’est expliqué. «Quelle était… nous allons vous le dire» qui est tout de suite suivi d’une diversion dans un autre sens. On tourne autour du pot, mais quel pot et y a-t-il seulement un pot et de quoi tourner????
page 153
– 2e paragraphe: Drôle d’impression dans la lecture de l’énoncé: C’EST LE LANGAGE D’UN COMPTABLE des années 60 QUI DEVAIT VENTILER dans son GRAND LIVRE, les différentes rentrées et sorties, je connais pour l’avoir fait.
page 157
– premier et second paragraphe: il me laissent songeur, en sachant ce que je sais sur certaines personnes tournant autour du cas UMMO en Espagne. Je remarque dans le second paragraphe, comme je l’ai déjà observé précédemment, cet imperceptible glissement de «vous» vers «nous»…
page 158
avant dernier paragraphe: enfin, le voilà le mot à 1000 balles : l’étude mathématique de ** clotoides** – je n’ai rien trouvé, dans aucune langue…. même pas sur la mienne, et pourtant elle est longue et je la laisse pendre… Ce mot pourrait avoir une vague apparenté avec l’anglais «clothes» dans le sens de revêtement…de routes.
– Dans la suite on parle d’un Atterberg, là non plus, le dictionnaire encyclopédique n’est d’aucune utilité. Bizarre ce nom, moi qui ai vendu des finisseuses de route dans les années 60 et qui suis assez bien informée de la construction d’une autoroute, j’ai jamais entendu parler de ce truc… De plus, «compacteurs à pieds de biche et étendeurs etc… en 1966 c’était largement dépassé. Les finisseuses de route et les bouchardeuses étaient vendues en France par la firme ALBARET et je connais encore mieux les machines Vögele allemandes qui posaient (en compactant etc… ) une bande d’autoroute de 12 mètres de large en une seule et unique opération. Elles étaient munies d’un tas de «sensors» pour garantir toutes sortes de choses.
Document A 33 (et jusqu’à A 38)
C’est le contenu du D57 Parfois ils y a des découpages bizarres. Le document A 38 par exemple qui dans Aguirre se refère à une lettre précise, je l’ai trouvé par fragments dans le D 57, un peu partout.
A 34 – tome 3
(j’ai compris pourquoi souvent ces écrits m’énervent: ils parlent de ce que nous connaissons très bien, puisqu’il s’agit de nous, de notre environnement etc… mais… rarissimes sont les détails concernant «UMMO» qui, pour nous, seraient nettement plus intéressants à savoir …)
page 11
– 2e paragraphe: dangereux tout ça, car voici à propos de nos propres lancements de 1949 (dont il y en avait au moins UN PAR SEMAINE, qu’il soit couronné de succès ou non, mais le plus souvent ils atteignaient entre 150 et 180 km d’altitude):
“ 1949, 24 février
USA, White Sands
LES AMERICAINS CREERENT LA «WAC CORPORAL», «L’AEROBEE», LA «VIKING»: ILS MONTERENT UNE WAC SUR UNE V 2 ET CET ENSEMBLE A DEUX ETAGES BATTIT LE RECORD DE HAUTEUR AVEC 400 KILOMETRES D’ALTITUDE. («L’Astronautique» Pierre Rousseau, Hachette 1965, p. 12) A 15 H 14 LANCEMENT DE LA V2 B5, AVEC WAC CAPORAL ELLE ATTEINT 402 KM . (GESAG, Lancements: «Ley 1958», p. 290) ”
dans D 57 Gesto : révéla l’absence d’une atmosphère… contre en A 34: révéla l’existence… JPP aura bien sûr su pourquoi il fallait traduire par «absence» puisqu’il s’agit de MARS.
A 35
= d57)
page 32
/// à propos de «poser la main sur la poitrine» c’est un «bonjour» ou un «au revoir» que je vois très souvent se faire de cette façon ici à Bruxelles, parmi un groupe de musulmans, mais je ne sais s’ils sont d’Afrique du Nord ou d’ailleurs. Ils le font partout, jusque dans le métro, les écoliers, comme les adolescents ou les adultes. Comme nous avons plus de Marocains que d’autres arabes… )
page 34
– 2e paragraphe: en D57 Gesto: des fragments d’une planche blanche jaunâtre, flexible et fragile, en A 35 il s’agit de «laminas» = lame, plaque, planche, image ou feuillet. Je vois très mal un paysan de l’endroit aller ch… là en ayant dans sa poche une feuille du Figaro du samdi et Dimanche 25 à 26 mars… DE TOUTE MANIERE CECI NE SERT DE NOUVEAU QU’A L’INTRODUCTION DE TOUT UN BLABLA CONCERNANT LES HABITANTS DE LA TERRE, soit à nouveau on y parle de nous et pas d’eux. Il est très étonnant aussi de voir que ces «quelques fragments» ont l’air par la suite d’être un journal pratiquement entier.
page 36
note 1: ce qui était écrit en «français» je l’ai gardé, sans accents et avec des mots comme «segurite» au lieu de sécurité. et «inmediate» comme en espagnol, pour «immédiate»
note 2: je suis étonnée que sur un bout de papier cul, il y ait un dessin humoristique et toute une série de gros titres….. quel cul devait avoir le ch… pour avoir utilisé TANT de papier.
A 40
page 56
– dernier § Sefardi c’est la langue des juifs espagnols qui appelaient l’Espagne: Sefarad et je m’étonne qu’on la mette sur la même ligne que les autres langues latines, car pour sûr, c’est un parler bien plus hébreux que latin et de racine hébraïque…
page 57
– §1: remarque l’expression : cordes buccales –
A 67
page 144
l’explication de la page 144 est loin d’être complète, ou simplement «exacte»…
A 69
correspond aux premières pages du D 62
page 153
– § 3 : je ne sais pas, si après coup, on peut mesurer «la charge dynamique» d’un véhicule dont on ne connait ni le poids, ni le volume, ni les surfaces des points d’appui, ni la vitesse… mais je suis d’accord pour les «tensions statiques.» – mais bon, je coupe des cheveux en 4, pour en avoir plus!
page 154
– § 2: Remarque: «qui virent grimper sur une corde le petit «chela» dirigé par un «SADUH» de l’Indostan» .
chela = un disciple ou un servant en Hindi, SADUH = un sage ou un saint en Hindi, Indostan, Industan, Indoustan ou Hindostan, Hindustan, Hindoustan = n’existe pas en tant que tel, ni en espagnol, ni en français, ni en anglais. L’Hindoustani = l’ensemble des langues parlées en Inde du nord.
A 70
page 156
– § 1 : la revue «Métapsychique» de René Warcollier. – : polografiade par René Warcollier. – «polografiar» n’existe pas évidemment. Mais «poligrafier» non plus, ni en français. Il y a «polygraphe» = forme péjorative pour un auteur écrivant sur des sujets divers.
- 2 : «La Ectoplasmie en la Clairvoyance» : c’est écrit ainsi..
A 73
page 179:
– § 2: » la fibre se trouvait mélangée à un certain pourcentage d’alfa , plante qui n’est d’habitude pas utilisée dans la région pour la fabrication de cordes.» pourtant l’alfa (spart et sparte) est une graminée des pays méditerranéens, africains et européens et est d’habitude utilisée pour la confection de cordes et d’espadrilles.
– juste avant j’ai tiqué pour le nom du champignon: si l’on connait un peu la latin, réfléchissons à ce que veut dire «macro-hominia phaseoli»… mais je n’ai pas poussé jusqu’à savoir si cela existe en champignons!
page 180
- 6: n’est-ce pas en contradiction avec le texte précédent? «Les images obtenues avec notre UULUEWUAA étaient lamentables, il n’avait pas enregistré l’intérieur durant le processus.»
car là en A 72, je trouve : «./. Dans la nuit furent examinées les photographies (UULAYA ) obtenues à l’aide de l’UULUEWAA. Malheureusement les images se trouvaient déphasées et ne permettaient pas de bien analyser ce qui était arrivé à l’intérieur du panier. Sans doute les mouvements des cordes pouvaient se voir avec grand précision. Elles paraissaient déformées dans leur section. Les mouvements serpentants n’étaient pas brusques comme… ./.»
A 78
C’est le D 143 du cat. Darnaude.
Ce que je peux en dire? cette lettre sens le roussi.
Il est possible qu’un canadien ait tenté d’écrire en espagnol, mais il y a contradiction entre les accords gramaticaux corects et des maladresses qui «puent» la farce à cent lieues. Il n’y a de toute façon pas de nom de l’expéditeur. De plus, si c’était quelqu’un de malhabile en langue espagnole, aurait-il systématiquement utilisé des mots et des termes très spéciaux comme il y en a seulement dans les écrits dits de «UMMO»? «transcendance» «inhiber» «photostatique» au lieu de dire simplement photocopies… Car… s’il est vrai qu’ils ont reçu au Canada des écrits UMMO, ils étaient probablement en anglais ou peut-être en français et non pas en espagnol.
Cette lettre me fait l’effet d’avoir du sable entre les dents.
A 84 = tome 4
livre RIBERA, page 29 à 32 – catal. Darnaude: D 70
Le découpage est très différent.
L’écriture de Ribera est plus «genre auteur sérieux» celui de A 84, plus simple et plus concis.
A 85
Ribera pages 41 à 48 – cat. Darnaude D 72 .
page 18
les deux paragraphes du milieu jusqu’à la fin de la page = du Leibniz pur souche… et je peux le prouver!
page 19
– § 1: «géotropas» n’existe pas en espagnol, «géotropique» comme Ribera (page 49) non plus – il y a «géotropisme» = utilisé en botanique (les racines sont affectées de géotropisme vers le bas) et pour des animaux (réaction locomotrice marquée par la pesanteur)…. mais je prends le mot de Ribera pour traduire… alors qu’à mon sens le texte à voulu exprimer quelque chose du genre «lié à la région géographique spécifique»
A 89
C’est le D 67 selon Darnaude. L’enveloppe portait un timbre avec le cachet postal de Granada et fut reçue le 20 juin 1968. Elle est signée de IXEEI 4
page 40
– § 2: «dichoso» est un mot bizarre, car il veut à la fois dire: heureux et maudit! Par «pudeur» j’ai traduit par heureux /// «entrenable»: ce mot n’existe pas. Il est fait à partir du verbe «entrenar» = entrainer – j’ai donc traduit par «qui vous entraîne» – car il n’a aucune signification de «relier». /// autre mot incongru «rasgue», du verbe «rasguear» = plaquer des accords ou tracer des traits de plume, alors qu’on aurait pu trouver un mode congjugé de «rasgunar» qui veut dire «griffer, esquisser, égratigner»…. Vois un peu si j’avais utilisé les mots au sens propre, un peu prémédités: «Je me considérerais maudit de vous connaître personnellement…. soyez sûr de mon sincère désir que le pont spirituel entrainé avec notre peuple ne s’accorde jamais». Mais c’est peut-être ce qu’on voulait dire.
– § 4: il y a comme un genre de «chantage» dans l’expression de ce paragraphe et du suivant.
A 92
C’est le D 75 Darnaude.
Je m’amuse beaucoup en lisant attentivement cette phrase :
page 50, § 1: une dame aimant les animaux prêta asile à mes deux frères… qui purent pendant leur enfermement forcé…..
page 55:
– sous § a: lapsus??? «nous ne croyons pas que cela vaut la peine de réaliser une investigation et moins encore avec les moyens limités dont NOUS DISPOSONS.»
A 93
– D. 110
pages 62 et 63
Voilà que nous avons – pour autant que je puisse le remarquer – une lettre bizarre. Elle me fait l’impression d’être écrite en «petit nègre espagnol»…. Mais je n’en suis pas certaine. Les très courtes phrases, le choix des mots, tout contraste beaucoup avec le style habituel.
– Entête: remarque qu’il est mis: Mr Farriols et non Sr Farriols // et SPAIN au lieu de ESPANA.
– dernière phrase page 62: il est écrit : Il sera connaisseur sur notre lointaine planète de cette déférence.
A 95
page 66:
– fin du premier § : il y a là dans la formulation quelque chose qui cloche. Au lieu de «acoger» = recueillir, j’aurais été tenté de voir par exemple «rechasar» = rejeter.
– § 3: à nouveau ce genre de contradiction : «Sans doute derrière la résistence de ces hommes à se présenter sans recourir à l’anonymat peut toujours camoufler des mobiles de moralité douteuse.» J’aurais vu mieux à sa place «en recourant à l’anonymat…»
a 111,
on pourrait lui donner le titre de BROMATOLOGIE…. voir plus loin. Ce document se termine en… eau de boudin, car la dernière phrase n’est même pas terminée.
page 137
– § 1 «bromatologicas» ce mot n’existe pas. Il peut avoir deux racines: celui de broma = farce, celui de bromo = brome (dont on dit qu’il était utilisé dans les casernes pour calmer les ardeurs des jeunes miliciens)
.. d’ailleurs tout ce paragraphe est tout à fait “ bromatologique»… dans le sens premier.
A 115 = D 114
Donc : Style très différent, surtout dans la constructions des phrases, par rapport à la majorité des autres lettres. Différent dans le sens de plus difficile à traduire pour que ça colle bien au texte.
page 169
– § 2: remarque l’utilisation du mot «excesivamente» à trois reprises dans la même phrase.
A 116 (D173)
(pas de destinataire connu)
page 172
– fin du long premier paragraphe: lapsus ou faute de frappe: «de la estancia entre nosotros» du séjour parmi nous…
A 117 = D 116
page 175
– § 1: quelle hypocrisie! comment constater que cette lettre et son sceau sont véritables? Le jeu proposé en demandant à Farriols de l’authentifier ne manque pas de piquant! – à part cela, j’attire ton attention sur le nom du personnage et sur celui de son < …
page 179
– § 2: il serait intéressant, pour comparer, de revoir le document où les Ummites arrivent à Albacete… personnellement je ne me souviens pas d’une question de fuite en avant devant les recherches de la part de la CIA…
A 118 = D 117
Elle est adressée à AGUIRRE
Pour autant que je sache, où en était la Chine en 1978 et 1979? Personne n’en sait grand-chose, mais voici :
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1978, janvier
CHINE
CHINE 8 SE PLACE SUR UNE ORBITE BASSE DE FAIBLE INCLINAISON. C’EST UN SATELLITE DE RECONNAISSANCE PHOTOGRAPHIQUE, MAIS IL N’EST PAS RECUPERE. SANS DOUTE A-T-IL TRANSMIS DES VUES TELEVISEES, COMME CHINE 3 ET CHINE 5. («La Guerre des Satellites» – tome 3 – Pierre Kohler, éd. Famot 1982, p. 19)
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1979, 20 septembre
CHINE
LANCEMENT TRIPLE DES TROIS SATELLITES CHINE 9, 10 ET 11. ON SUPPOSE QU’IL S’AGIT DE SATELLITES DE RECONNAISSANCE PHOTOGRAPHIQUE, MAIS ON N’EN SAIT PAS PLUS, LES CHINOIS AYANT ETE D’UNE FACON GENERALE PLUS AVARES DE DETAILS SUR LEURS SATELLITES QUE NE LE FURENT LES SOVIETIQUES. («La Guerre des Satellites» – tome 3 – Pierre Kohler, éd. Famot 1982, p. 19)
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1979, 22 septembre
AU LARGE DE L’AFRIQUE DU SUD
A 15 HEURES, A UN MILLIER DE KILOMETRES AU LARGE DE L’AFRIQUE DU SUD, PAS TRES LOIN DES ILES DU PRINCE EDOUARD, DEUX ECLAIRS JAILLISSENT AU-DESSUS DE L’OCEAN. DEPUIS 110.000 KM D’ALTITUDE, UN SATELLITE VELA DETECTE DANS UNE ZONE DE 1500 KM DE DIAMETRE, UN ECLAIR LUMINEUX TRES BREF QUI S’AFFAIBLIT PENDANT UNE FRACTION DE SECONDE, PUIS REDOUBLE D’ECLAT. (…) OR, CE DOUBLE FLASH EST CARACTERISTIQUE D’UNE EXPLOSION NUCLEAIRE. (…) JUSQU’A CETTE DATE, DES ECLAIRS A DOUBLE FLASH ONT DEJA ETE OBSERVES A 41 REPRISES, ET A CHAQUE FOIS LES COUPABLES ETAIENT SOIT LA FRANCE, SOIT LA CHINE, NON SIGNATAIRES DU TRAITE SUR L’INTERDICTION DE CES ESSAIS. (…) MAIS CETTE FOIS LE SUSPECT EST L’AFRIQUE DU SUD QUI FIT EXPLOSER UNE BOMBE NUCLEAIRE DANS L’ATMOSPHERE. («La Guerre des Satellites» – tome 3 – Pierre Kohler, éd. Famot 1982, p. 71 à 76)
– pour 1980 il n’y a nulle part mention d’un essai ou d’un lancement chinois: il doit y en avoir eu quand même.
page 182
– § 6: l’explication donnée en 1979, est à mon avis tellement «enfantine» car si Aguirre est médecin et si les études en Espagne ressemblent à celles qu’on fait par exemple en Belgique, les deux premières années du cycle universitaire (que nous appelons les «candidatures») chez nous sont communes aux ingénieurs en toutes sortes de choses, au mathématiciens, aux chimistes, aux physiciens, aux biologistes et aux médecins, soit pour tous ceux qui font de la science dite exacte. Je puis quand même supposer que dans ce cas on aurait pu formuler cela d’une manière plus «scientifique» et pas tel que l’on l’explique à un gosse de 12 ou 13ans?
page 184
– § avant dernier: je sursaute quand ils disent que l’URSS a un avantage , car voici ce qui est arrivé en 1978: le principe est celui ci: un satellite est envoyé, porteur d’un assez gros réacteur nucléaire. Quand il a fini sa mission, on envoie sur lui un autre satellite, afin de le faire remonter d’autant de centaines de kilomètres en altitude, de façon qu’il ne puisse retomber sur terre avant 500 ans, moment où le dangereux carburant serait épuisé. Le choc pour le faire remonter fait éclater le second satellite tamponneur – c’est donc celui là que tout le monde attend de voir. Et pourtant, parfois ça rate: (évidemment quand c’étaient les Russes qui faisaient la bavure l’occident mettait cela en épingle, j’ai aussi plusieurs cas où c’étaient les amerlocks qui «égaraient» leurs têtes nucléaires)
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1978, 24 janvier
URSS-ESPACE-DANGER
COSMOS 952, LANCE LE 16 SEPTEMBRE 1977, AVAIT ETE TRANSFERE A ALTITUDE HAUTE LE 8 OCTOBRE. LE 11 OCTOBRE 1977 DES CRAINTES COMMENCERENT A SE MANIFESTER COSMOS 954 AURAIT DONC DU LOGIQUEMENT EN FAIRE AUTANT. LE 17 DECEMBRE L’INQUIETUDE COMMENCE A SE FAIRE VRAIMENT JOUR. ( …) L’USA PREND CONTACT AVEC L’URSS, PARALLELEMENT LES CHEFS D’ETAT FRANCAIS, ANGLAIS, ITALIEN, JAPONAIS ET CANADIEN SONT PREVENUS DU DANGER. CAR, SOUS UNE INCLINAISON ORBITALE DE 5° LE SATELLITE INDESIRABLE SURVOLE TOUS LES PAYS DU MONDE. SEULS SONT EPARGNES L’EXTREME NORD DE LA SCANDINAVIE, LA FRANGE SEPTENTRIONALE DE LA SIBERIE, DU CANADA ET DE L’ALASKA ET L’ANTARCTIQUE, DES REGIONS QUASIMENT DEPEUPLEES. (…) ON NE SAIT POURTANT PAS ENCORE OU VA TOMBER COSMOS 954, ENTRE-TEMPS IL ACCOMPLIT 16 TOURS DE LA TERRE PAR JOUR. (…) LE 19 JANVIER 1978 L’AMBASSADEUR D’URSS FAIT SAVOIR AUX AUTORITES AMERICAINES QU’IL N’Y A AUCUN RISQUE D’EXPLOSION NUCLEAIRE, POURTANT LA NOUVELLE N’EST TOUJOURS PAS ANNONCEE PUBLIQUEMENT. LE QUARTIER GENERAL DU NORAD INFORME WASHINGTON LE 19 QUE LA CHUTE AURA BIEN LIEU LE 24 JANVIER 1978. CE JOUR LA, AU PETIT MATIN, HEURE DE LA COTE EST DES USA, (…) COSMOS 954 PENETRA DANS L’ATMOSPHERE VERS 7 HEURES, CE QUI PLACE LE POINT D’IMPACT SUR LE CANADA! IMMEDIATEMENT LES SIX GROS PORTEURS C 141 DE L’EQUIPE D’INTERVENTION NUCLEAIRE DU «N’EST» PRENNENT L’AIR DEPUIS L’AEROPORT INTERNATIONAL DE MC CARREN, ET DEPUIS LES BASES AERIENNES AMERICAINES D’ANDREWS ET DE TRAVIS. DES AVIONS DES FORCES ARMEES CANADIENNES, BASEES A EDMONTON, DECOLLENT EGALEMENT, POUR SE JOINDRE A L’EQUIPE DE RECHERCHE. LE DERNIER QUART D’HEURE DE COSMOS 954, SA PENETRATION DANS LES COUCHES DENSES DE L’ATMOSPHERE, VERS 120 KM D’ALTITUDE, COMMENCE AU-DESSUS DU PACIFIQUE, PRESQUE A LA VERTICALE DES ILES HAWAII. PUIS, TRANSFORME EN BOULE DE FEU, LE SATELLITE SOVIETIQUE ABORDE LES COTES DE L’AMERIQUE DU NORD, AU NIVEAU DES ILES DE LA REINE CHARLOTTE, PRESQUE A LA FRONTIERE AMERICANO-CANADIENNE. APRES AVOIR SURVOLE LA COLOMBIE BRITANNIQUE, LE SATELLITE ET SA DANGEREUSE CHARGE PARCOURENT ENCORE 1700 KM, JUSQU’AU DISTRICT DE MACKENZIE. LES STATIONS DE SURVEILLANCE DU NORAD, QUI ONT PARFAITEMENT SUIVI CETTE DESCENTE, SITUENT LE POINT D’IMPACT DES MORCEAUX QUI AURAIENT RESISTE A L’EPREUVE DU FEU, DANS LA REGION DU GRAND LAC DES ESCLAVES. ON NE SAIT PAS CE QU’EST DEVENU LE REACTEUR NUCLEAIRE. S’EST-IL COMPLETEMENT CONSUME DURANT LA RENTREE OU BIEN A-T-IL ATTEINT LE SOL ? CETTE DERNIERE POSSIBILITE PARAIT LA PLUS PLAUSIBLE, DANS LA MESURE OU LE NOYAU D’URANIUM ETAIT ENTOURE D’UN EPAIS BLINDAGE, DONT LE POIDS EST EVALUE A UNE DEMI TONNE PAR LES EXPERTS OCCIDENTAUX. LE SATELLITE A TOUCHE LE SOL CANADIEN A 6 H 53 HEURE D’OTTAWA. (…) DES LE LENDEMAIN, UN AVION U-2 TENTE DE DETECTER VISUELLEMENT DES FRAGMENTS. UN HERCULE CANADIEN LE SUIT AVEC UN EQUIPEMENT DE DETECTION DE LA RADIOACTIVITE. EN VAIN. (…) POURTANT LES HABITANTS DE YELLOWKNIFE ONT VU DANS LA NUIT LA CHUTE D’UNE BOULE ROUGEATRE . ELLE VENAIT DU SUD-OUEST SUIVIE D’UNE LONGUE TRAINEE DE FRAGMENTS INCANDESCENTS. (…) DEBUT FEVRIER 1978, UNE TIGE ARGENTEE DE 25 CENTIMETRES DE LONG SUR 8 DE DIAMETRE FUT TROUVEE PRES DE LA BAIE MC LEOD, EMETTANT LE RAYONNEMENT RECORD DE 500 ROENTGENS. (…) FINALEMENT C’EST TOUT CE QU’ON A RETROUVE DU REACTEUR DE COSMOS 954. («La Guerre des Satellites» – tome 3 – Pierre Kohler, éd. Famot 1982, p. 101 à 114) Des 50 kilos d’uranium une grosse partie est supposée avoir brûlé dans l’atmosphère. Au sol on n’a retrouvé des restes que de la grandeur de grains de sel. Le nettoyage de la région à pris de longues semaines. (The Associated Press)
Cependant: en 1997 est venu sur la table la question du dédommagement par l’URSS de tous les frais engagés ce jour là, ainsi que la construction d’un souterrain blindé pour le stockage des débris, qui ne devaient donc pas être aussi inoffensifs qu’on le dit. Je dois avoir quelque part le document qui parle de , si mes souvenirs sont exacts) 2 ou 3 millions de dollars… que la Russie actuelle ne parvient toujours pas à payer.
A 119 = D 119
Cependant: selon D 119 il n’y avait que 4 pages, ici on en a 8,5., il y a une demi page de double emploi, mais reste 8 pages contre 4 annoncées. Je ne vois pas vraiment qu’elle est l’autre qui s’est glissée dedans …
page 190
– § 5: mot à 1000 balles: «castellanoparlante» = «parlant castillan» /// – § 6: il y a comme un regret dans le constat qu’on n’est pas à même de tirer profit d’un culte à Ummo, tu trouves aussi?
A 120 = D 118
le destinataire J. B. = Jorge Barrenechea = c’est un chimiste de formation – il doit avoir entre 55 et 65 ans – sa femme avait déjà reçu une lettre, elle aussi.
Dans les années 91-91 Barrenechea ballottait et il cherchait jusqu’en Belgique à confirmer ou infirmer ce qu’il en pensait. Le pauvre… je compatis. C’est lui aussi le destinataire de la fameuse lettre dite «du Golfe».
page 195
– § 3: remarque aussi le répétition à satiété du mot «reste» sous toutes ses formes, avant ce paragraphe et dans celui-ci. Je le fais remarquer ici, mais ce genre d’anomalie dans un texte d’autre part très riche en vocabulaire, m’a souvent choqué: pourquoi? Mais parce que ce genre de répétition inconsciente est typiquement liée à la pensée écrite terrestre!
– § 5 : ici c’est le mot «optimum» qui joue dans la tête.
– § 6 : et ici c’est «honteux», «dénoncé» et quelques autres…
page 196
– § 2: c’est sûr que moi, j’accepte la banane offerte par un «ami» et que je n’attends pas celle de l’extraterrestre….(je me marre, tu ne peux pas savoir).
page 197
– mots leitmotiv «détenteur» et «insuffisant»
page 201
– § 3 : l’Ummite veut donc tâter la poitrine de la femme de Barrenechea, et il dit que cela a une signification spéciale: se pourrait-il que Barrenechea, lui aussi, bat sa femme ou qu’il la maintient de force???
A 122 – tome 5
Il correspond au D 45 traduit par le Gesto.
page 4
– § 3 : lapsus? ou faute de frappe: «de l’espace qui nous sépare de UMMO» dans l’optique UMMO il serait plus convenable de mettre «qui vous sépare de Ummo»
A 124 = D 63,
mais le D 63 s’arrête en A 124 à la fin du premier paragraphe de la page 16. La suite je l’ai trouvé dans Ribera pages 252 (2 dernier §) à 254.
LE TON général pour expliquer des choses de «physique» ou de «cosmologie» est nettement moins professoral que celui (pourtant très clair et accessible) de JPP ou de Meessen (je cite ces deux là, car je ne connais pas bien les autres). On dirait franchement qu’il s’agit d’un cours donné par un professeur dans l’enseignement secondaire, donc d’un niveau NON UNIVERSITAIRE (le cours) et dans un langage proche de l’élémentaire. C’est pas ton avis?
A 127
se trouve dans le D 59
page 24
NOTE :le bel argument… admettons que tu veuilles me faire une farce et te faire passer pour un Martien plein de science. Tu t’adresses à moi par écrit. Il est clair qu’en Chimie tu vas me clouer le bec. Mais tu ne connaitrais pas par exemple mes autres centres d’intérêts: plutôt que de t’aventurer trop loin, au risque que je te démasque et que ton jeu cesse tout de suite, ne choisirais-tu pas de prétendre que je suis trop «bête» quand pour m’épater avec un livre ou un article que tu viens de lire, tu m’enseignes une «toute nouvelle théorie»? Attention, je ne prétends pas que cela s’est passé ainsi, mais comme j’ai les pieds quand même solidement plantés par terre, c’est une possibilité à soupeser. J’intercale l’idée ici, parce que cela se trouve ainsi, mais elle m’est venue à l’esprit surtout au sujet des théories philosophiques et de sociologie.
A 129
(lettre du Perito Mercantil = D 136)
(Ribera pages 108 à 118)
page 43
– § 1 : phrase non reprise par Ribera : Ils étaient en train de parler avec nous après nous avoir demandé d’examiner toutes les chambres /// il y a une incongruité dans ce paragraphe, c’est mon avis: fin du mois de mai, en soirée, à Madrid: à l’heure où TOUT LE MONDE habituellement sort de chez soi car il a fait trop chaud en journée, c’est à cette heure là «que de nombreux autres frères» à l’aspect nordique, attendent dans la rue? C’est pour mieux se fair repérer ou quoi? ///
– § 2: émetteurs de la taille d’un briquet, des «espions d’écoute» des petits appareils qu’on collait contre la façade ou contre une en ces années-là, j’étais de retour à Bruxelles venant du Congo. Je me souviens que dans les magazines pour jeunes et adolescents (genre «Spirou» ou «Tintin» il y avait toute une page publicitaire pour présenter «les dernières nouveautés des agents secrets» que l’on ne pouvait obtenir que par correspondance et en payant d’avance. C’étaient des pastilles à coller sur la vitre pour savoir ce que les voisins se disaient dans la maison, des lunettes pour «voir à travers les habits» des petites «boules qui émettaient de la lumière rien qu’en les chauffant dans la paume de la main», des porte-plume qui «filmaient» des documents, etc. etc.. toute une panoplie de parfait petit agent du KGB. Mon Toni me sciait les côtes pour que je lui achète ces trucs et j’ai contourné la difficulté en l’envoyant au judo!
– § 3 – en dehors du contexte: si cet appartement là existait réellement en 1967, presqu’en face d’un magasin d’électro-ménager avec une enseigne lumineuse allumée le soir…. tout bon petit groupement l’aurait déniché, et il aurait été facile d’entamer mine de rien avec les concierges (il n’y en a pas dans chaque immeuble) un commérage au sujet de certains visiteurs suédois ou d’autres grands blonds….
page 44
– § 3: fin (phrase non reprise dans Ribera, et d’un côté je comprends qu’il est perplexe ou choqué… ) «Elles étaient blondes et avaient la peau ?? «suelto» = libre, ou = sans consistance, ou = hardie, ou = relâchée, ou = dépareillée…. je n’ai donc pas traduit ce mot….. Mon imagination galopante m’a montré toutes sortes d’images, les unes plus loufoques que les autres, avec des peaux relâchées à l’extrème, et comlètement «dépareillées»…. Mon dieu! Je plains les mâles de Ummo si toutes les femmes sont ainsi!
page 48
– § 1: et donc, ce dactylographe qui écrit de manière si mitigée, parle et écrit le français…
A 132
C’est dans la dernière partie D 59
sous le titre RESUME PREALABLE.
page 67
– § 1: hypothèse et celle-ci avait déjà été avancée par… ce pauvre Leibniz en désaccord avec ses contemporains.
A 136
IL EST INVRAISEMBLABLE QU’UN DACTYLOGRAPHE INSERE DES NOTES NUMEROTEES PARMI CELLES DES UMMITES.
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Scientific American november 1989 , vol. 261 n° 5
Couverture: Shuttle glow: 250 km above the earth an attenuated wind raises a halo of light from the spacecraft’s skin. – pages 70 à 77. Sans faire aucune inversion de particules- ce halo ne se produit qu’aux parties qui sont peu ou pas érodées par l’oxygène atomique et d’après les vues prises la luminosité se trouve à 20 cm au-dessus du shuttle.
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SENS OLFACTIF HUMAIN
Selon l’hypothèses de Linus Pauling en 1946, affinée par R.W. Moncrieff en 1949, le sens olfactif est un des sens humains les plus développés et le plus fin: l’humain peut différencier plus d’odeurs que l’oreille ne peut différencier de bruits, plus d’odeurs nuancées que l’oeil ne peut voir des nuances de couleurs. Les fosses nasales contiennent environ 10 millions de cellules olfactives réceptrices et 50 millions d’extrémités (cils vibratils) nerveuses capillaires au-dessus des fosses nasales (bulbe olfactif). Les récepteurs détectent des molécules odorantes dans l’air (théorie stéréochimique) que nous respirons et interprètent ainsi sa composition. Les cellules réceptrices sont réparties dans les muqueuses nasales et elles sont les «trous de serrures» qui envoyent l’impulsion électrique via les extrémités nerveuses (épithélium olfactif) vers la partie frontale des méninges, pour y être intégrée et interprétée en termes de qualité et d’intensité. Notre mémoire pour les odeurs est nettement meilleure que la mémoire visuelle. Après 3 mois la mémoire olfactive est toujours fidèle à 80% tandis que la mémoire visuelle a perdu déjà 50% de sa fidélité. D’après les tests l’humain peut différencier entre 4.000 et 10.000 odeurs idfférentes
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OMO, UMMO…
Dans la vallée de l’Omo en Ethiopie, les natifs parlent la langue dérivée de l’ancien égyptien et du copte. Les OMO comme ils s’appellent est un peuple noir, pour qui tous les prétextes sont bons à faire la fête. A ces occasions ils se peignent le corps de terres colorées, et dansent toute la nuit en chantant.
Leur ethnie ils l’appellent «umma», la communauté «al’ ummà» , la soumission «biyayya», l’affection «soyaya» , monter et s’élever c’est «hau» ou «hawa», l’oiseau s’appelle «tsutsu» ….
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Une réflexion me vient: si l’on admet qu’il y a parmi les documents des lettres émanant d’au moins un humain dactylographe, et si l’on tient compte de ce qu’il dit dans l’une d’elles au sujet de la tendance maniaque des Ummites pour la présentation des textes, alors il me semble vraiment très bizare que ces messieurs d’Ummo n’aient pas convenu à l’avance entre eux, d’une manière uniforme pour faire apparaître les expressions de leur langue.
Je m’explique: les textes en espagnol, tant que l’espagnol est utilisé, ne contiennent pas tellement de fautes de frappe ni de grammaire. Il y en a, mais sur la quantité de documents, cela est normal.
Si des expression d’Ummo sont introduites dans ces textes, je peux admettre que cela ne se fait pas par hasard, que c’est voulu. Peut-être tout simplement pour que des personnes (comme toi, comme moi) se mettent à chercher. Par ailleurs ces messieurs trouvent quand même toujours un circonlocution en espagnol pour approcher au plus près de la signification, ou alors ils désirent que nous partons de cette base d’explication.
Quand ils disent AIOOYA, il n’y a vraiment aucune raison pour que les dactylographes se mettent à taper cela de 36 manières, pourtant ils le font: AIOYAA, AIOOYA O, AIOOYAU etc… Les examples sont mutiples comme pour AMIE, AMMIE, AMIEE, AMIIE …. et cela tout au long des documents.
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La plupart des êtres humains y croient: c’est le ciel avec les anges et les saints ou l’enfer avec les diables et les damnés promis par le clergé catholique, c’est les jardins fleuris pour les mâles musulmans et la joyeuse servitude ad aeternam pour les femmes islamiques, c’est le nirvana pour les bouddhistes, c’étaient les esprits des médiums du siècle dernier, les djinns, les nains de jardin, les vouivres et autres entités de ceux qui ont des croyances obscures, ce sont les extraterrestres depuis la fin des années 40. Aujourd’hui les entités sont extraterrestres, ou galactiques, selon qu’on s’adonne aux ovnis ou au new-age. L’être humain est un animal mystique qui s’ignore. Il est aussi très peu rassuré sur son devenir après la vie et il se raccroche à ce qu’il peut. Donc ma réponse est oui: je peux éventuellement concevoir qu’il y a ailleurs des êtres qui ont leur façon de penser et qui ont une forme d’intelligence, encore que – c’est moi qui m’exprime – «penser» et «intelligence» soient des concepts probablement spécifiques aux humains de la terre. Au passage je remarque quand même et j’en suis très désappointée que dieu, anges, saints, diables, damnés, nains, géants, ectoplasmes et fantômes et jusqu’aux extraterrestres: tout ce petit et grand monde est comme nous «humanoïde». On n’a rien inventé…
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Dans le dossier Ummo, entre beaucoup d’autres choses, je suis irritée par ces inventions technologiques que les ummites mentionnent mais dont ils ne donnent pas le début d’une explication. D’accord, cela peut être réel, exact vrai. Mais cela pourrait aussi ne pas l’être! Tu n’es pas obligé de me raconter la fable des aborigènes d’Australie qui voyaient pour la première fois un film avec des autos etc… et qui n’avaient finalement retenu le fait reconnaissable par eux, qu’une poule avait traversé la route: ah… the chicken cross the road… Les gens d’Ummo ne sont d’ailleurs pas plus bavards en parlant de notre technologie de la terre: c’est abordé sur la tangente, parfois à côté de la plaque et rarement tout à fait correct. Le récit de leurs exploits, aussi bien ad home sur Ummo qu’ici chez nous n’est qu’un mauvais roman, dont je ne comprends pas le pourquoi ni le but recherché. Ce n’est pas un exemple de moralité s’accordant avec d’autres idées exprimées de bien plus grande valeur. Les ordres explicites ou déguisés: faites ceci, faites cela ou alors … c’est comme s’ils s’arrogeaient le droit d’influer sur notre comportement, chose dont ils se défendent au long des écrits, mais qui est démentie tant de fois en réalité. Et je ne m’étends pas sur leur Ummowoa… ni sur l’histoire de la terre réécrite par eux, par des bribes recueillies dans ce qui était à l’époque des rumeurs sur les rouleaux de Qumran et sur les évangiles apocryphes. Et puis non, même au stade actuel, je ne puis voir dans la masse des écrits une initiation scientifique. Pour certains textes isolés peut-être, mais sûrement pas pour tous. Bref: tu me vois «énervée» par le dossier. Il m’agresse comme peuvent le faire une foule d’idées différentes et hétéroclites, comme n’émanant pas de la même source, mixées à la sauce piquante d’interprétations péremptoires un peu malsaines.
***
Plus loin j’écrivais : » ‘penser’ et ‘intelligence’ sont des concepts probablement spécifiques aux humains de la terre.»
Tu sais qu’au point de vue de l’ADN (et donc génétiquement) les singes du type bono et le chimpanzé ne différent que de 1 % de l’être humain. Les autres singes diffèrent bien plus. Des zoologistes, des sociologues, des psychiatres et d’autres spécialistes étudient ces deux espèces avec attention et une passion grandissante. Il semblerait au vu des résultats analysés que ces deux espèces de singes ont une forme rudimentaire de «pensée» comme nous la concevons, puisqu’ils sont capables non seulement de comprendre des ordres simples, mais jusqu’à retenir des promesses dont l’exécution est différée, à marquer leur impatience, et leur joie quand la promesse est tenue. Au vu de certaines expériences réalisées, je dois convenir qu’il peut s’agir ici d’autre chose que de réflexes conditionnés… quoique. Pourtant, aucun de ces spécialistes n’est parvenu à se mettre dans «la peau et dans la tête» du singe, pour pouvoir recevoir de leur part une pensée simiesque compréhensible. Il semble pourtant qu’entre eux ces animaux communiquent pas mal. J’en suis presque réduite à dire – mais c’est une boutade bien sûr – que d’une certaine manière le singe a des facultés d’adaptation plus adéquates pour les deux formes de pensée: la leur et la nôtre. Il se pourrait justement que cette forme de pensée très élémentaire, qui de prime abord devrait pouvoir être à notre portée, soit très différente de notre conception «penser». Serait-ce une certaine forme d’intelligence quand même? Qui nous le dira? Personne, mais les singes entre eux, en discutent peut-être. Il serait dès lors également intéressant de savoir ce qu’ils pensent de l’homo sapiens, qui leur est génétiquement si proche… et des singeries qu’ils leur font faire.
A l’inverse donc, si des grandes intelligences élaborées peuplent l’une ou l’autre planète de notre univers, leur étapes d’évolution n’auront pas forcément suivi les nôtres. Cette idée que biologiquement toute vie dans l’univers doit forcément être semblable à la terrestre est celle des biologistes des années 50 et 60 et quand Robert était à l’université, nous avons eu des conversations à ce sujet. C’est une hypothèse et jusqu’à aujourd’hui nous n’avons pas pu la vérifier: en théorie elle se défend pas mal, à condition que l’environnement physique ait été analogue ou similaire dans les grandes lignes. En astrophysique les trous noirs se défendent pas mal non plus, mais il y a des détracteurs qui argumentent différemment…. et Peter Hawkins lui-même qui dans les années 70 était pro, est devenu plutôt anti trou noir actuellement.
Si, c’est ma supposition, biologiquement et extérieurement ces créatures de l’univers étaient «un peu» à «très» différentes de nous, c’est sûr qu’intérieurement et mentalement et dans leur façon d’être intelligent, il n’y aurait aucune commune mesure avec ce que nous appelons «pensée», du moins telle que nous pouvons l’appréhender. Notre «intelligence terrestre» pour eux, pourrait être classée par exemple dans une forme un peu plus poussée de l’instinct de survie, tellement elle pourrait leur sembler primitive. Un peu dans le genre de ce que pensent nos spécialistes à propos des singes. Ceci pour le raisonnement. On peut nous faire croire ce qu’on veut, il pourrait y avoir bien plus loin de la coupe au lèvres en réalité. Mais cela on ne le sait pas. Il est rassurant de penser que nous sommes sur la bonne voie, rassurant de se rattacher à une évolution cosmique. Pour moi personnellement cela sonne fort new-age, et je suis dubitative. Ce qui n’empêche pas d’autre part de me sentir une infoime petite parcelle de tout cet univers pendant la durée de mon fugace passage sur terre. Issue de la poussière d’étoiles comme le disait je ne sais plus quelle astrophysicienne française sur un plateau de télévision.
La conscience est une chose encore différente et à ce que je sache il n’y a encore personne au monde (le nôtre) qui a pu définir exactement ce que c’est et comment elle se produit. Est-elle partout dans l’univers pareille à l’idée que nous nous en faisons? Je n’ai pas de réponse et je n’ai pas non plus la vocation de prendre aveuglément pour réalité vraie ce que l’on en dit dans le dossier Ummo: pour moi c’est une hypothèse de plus.
Mais j’approfondis encore ma pensée. S’il y a dans l’univers une sorte de logique commune, je retourne aux expériences sur nos singes. Il n’est venu à l’idée d’aucun de nos spécialistes d’apprendre le langage exprimé par les divers cris que ces animaux lancent à des occasions spécifiques, … au contraire de ceux de Ummo, qui tout de suite se sont mis à apprendre notre langue. Nos scientifiques imposent aux oreilles des singes les sons de nos mots d’hommes. Ils mettent sous leurs yeux et entre leurs «mains» des tableaux à boutons poussoirs avec des images colorées qui ont une certaine signification. Et jamais, nulle part, je n’ai entendu un spécialiste s’inquiéter de perturber le mental des singes – à qui ils attribuent pourtant une intelligence. Après les séries d’expériences, ces animaux sont rendus à leurs cages habituelles, c’est tout. Il redeviennent des singes normaux… pensent-ils. Ummo n’agit pas avec nous de la même manière. Ils utilisent le papier et les caractères d’imprimerie qui nous sont familiers, dans une langue connue et comprise, le tout agrémenté de schémas et de petits dessins et seulement d’un petit choix de leurs expressions. Auraient-ils dans leur grande bonté une appréciation plus chiffrée de nos capacités? Mais non. Quand on lit ce qu’ils nous reprochent – et qui n’est pas de notre faute (l’état quasi préhistorique de notre cervelle par exemple) il y a contradiction. Ces reproches, ou ces constats pleins de cynisme, nous ne les faisons pas à nos animaux! D’un côté c’est drôlement bien que ces ummites se mettent à notre portée… mais ils se sont limités au petit groupe de fauves de Madrid, les autres gens n’étant pas assez intéressants? Il serait quand même moche de penser que ces Espagnols-là ont semblé à ceux d’Ummo les plus aptes à bénéficier d’un contact si extraordinaire ou qu’ils représentaient à eux seuls les spécimens représentants toute l’humanité. Sur ce thème, je le sais, tu peux avoir d’autres idées, untel encore une autre opinion, et donc ici j’ai exprimé une fraction de la mienne. Inutile de broder encore, que ce soit dit en bref ou en long, cela n’a pas d’impact de toute manière.
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Un des plus anciens textes que j’ai eu l’occasion de parcourir, concernait une langue «vénusienne» et le livre, sous forme de «rapport» datait de 1897 et était consacré aux contacts avec des entités vivant sur Vénus, qu’avait eu la suisse Hélène Smith. C’est d’un naïf et d’un bête!
Mme Smith parlait surtout bien Vénusien quand elle était sous hypnose. Il faut que j’ajoutes que lors des premières séances Mme Smith ne balbutiait que deux ou trois mots de vénusien. La langue s’est construite en trois ans environ, avec son vocabulaire spécifique, dont je mets un échantillon. Elle le parlait enfin couramment, et l’écrivait de même et comme l’hypnose lui laissait des impressions de vécu dans la mémoire, elle pouvait aussi le parler en dehors des séances. Ce qu’elle fit. A mon avis comme si elle venait d’inventer un nouvel idiome fabriqué de toutes pièces par ce qu’elle connaissait. Joli exploit quand même et bel effort de mémoire! Pour ton divertissement, et uniquement pour cela, voici ce que j’en disais à Jean-Luc Vertongen le le 8.11.1996
Cas Hélène Smith.,
de son vrai nom : Catherine-Elise Müller, née en 1870 et qui a vécu à Genève.
Remarque : Müller: ce n’est pas un nom hongrois, pourtant il est dit que son père l’est. Sa mère est Suisse de Genève même. L’on dit que son père juif avait des facilités pour les langues. Lesquelles parlait-il en fait en dehors du français, qui était la langue de la famille? Le hongrois, l’allemand, le yiddish, l’italien, l’anglais?
Les signes d’écriture vénusiens de Mme Smith: «cyrilique ou grec» + «hébreu»: les signes vénusiens me semblent un amalgame et une adaptation personnelle des deux. Juive par son père, et ayant fait des études, elle a mis à contribution les écritures du grec et de l’hébreu. Les signes manuscrits sont reliés comme quand on écrit dans une de nos langues connues, avec la même séparation entre les mots et les mêmes signes de ponctuation.
Les vocables : (je ne dis rien de la syntaxe parce qu’elle est rigoureusement française: pas italienne, ni latine, ni espagnole, ni anglaise ou autre: elle est spécifiquement française). Les mots dans les phrases se suivent en «vénusien» dans le même ordre qu’en français et les verbes sont coonjugués de la même façon, les déclinaisons pluriel, masculin, fémnin aussi.
Mais les mots! Il est presque incontournable qu’elle ait entendu parler l’allemand en Suisse, et peut-être le yiddish en famille… exemples:
modé: mère (Mutter et Mutti, allemand) (Moeder: néerlandais) (Mother: anglais)
kiné: petit (kind et kindje: enfant donc petit en néerlandais) (Kind: enfant donc petit en allemand) (kind = gentil, mignon, en anglais)
palette: calme (plat: en français et en néerlandais: étale donc calme)
pélesse et plêva: chagrin (de pleuvoir (des larmes)? de pleure? de blesse? en français)
gude: bon (gut en allemand, good en anglais, goed en néerlandais)
grêvé: large ( comme l’accent «grave» en français, ou «breitte» en allemand)
di: te, toi (dich: allemand)
tès: ces (dass: allemand, deze: néerlandais, these: anglais)
avé: vieux (oude, anciennement «ouwe» à prononcer «ave» en flamand = vieux) (espagnol, portugais, italien : avo: grand-parents)
surès : crois, croire (sûr: certain!)
amès: viens (amènes: français)
ladé: vers (lado: langues latines: «près, à côté»)
imâ: ciel (himmel: allemand; hemel: néerlandais)
kiz et kize: quel et quelle (which en anglais, contracté avec le français)
muné: instant (minute)
mache: peux (ik «mag» en néerlandais, ich «mochte» en allemand, I «might» en anglais)
pédriné: quitter (perdre en français, c’est également quitter)
luné: jour (faut-il un dessin?)
diviné: heureux, heureuse (c’est tout simplement «divin»!)
antech: hier (ante: langues latines = avant)
linéi: debout (linéaire = droit = debout)
mervé: superbe (merveille)
amèré: réuni (amarré…)
animina: existence (cela va de soi)
cas un peu spécial: ébrinié: penser (é-«brain»-ier, jolie invention!)
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– la vision scientifique de l’espace: avant que nous ayons connaissance par Ummo des IBOZO UU, ce cher LEIBNIZ les décrivait déjà en français, en allemand et en latin.
– Une présentation ( partielle ) mathématique cohérente de cette vision, se retrouve dans les travaux fait par exemple à l’académie Leibniz de Grenoble…
– Le concept d’espace multidimensionnel: n’est-ce pas Einstein qui voyait un espace non Euclidien, dès 1917?
Dans le Scientific American de novembre 1924 je lis: Einstein was led to assume that the space of the real universe is, in fact, non Euclidean. There can be an infinite number of varieties of space, however , each with its own special geometry. The discovery of the peculiarities of a particular variety of space may be, to dwellen within that space, an extremely difficult matter.»
Toujours dans le Scientific American n° 5, vol. 231 de novembre 1974, dans l’article «Gravitation Theory» de Clifford M. Will, l’auteur constate que dans les années 60 il y a 6 dimensions connues de l’espace et au moment de son article ils en sont à 10.
Dans «Sciences et Avenir» n° 595 de septembre 1996, sous le gros titre «Avant le big-bang» plusieurs articles sont réunis. Dans le sous-titre «un vide mouvementé» je lis que le soviétique Andréi Linde a émis l’hypothèse que le vide initial puisse être inhomogène. A partir de fluctuations différentes, des univers distincts et possédant leurs propres lois physiques pourraient se développer, parallèlement ou enchâsses les uns dans les autres, sans communication possible entre eux – donc inobservables et par conséquent non physiques. Qui est-ce Linde (je ne l’ai trouvé nulle part dans l’encyclo à ma disposition) et quand a-t-il émis cette théorie? Elle n’est pas récente, ça c’est sûr. L’article est illustré de «bulles» apposées les unes près des autres, pour visualiser ce qu’il voulait dire.
– la télépathie? Le Dr Redjak écrit un très intéressant article dans le «Journal of paraphysics» (et non pas de parapsychologie) n° 2 vol. 3 de 1965, organe du Paraphysical Laboratory de Downtons dans le Wiltshire, Angleterre. Il est consacré aux aptitudes télépathiques étonnantes de Wolf Messing, né en Pologne le 10.9.1899, devenu citoyen soviétique en 1937, qui rencontre Einstein en 1917 ainsi que Freud par la même occasion, Gandi en 1927 et Staline en 1937.
Il y parle aussi beaucoup de Léonide Vassiliev, psychologue soviétique, mort en 1966 mais qui publie en 1962 «Expériences de suggestion mentale et de télépathie». La longueur d’onde télépathique est déjà mesurée et serait de plus de 1600 mètres pour les transmissions à courte distance. Il y a en France des travaux faits par Teritsky et de Broglie, selon laquelle l’onde télépathique aurait une vitesse supérieure à celle de la lumière et oscillerait dans un champ théorisé. «Synchroton Radiation de A.A. Skolov et I.M. Touvov, Pergamon Press, Londres, pages 203 et 204.) Mitchell y consacre également un article dans «Fate» de septembre 1964.
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Peut-être est-ce le moment ici d’illustrer pourquoi je ne suis pas fort impressionnée par la «vision» fait par le bout des doigts des Ummites?
Le romancier français Louis Farigoule, que tout le monde connaît sous le nom de Jules Romains, naît en 1885, meurt en 1972. En 1909 il sort de l’Ecole Normale supérieure et est agrégé en philosophie. Jusqu’en 1919 il enseignera à l’université, puis il démissionne pour se consacrer uniquement à l’écriture: il a déjà publié pas mal de choses. Ce que tu ne retrouveras probablement pas dans sa biographie littéraire, c’est son intérêt pour la para-science et justement pour la vision non-rétinienne, qu’il vérifie, qu’il expérimente sur des sujets, entre autres devant Bergson et Anatole France suivie de la publication en 1920 de son «Traité de la vision épidermique». En parallèle avec le dossier Ummo, il a d’autres qualités et d’autres options de vie comme exprimé dans sa doctrine littéraire dite d’ «unanimisme». Cela tu peux facilement le retrouver cela dans n’importe quelle encyclopédie.
Mais il n’est pas le seul à s’intéresser à «la vision» épidermique. Au milieu des années 50, on exhume en Union soviétique un tas de paperasses et d’articles consacrés au sujet, datant du début du siècle. Des expériences sont faites à Moscou par Novomeisky, de l’institut pédagogique de Nizlang Tagil, sur la vision extra-rétinienne. Des sujets aveugles ou dont les yeux sont bandés reconnaissent très vite la «texture» des couleurs avec la paume de la main. En 1963 le docteur Yakob Fishelev de l’Institut Pysma en Union Soviétique s’inspire des travaux précédents et s’évertue à éduquer 18 enfants aveugles de naissance ou aveugles avant l’âge de deux ans. Très vite ils parviennent à «lire» des lettres imprimées en posant les doigt dessus. Un des enfants est particulièrement doué: Rosa Kuleshova. Son apprentissage commencé en mai 1963 lui permet en octobre de la même année de «lire». En 1964 le journaliste Bob Bringham du magazine américain Life va lui rendre visite. Il écrira un article la même année confirmant que la petite Rosa peut «lire» avec les doigts à 15 cm du livre, et que de plus elle peut également déchiffrer les textes avec le coude. La méthode extra rétinienne était assez couramment tentée et réussie pour la moitié des enfants aveugles des grands instituts soviétiques dans le milieu des années 60.
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Sesma a reçu des «photographies» en relief, pratiquement à deux dimensions: largeur et longueur, car l’épaisseur est de l’ordre du millimètre ou moins. Peut-on dès lors parler d’hologramme?
Dans les années 1965, 1966, on vendait des cartes postales de ce genre – je veux dire qui donnaient l’impression de relief. Je t’en avais parlé au cours de la traduction justement sur le sujet. J’ai reçu une carte ainsi qui représentait des oiseaux dans le feuillage: le relief – par des couches superposées transparentes contenant les divers éléments visuels – était assez frappant. Et donc, le Pena de l’histoire n’a pas inventé cela, et n’a pas perdu les profits de son génie, puisque les génies en question étaient japonais.
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INFORMACIÓN EN EL ARCHIVO DE MADAME GODELIEVE VAN OVERMEIRE ( BRUSELAS , BÉLGICA ).
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Madame Godelieve Van Overmeire
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